Ladyblogue, l'éphémère en continu

BILLET D'HUMEUR #31 - OUEST-FRANCE (29/05/2013)

"Je dis je l'aime"

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+ de 2 000 followers sur Instagram : merci

Les mots se mêlent aux images.

Instagram, des instants de vie. Une pause du regard. Un regard attrapé.

+ de 2000 followers.

Merci à vous.

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Je l'M

Vendredi soir. 
Nantes.
Zénith.
Concert de M.
Matthieu Chédid.
Troisième fois que je le vois en live.
Troisième grosse claque. 
Ce mec est démentiel. 
Une énergie. Des frissons. Un appel.
Jusqu'au bout des yeux. Jusqu'au bout des doigts. Jusqu'au bout des lèvres.

Triste again...

Ils l'ont annoncé hier sur leur page Facebook, Gwen et Olivier fermeront définitivement le Twist Again le 31 août.

Même si je n'étais pas une cliente régulière, j'aimais beaucoup cet endroit.

Bonne route pour la suite !

>> Retour sur le billet que j'avais écrit sur cette jolie adresse en septembre dernier.

BILLET D'HUMEUR #30 - OUEST-FRANCE (22/05/2013)

"Twitter fait son festival"

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SOIREE TRALALA LADYBLOGUE - 7 JUIN

Le blog, le virtuel, c'est bien. Le "réel", l'IRL, c'est bien aussi.

Je vous propose de nous rencontrer en se faisant une p'tit soirée restau tous ensemble.

Oui, mais c'est quand ?
Vendredi 7 juin, à partir de 21h

Oui, mais c'est où ?
Au restaurant "Le Petit Gaveau" à Quimper

Oui, mais c'est combien ?
Le menu tout compris (apéro + entrée + plat + dessert + café + vin/eau) : 28,50 euros

Oui, mais on m'a parlé d'un concert ?
Le groupe Bobby & Sue sera avec nous toute la soirée pour un concert live ! 

Pour vous inscrire,
> c'est sur ici sur l'évenement Facebook.
> ou si vous n'avez pas de compte facebook, envoyez-moi un mail à l'adresse suivante : [email protected]

Et ne soyez pas timide si vous ne connaissez personne : presque tout le monde ne connait personne ;-) ! #ouais

Vous avez jusqu'au mercredi 5 juin dernier délai pour vous inscrire ! (Attention places limitées)

A très vite !

Je vous laisse avec le premier single du second album de Bobby & Sue !

Bobby & Sue - I'm dead, thanks for asking... par bobby-and-sue

Retour sur ma rencontre avec Chef Bellin

(Photos : Gouts d'ouest)

Hier soir, le chef doublement étoilé Olivier Bellin de l'Auberge des Glazicks était dans l'émission Des racines et des Ailes sur France 3.
L'occasion de revenir sur ma rencontre avec ce personnage haut en couleurs (ici) et sur ma première visite dans son restaurant (ici).

Olivier, je t'embrasse.

BILLET D'HUMEUR #29 - OUEST-FRANCE (15/05/2013)

"Vieux rose"

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Love songs : des espaces et des sentiments

13 mai. Sortie de l'album de Vanessa. C'était noté dans mon agenda. J'avais prévu d'aller l'acheter à la Fnac à l'heure du déjeuner. 

Double album. Couverture sublime signée Jean-Baptiste Mondino, pages colorées, joli papier offest (mais lequel ?), belles illustrations de M/M (Paris).

CD dans le lecteur. J'écoute.

L'au-delà (de Mickaël Furnon du groupe Mickey 3D). La voix grave de Vanessa. J'imagine la clope ou les enregistrements nocturnes. Ou un tournant intérieur. Le disque défile. Love songs bien sûr. Et Les espaces et les sentiments (de François Villevieille du groupe Elephant). Roching-chair.

CD2. Et là, je me suis arrêtée.

La chanson des vieux cons. 4 minutes 44 les yeux fixes.  Les Roses roses.

Plus d'amour. 3 minutes 54 figées.

Je vais aller m'acheter les CD de Biolay.

La Ferme de Kersuntec : un bijou

Vouloir prendre du temps pour soi est chose facile. Le pouvoir est différent. Trouver le temps est plus compliqué. La vie tourbillonne et nous oublions parfois de respirer. Et puis, au bout d'un moment, quand le manque d'air se fait trop important, le corps sature et dit stop. Alors, on regarde autour de soi, et on fait son sac.

La Ferme de Kersuntec.

J'étais passée un milliard de fois devant, ou presque, en allant à Sainte-Marine, à la plage de Kermor. Sur le chemin qui amène à l'océan, je distinguais de loin le haut d'une maison en pierre, retapée, une grande baie vitrée en alu noir. J'ai toujours trouvé ce "haut de maison" sympa, me demandant toujours qui habitait là. 

En allant à la Ferme de Kersuntec, j'ai compris. Cette maison était une maison d'hôtes. Une grande maison d'hôtes. Une belle maison d'hôtes.

Je débarque avec ma petite voiture et tout de suite le sourire d'Anne me fait comprendre que je vais être aux petits soins. Elle me fait visiter : très grand jardin, des fleurs partout, un salon commun avec cheminée, bibliothèque et confiseries, une déco cosy.
Anne est joliment pipelette, elle parle, elle explique tout, dans les moindres détails. On sent qu'elle aime recevoir, qu'elle veut qu'on soit bien. Et ça fonctionne, on est bien.

Ca sera la chambre "Ouessant".
Spacieuse, des poutres, des murs en pierre, un beau parquet, un lustre à pampilles, la chambre donne sur une grande terrasse en bois privative, tranquille, sans vis-à-vis, vue sur les champs. La fameuse baie vitrée est devant moi. La chambre est top !Côté salle de bain, une grande douche à l'italienne en verre, une baignoire à pattes de lion d'où on peut voir, la nuit, les étoiles dans le ciel (testée et approuvée).
Le soleil est là, il fait bon, le cidre offert par Anne rafraîchit.
On restera tard dehors, à profiter des derniers rayons.
Les bulles de champagne feront flotter.



Le lendemain, Anne a préparé le petit déj dans la salle commune. "Chacun a sa table parce que moi je déteste prendre le petit déjeuner avec des gens que je ne connais pas... Et je n'aime pas parler le matin". Les mots chantants d'Anne me font sourire parce que oui, je préfère aussi. 

