J’avais voté pour lui. J’avais
confiance. C’était la première fois qu’un homme politique m’interpellait.
C’était la première fois que je sentais du vrai.
Et puis, y’a eu des indices. Bien
sûr, on disait non, mais à l’intérieur, on commençait à douter.
Et les indices sont devenus
évidences.
Pas sur le politique, sur
l’homme.
Une histoire de stylo.
Une histoire de « pauvre
con ».
Une histoire de Vuitton (« tu
vas m’ramener quelque chose, hein ? » ou comment enfoncer sa belle ?).
DérapageS.
Bibis coup de pied au cul