J’ai le plaisir d’inviter
aujourd’hui la reine du macaron, la déesse de la collerette, la princesse du
croûtage, oui mesdames et messieurs mesdames, vous l’avez
reconnue : aujourd’hui, c’est Miss
Mercotte qui nous dévoile ses petits riens à elle.
Celle pour qui la gaieté est une
évidence a très gentiment accepté d’être la deuxième, après Laurent Gloaguen
des Embruns, à remplir cette nouvelle rubrique (rubrique qui sera
« physiquement créée dès que Typepad le voudra bien…).
Mercotte… Rien que son nom, son
pseudo, suggère une dégustation. En le prononçant, on imagine déjà le croquant
délicat du macaron et le fondant de la ganache.
Mercotte… C’est aussi une joie
de vivre, un sourire aussi radieux que ses recettes (la preuve en vidéo ici).
Mercotte, c’est une chambérienne
autodidacte qui tente de nous faire croire qu’elle ne savait pas faire cuire un
œuf quand elle s’est mariée… et qui aujourd’hui jongle avec les fruits et
légumes, les couleurs, les saveurs, les textures…
Mercotte, c’est un blog avec des
recettes incroyables et des photos qui feraient saliver une momie.
Mercotte, c’est aussi un livre à
offrir ou à s’offrir.
Mercotte… Mercotte… Mercotte…
Je te laisse la parole le
clavier…
Les petits riens de... Mercotte
Mes petits riens, ce sont mes
petits bonheurs jubilatoires, simples et quotidiens, une succession de
« non évènements » qui font que décidemment la vie est belle.
Juste le plaisir d’un petit
déjeuner à 4h du matin, dans la nuit de la grande maison silencieuse, car même
l’été il fait toujours nuit à cette heure là.
Apprécier pleinement mon vrai café et mes tartines maison, puis dès
potron-minet entendre le piaillement joyeux des oiseaux.
Découvrir les premières primevères
sur les talus qui annoncent le réveil de la nature et l’arrivée attendue du
printemps, puis voir s’étoffer un tunnel de verdure qui masque l’arrivée à la
maison signe que l’été est là !
A la belle saison partir le jour à
peine levé pour une heure de marche le long de la rivière et rire toute seule
en voyant le petit cul blanc des
jeunes lapins qui se sauvent à mon passage et saluer joyeusement quelques sympathiques joggeurs ou cyclistes
eux aussi matinaux.
Entrevoir à l’automne dans la
brume matinale la famille de faisans qui niche en dessous de la maison,
traverser tranquillement la pelouse et se dire qu’ils sont trop beaux.
Découvrir les matins d’hiver que
la nuit peut être rose, parce que la neige a tout recouvert et apprécier encore
plus la chaleur de la cuisine.
Vivre dans SA ville, ne pas
pouvoir faire
Des petits riens qui finissent par faire beaucoup… Sans oublier le pire… à toute heure la joie d’aller plonger une main gourmande dans les sacs de chocolat de la réserve !