Pains aux céréales, viennoiseries, laitage, fraises accompagnent plein de préparations maison : confitures (abricot/coquelicot et framboise/violette), madeleines au sarrazin, panna cota à la fraise (une tuerie !). On ne va pas mourir de faim.

La Ferme de Kersuntec est un petit bijou. Anne et son mari ont su rénover leur ferme avec chic et confort. 

Si vous passez dans la région, si vous cherchez un endroit pour faire un petite halte ou encore si vous cherchez une idée de cadeau, la Ferme de Kersuntec est une piste sûre. 

Allez-y.

BILLET D'HUMEUR #28 - OUEST-FRANCE (08/05/2013)

"La stratégie de l'absurde"

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DOUBLE-PAGE DANS "LES CARNETS DE GREGORY" # PRINTEMPS-ÉTÉ 2013

Il y a quelques semaines, j'ai été contactée par la directrice de communication de Grégory Coutanceau Développement.
Elle souhaitait m'interviewer et publier mon billet écrit en septembre dernier sur le restaurant L'Entracte dans le magazine "Les Carnets de Grégory".

Une double-page rien que pour moi dans le magazine Printemps-Été 2013 du chef Coutanceau, c'est la classe à Dallas (enfin à La Rochelle).

Merci beaucoup à Emmanuelle d'avoir pensé à moi et merci encore une fois au chef Coutanceau pour sa cuisine magique. 

A lire page 34-35. 

 

Les Carnets de Grégory n°28

Publish at Calameo

BILLET D'HUMEUR #27 - OUEST-FRANCE (01/05/2013)

"Dos à dos""

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Les Sables Blancs & Le Nautile à Concarneau...

Je ne sais pas s'il existe beaucoup d'hôtel comme ça dans la région. L'hôtel Les Sables Blancs, 4 étoiles, fait partie des hôtels d'exception. Posé sur la plage de sable fin de Concarneau, il a littéralement les pieds dans l'eau. Quelques marches à descendre et hop, on touche le sable. 

Prendre un verre ou un café sur la terrasse en bois aux fauteuils rouges orangés, face à la mer, est un délice.

Les Sables Blancs ont des chambres sont magnifiques. Il faut avoir dormi dans l'une d'entre elles pour comprendre qu'ici, tout est luxe, calme et volupté... Toutes donnent sur la mer et la plupart bénéficient d'une terrasse (les autres d'un balcon). Bien que les suites soient très bien foutues, je dois dire que j'ai préféré de loin les chambres dites "supérieures". Le grand lit, face à la grande baie vitrée ouverte sur la terrasse et sur la mer, donne vraiment l'impression d'être sur un bateau. S'endormir avec le chant des vagues.... et se réveiller avec la vue sur les îles Glénan : une expérience inoubliable... 

Côté restaurant, le chef étoilé Lionel Le Henaff est aux commandes du Nautile depuis peu (avant il était à la Roseraie).
J'ai eu le bonheur de le suivre lui et sa brigade presque toute une journée en cuisine (mention spéciale à Dominique le pâtissier !), évidemment, c'était un kiff total. Les casseroles qui bouillonnent, les odeurs qui viennent vous lécher le museau, le coup de feu comme on l'imagine... J'ai adoré.
A table, ormeaux sauvages rissolés, homards bleus rôtis entiers au beurre de Combawa, langoustines XXL crispy servies avec un crémeux de petits pois, pamplemousse et chorizo... Lionel a le talent de mettre en valeur les produits de la mer.
Pour ne rien gâcher, le restaurant offre une vue panoramique incroyable sur la baie de Concarneau ... 

Bref, j'adore cet endroit. Allez-y.

Hôtel Les Sables Blancs**** et le restaurant Le Nautile
Plage des Sables Blancs
29900 Concarneau
Tél. 02 98 50 10 12






(Dernière photo : B. Galéron)

Love song

Je suis la plus belle maman du monde

BILLET D'HUMEUR #26 - OUEST-FRANCE (24/04/2013)

"L'arène""

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Bomb Jack, souvenirs 1984

Quart d'heure souvenirs.
On parle de jeux vidéo avec mes puces. Je leur explique que quand j'étais petite, il n'existait pas les jeux vidéos qu'elles ont aujourd'hui. Evidence pour nous, grand étonnement pour elles. Je fouille dans ma mémoire et je me souviens d'un jeu-vidéo sur Amstrad. Un jeu avec des bombes prêtes à exploser. Je me souviens d'heures entières à jouer seule ou avec mon père, aussi addict que moi. 

Comment c'était déjà ce jeu ?
Mario bomber ?
Quelques recherches sur le net.  Jeu-vidéo. Bombes qui explosent.
Et là, bing ! Bomb Jack !
Vidéos YouTUbe.
Putain... Bomb Jack !!! Octobre 1984 ! Un super héros masqué ! Les souvenirs me claquent à la gueule. J'ai un grand sourire de gamine sur le visage. Je me souviens parfaitement de cette musique hypnotique, de ces décors fixes de sites touristiques célèbres...
J'ai passé des heures là-dessus. A faire des partie de ouf avec mon père, à rester tard le soir pour aller le plus loin possible, pour faire le plus de points possibles.
J'adorais.

Que j'aime ces instants où l'on se rappelle que l'on a eu 11 ans.

Yohan Serfaty... un coup d'amour

Samedi soir, je suis tombée amoureuse.
Amoureuse d'un bijou.
Un bijou porté par Jenifer pendant l'émission The Voice.

Un vrai coup de coeur, un vrai coup d'amour.
Il fallait que je sache de qui était ce bracelet. Branle-bas de combat sur Twitter. Appel, help me, sur le compte de Jenifer, de Nikos, de tout le monde. Plusieurs followers se mettent à chercher avec moi. Recherches sur le net. Rien. Ce n'était pas de Valérie Egée (créatrice d'un bracelet noir porté par Jenifer lors d'un précédent The Voice), ni de Chaumet (comme la bague de la chanteuse). Visionnage du générique de l'émission. Trois autres noms sont cités : Nahum, Dominique Denaive et Biondi. Tour sur le web. Toujours pas ça. 
Et puis un tweet est tombé. Un tweet de @Julieyael avec le nom du créateur : Yohan Serfaty.

Ce nom ne me disait rien. 
Yohan Serfaty est un designer français, né à Casablanca en 1966. Du coup j'ai fait des recherches et suis tombée sur pas mal de choses. Ce designer est incroyable. Il crée des fringues pour homme incroyables (poke à @commeuncamion). 
Si j'étais un homme, j'aimerais m'habiller comme ça. J'aimerais avoir ce style-là. Des pieds à la tête.

On a trouvé où acheter ce p***** de beau bracelet. Il est en vente sur ce site. A 826 euros (et 694 euros hors U.E.)

Si vous voulez m'offrir un p**** de cadeau... vous saurez quoi choisir...



Il existe également un modèle avec cuir :

Instalove #4 : Rastariquette

Le net. La toile. Des ramifications multiples. On file à droite, on court à gauche. Parfois on se perd. 
Instagram n'échappe pas à la règle. 
Qui suivre ? Qui vaut la peine ? 
Instalove réunit mes coups de coeur Instagram...

> Rastariquette. Un univers en noir et blanc. Des paysages qui vous plongent en plein Asie. Des portraits souvent sublimes. Eric a ce petit plus qui fait que j'aime ses photos. En échangeant avec lui, pour écrire ce papier, et en découvrant sa photo-portrait, j'ai aussi découvert qu'il n'avait pas 65 ans comme le semblait le montrer son ancienne PP (ceci est une private joke).
Lisez sa petite interview juste ci-dessous, regardez les photos que j'ai sélectionnées et courez le suivre sur Instagram. 

 
// Qui es-tu ? Que fais-tu ?

Je suis Eric Frotier de Bagneux, j'ai 38 ans et trois enfants et je suis installé à Vannes dans le Morbihan.
Né d'un père photographe j'ai toujours joue avec des appareils photo à la maison et ai eu mon premier appareil, un beau Nikon FM3 vers 10 ans...
D'abord Marin sur des voiliers classiques et modernes,  je suis devenu Photographe indépendant en 2006 faisant principalement de la photo institutionnelle.
Je suis aujourd'hui installé à la FACTORY, un espace de co-working dédié à la communication qui est au PIBS à Vannes. Nous recherchons d'ailleurs des  indépendant travaillant dans la communication (infographie, web designer....) pour nous rejoindre (infographiste, web designer....).

// Tes photos pour la plupart mettent en scène des photos d'Asie. Peux-tu nous raconter ta passion pour cet endroit du monde ?
Ma passion pour l'Asie est venue d'une opportunité pour ma femme d'aller travailler à Bangkok. Nous sommes partis en 2001,  l'Asie ne nous a alors pas quitte et nous y sommes reste 8 ans. D'abord Bangkok donc pour un an, ensuite Hong Kong 3 ans et enfin Shanghai 4 ans. En arrivant là-bas, on a l'impression d'aller sur une autres planète tant le fossé culturel est énorme, c'est assez existant ! Les gens peuvent être aussi rustre qu'attachant tout comme les paysages.
Il y a une diversité de culture énorme, même quand on parle de la Chine qui est gigantesque et très différente du nord au sud et de l'est à l'ouest, entres les han, les mongol, ouïgour…
Mon travail de photographe m'a amené à me balader du Japon au Philippines en passant par Singapour ou Taiwan… et bien sûr une bonne partie de la Chine. J'aime photographier les gens et C'est un peu le paradis du photographe pour ça !
D'abord car du fait de l'absence d'insécurité on peut se balader partout et à n'importe quelle heure  avec son matos et puis car  les gens aime bien et se laisse facilement photographier, ils sont flattés, ils ont un rapport assez particulier avec la photo.
J'aime aussi beaucoup les villes asiatique le soir qui s'éclaire de mille feux… c'est très mauvais pour la planète mais tellement beau !

// Parles-nous de ta première photo postée sur Instagram ?
Ma première photo sur Instagram a été prise avec mon iPhone, un vieux bateau abandonné sur un quai qui me faisait de la peine... La photo n'est pas terrible d'autant que j'y ai collé un filtre (aujourd'hui je préfère retoucher sur Photoshop pour iPhone plutôt que d'apposer un filtre d'instagram). Elle a dû être vue par deux personnes...

// Comment repères-tu tes photos ? Toutes les photos sur IG sont-elles de toi ?
Je repère mes photos en me baladant dans ma photothèque suivant mon humeur du jour, il y a beaucoup de photos que j'ai toujours gardés en couleur et que je passe en noir et blanc pour leurs donner une nouvelle vie. Et oui, toutes les photos que je poste sont de moi.

// Ta photo préférée sur ton IG ?
J'ai beaucoup de photos qui me tiennent à cœur évidement, mais il y en a une particulièrement que j'aime beaucoup et que j'ai redécouvert en fouillant dans mes vielles diapos. C'est une photo de Victori Harbour à Hong Kong, vue sur Central et ses buildings. Il y a de la un ciel de grain et un beau dégradé de gris qui laisse apparaitre les gratte-ciels et le port de Hong Kong. La silhouette et le pont en contre-jour donne, je trouve, une belle perspective à la photo. C'est d'ailleurs une des photos qui a le mieux marché sur Instagram.

//Instagram, pour toi, c’est quoi ?
Je suis sur Instagram depuis environs 5 mois. C'est une amie qui m'en a parlé et j'ai alors vu ça comme un moyen de voir les photos de mes copains en de leurs en envoyer. J'ai ensuite  assez vite  découvert l'énorme potentiel d'instagram pour découvrir  et partager avec des photographes du monde entier, souvent très bon. Je me suis pris au jeu et j'y poste pas mal de mes photos d'Asie ponctuéés de photo de Bretagne ainsi que mes archives argentiques.
J'aime  tout d'abord le partage  et la découverte sur instagram, mais cela me permet également de confronter mes photos au public, je suis d'ailleurs souvent étonné de voir parfois des photos que j'adore marcher moins bien que des photos que je poste sans grand enthousiasme…
J’ai aujourd'hui  environs 500 personnes auquel je suis abonné qui viennent du monde entier et qui me donne un panel très intéressant de ce que peut être la photographie.

Rastariquette
Rasta Riquette Eric 🇫🇷Iphone 4s, 5d mkII et Nikon F1 Argentique 🇨🇳 BZH Vannes http://asiazoom.darqroom.com/gallery

 

Tous les autres portraits INSTALOVE sont à lire ici.

Pour me suivre sur Instagram, c'est par là !

BILLET D'HUMEUR #25 - OUEST-FRANCE (18/04/2013)

"Précipitation et inquiétudes""

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Tuesday

Monday

Cyclone

La tempête. C'est exactement ça. Dans le ciel et sous les cheveux. Le je ne sais pas en boucle. Les contraires aussi. Le bonheur, les reflets. C'est toujours là, c'est toujours vrai. Je tourne comme un animal. La crinière noire vole en éclats. (Il faut que j'arrête de bosser avec des post-it, y'a trop de jaune autour de moi.) Un projet de longue date qui me réclame. Un autre projet qui arrive, des propositions de collaborations de partout. Ca fuse. Juste savoir faire les bons choix et tendre la main aux bonnes personnes. Mais le "juste" n'est pas si simple.

Et ce putain de temps qui passe trop vite, qu'on serre du bout des doigts et qui lâche d'un coup sec tel un élastique trop tendu.

Seule face à l'océan

Exquise Allure de Maison Close...

Maison Close.
Rien que le nom de la marque embarque.
Je l'ai aimée depuis le début. Depuis le jour où j'ai vu un lien sur Twitter avec une photo d'une de ses collections.

Pour celles et ceux qui ne connaissent pas, Maison Close, née à Marseille en 2007, propose de la lingerie (et des accessoires...) ultra-glamour à l'esprit "érotique chic". Tantôt romantiques, toujours fripons, les dessous de Maison Close ont ce petit plus qui fait la différence. 
En véritable addict de lingerie, Maison Close répond en tous points à mes attentes et mes envies. A chaque fois que j'ai passé commande chez eux, j'ai toujours été surprise par la qualité des textures, par la délicatesse des coupes et par l'originalité des formes. 

Je vous avais déjà parlé de la collection Villa Caprice il y a quelques temps ; voici aujourd'hui un des modèles phare de la collection printemps-été 2013 : "Exquise Allure".


Quand j'ai reçu mon colis et que j'ai ouvert mes paquets (à noter toujours très bien emballés), j'ai véritablement été bluffée (blu-fflée) par la matière de cet ensemble. En fait, je crois que je n'avais jamais vu/touché une lingerie avec une telle texture. Incroyablement fine et douce. Je ne peux pas vous dire que c'est doux comme la soie, car la soie a le désavantage d'être froide, et puis c'est bien plus doux que cela. Et incroyablement fin aussi, d'où une transparence extrême. Comme un bas que l'on a presque peur de "filer".

Si je voulais vraiment vous expliquer, je vous dirais que la matière ressemble à cette "seconde peau" que l'on enlève de notre visage quand on fait un masque-film. La comparaison n'est certes pas très glamour, mais vous pouvez ainsi imaginer le toucher et la transparence de cette collection.


Ce que j'ai vraiment beaucoup aimé dans le haut (modèle triangle), c'est l'extrême espace entre les deux bonnets. En plus de donner un style vertigineusement sexy, cela permet des décolletés très profonds. La finesse des bretelles est également à noter. 


Côté bas, deux versions coups de coeur. Tout d'abord, le fameux "cul-nu", véritable signature de la marque (ici en version shory). J'aime, j'adore et plus encore. Ensuite, le string-jarretelles, plus classique mais toujours très efficace.

Côté couleur, on est vraiment dans le nude, dans le beige poudré, très clair. Idéal pour les beaux jours, sous des vêtements légers.

Vous l'aurez compris, Maison Close m'a encore une fois emportée, m'a encore une fois ensorcelée. 
Quand je porte un ensemble Maison Close, je me sens divinement "érotique". Car tel est le mot.
Rien que pour cela, la marque a tout gagné.  

BILLET D'HUMEUR #24 - OUEST-FRANCE (10/04/2013)

"Croix de bois, croix de fer"

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Esprits déco d'écho, le sens du chic

Au tout départ je pensais que Esprits déco d'écho était un bureau d'architecte. Et puis, un jour, en me garant juste devant, j'ai vu un "Entrée libre" qui a attisé ma curiosité.
Quand j'ai poussé la porte de cet hôtel particulier du XIXe, à deux pas de la cathédrale de Quimper, j'ai tout de suite compris que je rentrais dans une sorte de caverne d'Ali Baba chic.

Tenue par Hugues Salvador (tout à fait charmant) et Gilles Baleria (qui doit l'être tout autant mais que je n'ai pas eu le plaisir de rencontrer), cette boutique est l'un des repaires chics de la décoration quimpéroise. Deux pièces différentes pour deux ambiances différentes. L'une plus baroque, l'autre plus contemporaine avec des touches d'indus.
Les deux pièces recèlent de magnifiques objets éclectiques. On sent les belles matières, les matériaux nobles, les pièces uniques, le sens du "chic-cosy".

Et si vous avez besoin d'un coup de main, de conseils déco, Hugues et Gilles proposent également des prestations de home relooking, de home staging et de personnal shopper.
Allez faire un tour... Vraiment.

Esprits déco d'écho 
1 ter/3 rue de la mairie
29000 Quimper
Tél. 02 98 95 34 19 

Instalove #3 : Coxpit

Le net. La toile. Des ramifications multiples. On file à droite, on court à gauche. Parfois on se perd. 
Instagram n'échappe pas à la règle. 
Qui suivre ? Qui vaut la peine ? 
Instalove réunit mes coups de coeur Instagram...

> Je ne sais plus comment je suis tombée sur le compte Coxpit. Un joli hasard du net. Ces photos m'ont sautée aux yeux. Toutes ces vieilles bagnoles, ces vieilles Coccinelle, ces vieilles Volkswagen, certaines nickels, certains complètement pourries. Toutes ces couleurs, parfois étincelantes, parfois passées, parfois rouillées.
J'aime cette dualité, cette notion d'intemporalité et à la fois de temps qui passe. 
Coxpit a un vrai univers qui nous "chope". 
Découvrez-le.


// Qui es-tu ? Que fais-tu ?
Je m'appelle Peter Toussaint, j'ai 32 ans. Peter Pistache Molko sur Facebook et Coxpit sur Instagram. Je vis dans l'Aisne, une petite ville, Soissons (02), et travaille à Paris 19eme. Je suis cuisinier dans la vie professionnelle. A mes heures perdu, fan de vieilles voitures avec une attirance principale pour les modèles Volkswagen aircooled, je suis photographe amateur, collectionneur geek vintage, fan d'objets vintage, de brocantes, burlesque, vélos fixie...

// Tes photos pour la plupart mettent en scène des vieilles Volkswagen. Tu nous racontes un peu cette passion...
Fan de vieille voitures Volkswagen depuis tout petit après avoir regardé les films de Walt Disney comme la Coccinelle, je me suis toujours dit qu'un jour j'aurais la même dans mon garage. En 2005, après avoir assisté à un mariage où la voiture des mariés était une Coccinelle, je parle avec le proprio et il me dit qu'il va y avoir le plus grand meeting aircooled la semaine prochaine sur le circuit de spa - francorchamps et m'invite. Là, je tombe amoureux de ces véhicules et de cette ambiance qui règne sur ces meetings. J'achète un combi sur place et par la suite une Coccinelle. 

// Parles-nous de ta première photo postée sur Instagram ?
Je découvre l'application Instagram en téléchargeant sur l'Apple Store une application de retouche de photos en vacances en Vendée il y a 2 ans environ. Donc je poste une photo de vacances sans trop savoir comment fonctionne cette application. Par la suite je vais aller sur un meeting Volkswagen et donc poster des photos de véhicules et vite m'apercevoir que ce genre de photos intéresse plus les gens que les autres donc mon compte va vite être envahie de ce genre...
 
// Comment repères-tu tes photos ? Toutes les photos sur IG sont-elles de toi ?
Je repère mes photos vite fait. Il n'y a pas de voitures modernes ou de personnages donc je shoot. Les photos postées sur mon Instagram sont prises à 95% par moi, j'aime aussi poster des flyers de meeting.

// Ta photo préférée sur ton IG ?
Ma photo préférée est une photo de ma cox et ma meilleur amie. 

//Instagram, pour toi, c’est quoi ?
Instagram pour moi, c'est une grande plate-forme pour partager ses photos et ses passions avec d'autres dans le monde entier grâce aux tags #.

Coxpit
🐗 ©Peter Molko 🍺🍟🍤🍣🍩 Made in France 🇫🇷 Paris & Soissons ⚓, 📷My photography , Pin-up💋, Old car 🚗 , Geek 🎮, My KIK 💬 coxpit 📱- IPhone full - NikonD50 ⚠ 

Tous les autres portraits INSTALOVE sont à lire ici.

Pour me suivre sur Instagram, c'est par là !

Mon cœur

J’ai retrouvé mon cœur. Ca a pris des années. C’était un arnaqueur, il s’était déguisé. Il y avait la douleur. Je l’avais oublié. Elle était la liqueur de mon sombre passé. Mon cœur... Mon cœur... Il fallait l’adoucir pour pouvoir m’envoler, et enfin réussir à dire sans réciter. Les perles souterraines ont coulé dans la mer. La coquille n’est plus reine, et le gout, plus amer. Mon cœur... Mon cœur... Les étoiles gouvernent, leurs reflets illuminent. Elles ont mis à la benne les rongeuses vermines. C’est le baume qui relaxe. C’est le souffle qui revient, sans retour ni surtaxe. Le sourire aérien… Mon cœur.

BILLET D'HUMEUR #23 - OUEST-FRANCE (03/04/2013)

"Souviens-toi !"

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# RCF - Interview # Mars 2013

Si vous avez 8 minutes et 3 secondes, voici une interview que j'ai donnée pour la radio RCF il y a quelques jours. 

Emission : "Les trouvailles de Vincent", par le journaliste Vincent Bondennec.

Instalove #2 : Galice

Le net. La toile. Des ramifications multiples. On file à droite, on court à gauche. Parfois on se perd. 
Instagram n'échappe pas à la règle. 
Qui suivre ? Qui vaut la peine ? 
Instalove réunit mes coups de coeur Instagram...

> Je suis Galice depuis mes débuts sur Instagram et j'aime les photos de Galice depuis mes débuts sur Instagram.
Sa façon de photographier ces petits instants de vie, tout en détails, avec une précision et une sensibilité toujours impeccables.

Galice fait partie de mes incontournables sur IG.

Pour ce billet, j'ai visionné ses 837 photos. Je n'avais pas tout vu. Je n'avais pas vu que Galice, en plus d'avoir un oeil singulier, avait un physique.

Et puis je l'ai contacté pour ce billet. Il a répondu à mes questions. J'ai lu ces réponses. En plus d'avoir un oeil et un physique, Galice a un tête bien pleine.

Bref. Je l'aimais déjà beaucoup, maintenant, je l'adore.


// Qui es-tu ? Que fais-tu ?
Je me prénomme Sébastien. J'ai 37 ans. Après avoir été créateur et dirigeant d'entreprises pendant une quinzaine d'années, je suis aujourd'hui consultant en nouvelles technologies.

// As-tu des « sujets » et des filtres préférés ?
Je dois avouer qu'à défaut d'être rationnel, je suis plutôt instinctif.  Par conséquent, j'ai rarement des sujets prédéfinis. La seule chose qui pourrait donner une cohérence à cet ensemble disparate : "Les petits détails". Par ailleurs, j'aime l'atemporalité conférée par les photos en noir et blanc. Elles forcent le regard sur les détails, les contours, les formes et reflètent une part de mystère.

En ce qui concerne les filtres, j'utilise accessoirement "Mayfair".

// Parles-nous de ta première photo postée sur Instagram ?
Ma première photo sur Instagram doit-être la plus floue, moche et mal cadrée que j'ai pu faire. Quoique... Les photos ratées ont aussi droit à leur moment de gloire, après tout. Elle a été prise avec un smartphone jetable et pour couronner le tout, je l'ai affublé du filtre "Lord Kelvin", ce qui a fini de l'achever. Pour les personnes qui n'ont pas une acuité visuelle de 12/10eme, c'est un Hakama d'Aïkido. Alors, pourquoi cette photo ? Il fallait bien commencer par quelque chose et je n'avais pas de chat sous la main.

// Comment repères-tu tes photos ?
Je n'ai pas de méthodologie ou de rituel particulier. J'utilise essentiellement la technique du "Pourquoi pas ?".

// Ta photo préféré sur IG (prise par toi) ?
La prochaine ! ...Mais ne l'ayant pas encore postée, je vais te dire le Musée d'histoire naturelle de Londres avec cette lumière qui se diffuse de part et d'autre de la statue de Darwin.

//Instagram, pour toi, c’est quoi ?
D'utilisation relativement simple et rapide, cette application de partage de photos m'a permis de découvrir des personnes, des sensibilités et des lieux entre autres choses. Comme n'importe quel autre réseau social, Instagram est basé autour des mêmes principes comme partager, communiquer, «suivre» et «être suivi», etc. Il est, cependant, différent sur un point : "la barrière de la langue". C'est une communauté plus globale. Je suis des Instagramers de différents pays avec beaucoup de curiosité et d'intérêt. Ce que j'y ai trouvé n'est pas tant de savoir comment nous sommes différents, mais la façon dont nous sommes tous semblables.
Les gens partout dans le monde célèbrent des anniversaires, chérissent leurs enfants et leurs animaux, s'adonnent à leur passion, apprécient un beau coucher de soleil ou une scène de la vie quotidienne.
Pour ce qui est du point vue photographique que ce soit technique, artistique ou esthétique, je citerais Oscar Wilde : "la beauté est dans les yeux de celui qui regarde".

Galice,
Une vie entière dédiée à la plaque et à son côté 
 
Tous les autres portraits INSTALOVE sont à lire ici.

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BILLET D'HUMEUR #22 - OUEST-FRANCE (27/03/2013)

"Les loups"

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Concours Highheels

Ceci est ma participation au concours de Le Shaker de Cyril organisé par Cindy de chez Highheels. 
Pas de votes, c'est l'équipe de Cindy qui va choisir.
Objectif : photographier une paire de chaussures à talons, portée ou non, de façon glamour.
A gagner : un séjour à Paris pour la soirée de lancement de la marque Highheels sur le marché européen. Au menu : dîner, champagne, glamour et Highheels.
Tout un programme.
Le Shaker qui faisait son premier concours... J'étais obligée de participer.

Il y a tout juste un an...

... j'étais là.

C'était top.

Vraiment top.

La cigale égarée, un restaurant à découvrir

Un samedi soir sur la Terre.
Envie d'un restau. Mais d'un restau que je ne connais pas. Je demande conseil sur twitter, on me répond. Ca fuse. Un tweet attire mon attention. Celui de Manu (@_manion), un fidèle follower de Quimperlé. Il me conseille La Cigale Egarée, à Quimperlé justement.

Je jette un coup d'oeil sur leur site Internet. Ok, curieuse, je réserve.

Le contact au téléphone est hyper positif. Le type est d'une jolie gentillesse et manie l'humour avec habileté. Concept affiché : "Un restaurant gastronomique dans une ambiance très très cool".

En arrivant au restau, en entrant dans la zone industrielle, on se demande quelle gueule aura l'établissement.
Virage à droite, virage à gauche, une longue allée, et j'aperçois la bâtisse légèrement éclairée. Il faisait nuit, mais les petites lumières dessinent une maison de maître d'un charme fou. J'aurais aimé la voir de jour...

L'accueil est parfait. Deux salles. L'ambiance est agréable, la décoration efficace : murs patinés, vieux parquet, bulbes de plantes, cage à oiseau, miroirs... Si j'étais pointilleuse (et je le suis... so...), je relèverais certains petits détails à améliorer : le coin vers quel nous étions installés mériterait un petit coup de fraîcheur. On voit (trop) que la plinthe et le bas du mur ont subi l'humidité. 

Carte, commande, vins.

Petite mise en bouche avec une anchoïade et petits croûtons de pains tièdes. Salée (of course), très aillée (re-of course), j'aime beaucoup.

Suit un second amuse-bouche : une soupe de lentilles au lard fumé et un ventre de lieu aux tomates séchées. 
Ca, j'ai adoré. La soupe était top, les saveurs justes, et le lieu était hyper doux en bouche. (J'ai l'impression qu'il y avait une huile spéciale, mais je ne saurais pas dire laquelle...)
La photo ne rend pas grand chose. La disposition de l'assiette rectangulaire de l'amuse-bouche sur l'assiette ronde noire fleurie n'est pas des plus heureuse. Elle ne met pas en valeur le plat. A revoir d'après moi.

Arrive ensuite l'entrée.
J'avais choisi la Pastilla d'agneau caramélisé aux douces épices « Extrême réduction de jus de cuisson » avec son sorbet d'oranges amères à l'estragon.
Superbe entrée. Des saveurs d'Extrême-Orient délicates et gourmandes. J'étais assez réservée sur le sorbet à l'orange à la commande et son alliance avec la pastilla d'agneau s'est révélée juste parfaite. 
Même si La Cigale Egarée s'affiche "ambiance très très cool", je regrette très (très) fortement la cuillère en plastique dans la verrine du sorbet. Absolument pas agréable, ni pour les yeux, ni pour la bouche.

Le plat : Bacon caramélisé « Whisky à l'orange » autour du potimarron, un millefeuille de Girolles.
J'ai aimé. Les jus étaient délicieux.  Dommage que les girolles soient arrivées tièdes.

Dessert : Assortiment de gourmandises du moment. 
Au programme, un pudding au rhum vieux chocolat blanc et sa croustille de sésame orange (hyper hyper bon), un cheescake revisité (avec des Spéculoos, hyper hyper hyper bon, mon préféré), une crème brûlée à la lavande (je ne peux pas dire, je n'aime pas la lavande...) et un moelleux chocolat et glace vanille rhum vieux montée à l'huile d'olive (le moelleux très très réussi). 

 En conclusion...
J'ai passé une très bonne soirée. J'ai beaucoup beaucoup aimé le lieu, atypique, convivial et sympathique. J'ai apprécié les plats. On sent que le chef, Damien Victor-Pujebet, fourmille d'idées et qu'il peut encore se lâcher davantage. Sa femme, Sévérine, elle, est très souriante et très agréable. Côté pépète, l'addition a été de 100 et quelques euros pour deux, vin compris. (Menu découverte)
Même si c'est déjà très bien, il suffirait de quelques minis détails pour relever le tout encore d'un cran. 

La Cigale Égarée
Séverine et Damien Victor-Pujebet
Rue d'Athenry, La Villeneuve Braouic
29300 Quimperlé
Tél. 02 98 39 15 53
[email protected]

BILLET D'HUMEUR #21 - OUEST-FRANCE (20/03/2013)

"19,9/20"

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Perdue dans la réforme scolaire

Après Strasbourg, Montpellier et Lyon,  Lille est la quatrième ville dirigée par un maire socialiste à reporter  l'application de la semaine de 4,5 jours à la rentrée 2014. 

Peillon qui,  fin 2012, espérait voir 50 % d'écoliers faire leur rentrée 2013 à la semaine de 4,5 jours doit faire la tronche. Obligé de revoir ses espérances à la baisse. On approche plus des 10 %-30 %...

Delanoë, pressé comme un citron, dit oui pour 2013. Forcément.

Bernard Poignant à Quimper a dit oui aussi. Forcément aussi. 

La maman que je suis est complètement paumée. Les arguments des pour, les arguments des contre, les pédo-psychiatres en carton qui sortent de on ne sait où, les feuilles polycopiées qu'on nous fout dans les cahiers ou qu'on nous colle sur les vitres des écoles... Leur TAP, leur APC, leur exemple 1, leur exemple 2, la grande ville qui dit oui, la grande ville qui dit non...

Perdue.

Je sais que ca va être chaud le mercredi de les lever une fois de plus à 7h15. Elles dormaient bien le mercredi.  J'aimais bien les laisser en pyjama, traîner un peu avant d'aller à la danse. 

Dès septembre, ça changera. Je les lèverai à 7h15 du lundi au vendredi (dans le meilleur des cas... samedi en suspend). Les activités extra-scolaires seront condensés le mercredi après-midi ou le samedi. Elles seront sollicitées tout le temps. Ou alors, faudra laisser tomber la danse et toussa. Je ne sais pas.
Le soir, j'irai les chercher à la même heure, ni plus tard, ni plus tôt. Le temps passé à lécole dans la journée sera le même. Plus le mercredi.  La journée sera toujours aussi longue pour l'enfant avec une demie journée en plus.

Pour y voir plus clair...

> Pour tenter de comprendre quelque chose à la réforme, il y a ça.

> Pour connaître sur les décisions des différentes villes françaises, il y a ça.

> Et pour savoir comment ça se passe ailleurs, il y a ça. 

A noter que les enfants finlandais détiennent le record du minimum d'heures de cours dans l'OCDE ... ce qui ne les empêche pas d'être considérés comme les plus performants d'Europe. 1er en savoir-lire (2000), 1er en mathématiques (2003), 1er en sciences (2006).
(Classement Pisa)

Instalove #1 : Gary Pepper Vintage

Le net. La toile. Des ramifications multiples. On file à droite, on court à gauche. Parfois on se perd.
Instagram n'échappe pas à la règle. 
Qui suivre ? Qui vaut la peine ?
Instalove réunit mes coups de coeur Instagram...

Sur mon compte instagram, je ne suis pas beaucoup de comptes fashion. Les blogueuses modes pullulent (en 1 seul mot) et oscillent entre "le mauvais goût qui veut passer pour la dernière tendance" et "la fille qui oublie que la mode va plus loin que son joli (ou pas) minois".

Quand je suis tombée sur le compte de Gary Pepper, j'ai eu un flash. J'ai immédiatement été subjuguée (je crois qu'il n'y a pas d'autres mots) par sa beauté (même parenthèse que précédemment). Cette fille est tout simplement sublimissime. 

Gary Pepper est une popstar japonaise. Elle est belle, amusante, excentrique, parfois exubérante, avec un style fou. Un vrai caméléon. Elle est l'icône d'une marque dite "vintage" (ouais bon...)  de fringues et d'accessoires et d'un blog dirigé par Nicole Warne : www.garypeppervintage.com.

Gary remet au goût du jour vieilles robes et chemisiers de grand-mère en posant devant l’objectif de Nicole.
Résultat : les photos sont superbes, les tenues mélangeant vintage et pièces de luxe nous plongent dans un univers sophistiqué et très léché.  En plus d'être sublime, le style de Gary Pepper lui apporte toute l'élégance, toute la féminité que j'aime et que j'adore.
Si on me demandait quel style de femme j'aimerais être, taddaaaaa, je répondrais CE style de femme-LA. J'aime tout. 

Mais le compte de Gary Pepper Vintage ne s'arrête pas à la mode. Et c'est ça aussi le plus. On y découvre entre autres de magnifiques photos de NY, de Barcelone et d'ailleurs. 

A suivre donc.

Gary Pepper Vintage, 
A small glimpse into the whimsical world of Gary Pepper
(Un petit aperçu sur le monde fantaisiste de Gary Pepper) 


Me suivre sur Instagram : @ladyblogue

BILLET D'HUMEUR #20 - OUEST-FRANCE (13/03/2013)

"Le Da Vinci Code des chausettes seules"

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La vie en noir de l'ours blanc

La protection de l'ours polaire ne sera pas renforcée. Jeudi dernier, le 7 mars, les Etats réunis à la conférence de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (Cites), qui se tient à Bangkok jusqu'au 14 mars, ont rejeté la proposition des Etats-Unis et de la Russie d'interdire le commerce international de cette espèce emblématique, sous la pression du Canada.

"Le Canada a refusé jeudi d’appuyer une proposition internationale qui aurait permis d’interdire le commerce des ours polaires et des produits dérivés de cette espèce de plus en plus menacée en raison de la fonte des glaces provoquée par les changements climatiques.

L’idée a été suggérée par les États-Unis dans le cadre de la rencontre annuelle des États membres de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction. En fait, les représentants américains présents à Bangkok auraient souhaité que les peaux d’ours polaires, les têtes et les autres produits dérivés de leur chasse se retrouvent dans la même catégorie que l’ivoire des éléphants africains. Ces produits peuvent se vendre plusieurs milliers de dollars.

Toutefois, seulement 38 délégués ont voté pour la suggestion, contre 42 qui ont voté contre et 46 qui se sont abstenus. Le Canada, l’Union européenne et la Norvège sont au nombre des opposants à cette mesure. Ottawa a affirmé qu’un interdit commercial ne réduirait pas le nombre d’ours abattus lors de chasses traditionnelles ou sportives.

On retrouverait entre 20 000 et 28 000 ours polaires à travers le monde, dont les deux tiers en sol canadien. Washington estime que les changements climatiques menacent l’habitat des ours et que des mesures anticipées sont nécessaires pour les protéger.

Plusieurs scientifiques sont aussi de cet avis. En fait, la situation est à ce point dramatique que certains experts jugent nécessaire de poser des gestes radicaux. Ils proposent notamment d’envisager de distribuer des phoques prêts à manger aux ours dans la nature, de les parquer dans des centres animaliers durant l’été ou encore d’en euthanasier certains.

En dernier recours, les zoos pourraient bien devenir le dernier refuge de ces animaux. On pourrait ainsi protéger une petite partie du bagage génétique de l’espèce, mais dans un cadre totalement artificiel."

(Article : Le devoir)

# France 4 - Faut pas rater ça ! # 4 mars 2013

Faut pas rater ça !, le seul et le premier talk show en direct et en public qui traite de l’actu par le prisme du net et des réseaux sociaux, a parlé du clip "Ladyblogue fait son mojo".

Regardez !

Faut pas rater ça ! à 19h40 du lundi au vendredi, sur France 4. 

Pour ceux qui n'ont ENCORE pas vu le clip "Ladyblogue fait son mojo", hop, le (re)voilà :

BILLET D'HUMEUR #19 - OUEST-FRANCE (06/03/2013)

"2089"

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LOVE SONG, LE NOUVEAU TITRE DE VANESSA PARADIS

Love Songs sera le sixième album de Vanessa Paradis. Réalisé et arrangé par Benjamin Biolay, ce dernier a écrit et composé 7 titres sur 20.
Ce nouveal album verra également la participation de Matthieu Boogaerts, Mikaël Furnon, Ben Ricour, Adrien Gallo, Elephant et encore Carl Barat.

Voici le premier single, Love Song, dévoilé hier sur le site de Vanessa Paradis.

Sortie prévue dans les bacs le 16 mai.

Vanessa Paradis "Love Song" w/Lyrics -1er... par MaudClifton

Lou Doillon en concert : court mais bon

J'ai tout de suite aimé son premier album. J'ai aimé la musique, la voix, l'écriture.
Quand j'ai su que Lou Doillon passait à La Carène à Brest, aller la voir en concert me paraissait logique. 
La salle était blindée. Pas étonnant.

Je suis arrivée, la première partie touchait à sa fin. The Last Morning Sountrack.  
Jeune groupe de la scène rennaise avec Sylvain Texier, auteur-compositeur-interprète, et une jeune fille au violoncelle. Leur musique est hyper mélancolique, teintée de nostalgie et très très très calme. Trop à mon goût pour un live. Un titre doux, ok. Deux titres doux, ok. Tous les titres très très doux... au bout d'un moment, c'est soporifique. Ecouter ça chez soi, tranquille, je ne dis pas. Mais en concert... Ca aurait mérité un peu plus de variations. La musique de The Last Morning Sountrack a besoin d'intimité. La Carène, même si c'est une petite salle de concert, a dilué leurs morceaux purs et délicats.

Et puis Lou Doillon.
Elle est arrivée dans un long manteau gris, qui à première vue, fait vieux manteau qui a traîné pendant des lustres, et qui au second coup d'oeil sent la haute couture.
Jeans gris, chemisier blanc. Elégante. Très élégante. Elle a le physique des Gainsbourg, de sa mère Jane et de sa soeur Charlotte, mince, fine. Je la trouve belle. 
Elle a l'air d'être étonnée d'être là, sur scène. Elle sourit, beaucoup. Déconne au micro. Et puis, elle chante. Certains pourraient se demander si le live est aussi bon que l'enregistrement studio. Je les rassure immédiatement : la voix est là et bien là. Lou Doillon me fait penser à Alela Diane et même parfois à Amy Winehouse. Une voix grave, oscillant entre le blues et la country. 
Les chansons sont très bien interprétées, les jeux de lumière sont beaux, les musiciens sont biens... bref, je passe une bonne soirée. 

Je me tape une fixette sur les mains de Lou Doillon. Elles sont magnifiques. Lou chante en les faisant danser. Ses mains comme des ondes musicales. Ongles vernis noir, doigts très longs, poignets très fins. J'adore. En plus de sa voix, je craque pour ses mains.
En milieu de concert, Lou prévient. Elle n'a fait qu'un seul album, elle n'a donc pas beaucoup de titres à chanter. Elle a l'air de s'excuser.  Une jolie reprise des Clash, “Should I Stay Or Should I Go”, en version très folk pour étoffer son répertoire. Mais le titre que je retiendrais de ce concert, c'est indéniablement "Places", chanté dans la pénombre. Un "Places" magique. Qui commence très bas, qui monte, qui monte, qui monte encore, qui monte, qui monte, qui monte toujours. Un "Places" vibrant.
J'ai aimé Lou Doillon en concert.
Un seul bémol : le concert a été très très court. Une heure. Une heure de concert. C'est trop peu. J'avais envie de plus.
J'irai très certainement voir le prochain. 

# OUEST-FRANCE # 2 MARS 2013

(Cliquer sur l'image pour l'agrandir.)

"Ladyblogue fait son mojo" : le clip !

Ca y est. C'est terminé.
Je me suis déchirée les yeux au montage hier (carrément pas évident... surtout quand on ne connait pas le logiciel....) et voilà le résultat.

Petit rappel de la chose pour les p'tits nouveaux...

Avec Valentin, Charles, Lucas et Julien, nous avons fait notre mojo pour le concours lancé par Matthieu Chédid.

Le clip a été tourné à Quimper, en plein centre-ville samedi 23 février.

Je bosse sur le projet depuis des semaines. Un travail de taré...

Le repérage des lieux tout d'abord. Je voulais des "fonds" sympas, colorés, graphiques. 24 lieux différents retenus en tout.

> 9 heures de tournage en extérieur. Une température de -4°C le jour J. Filmer sous la neige... et (un peu) le soleil...
> Refaire des plans à la maison avec une lumière rouge...
> Plus de 2 heures de rush à visionner. J'ai tout classé, tout annoté, chaque plan de chaque lieu, tout minuté... Je n'avais jamais fait ça et, croyez-moi, c'est un travail de titan...
> Et puis 10h30 de montage fait maison. Sur Windows Movie Maker... (Ouais, je sais...)
> Et puis enregistrement du fichier mille fois pour trouver la bonne extension qui va bien (mp4, wmv, abc, 458, b45y85, jul52$42...... P***** !!!!).
> Et puis upload sur YouTube cette nuit et...

VOILÀ ENFIN LE RÉSULTAT !!!!!!!

J'espère de tout mon coeur que ça vous plaira. (Je compte sur vous pour faire tourner ! ;-)

Et j'espère de tout mon coeur que ça plaira à Matthieu Chédid...

BILLET D'HUMEUR #18 - OUEST-FRANCE (27/02/2013)

"Zing boom ! Wow bam !"

 

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