Pour ceux qui n'ont pas suivi, la semaine dernière, Zette m'a affublé d'une bonne paire de couilles dans un de ses commentaires (lire le blog-it express juste sur votre droite). Enfin d'une "paire de couilles" tout court, mais comme à mon sens, "paire de couille" ne va pas sans le mot "bonne", je ne dissocie les termes.
De plus, ce n'est pas à moi en tant que personne que Zette a distribué une (bonne) paire de couilles, mais à mon blog, qui ceci dit, est à peu près la même chose. Car plus le temps passe, plus les jours défilent sur ce haut lieu insignifiant du web 2.0, plus Ladyblogue et moi ne faisons qu'un. Mais est-ce que cela n'a pas toujours été ainsi ?
Bref, me voilà avec une (bonne) paire de couilles, et putain, ca fait du bien ! Car évidemment (quoi ? ce n'est pas une évidence ?), en tant que femme, autant vous dire que d'avoir une (bonne) paire de couilles fait partie de mes fantasmes les plus sages fous. Effectivement, qui dit "(bonne) paire de couilles", dit "biloute" et forcément, ça me laisse rêveuse.
Quelle femme n'aimerait pas savoir, au moins une fois dans sa vie, ce que ça fait d'avoir un membre turgescent (ou non) (mais turgescent, c'est mieux...) entre les jambes ?
Quelle femme n'aimerait pas savoir ce que ça fait d'éjaculer après s'être bien amusé avec ladite chose ?
Quelle femme n'aimerait pas savoir quelles sensations l'homme ressent lorsqu'il se fait manger tout cru ou empaler tout cuit ?
Putain (bis) ! Une véritable frustration d'admettre, Ô misère innommable !, que jamais, Ô grand jamais, je ne pourrais avoir le sublime honneur, le paradisiaque privilège, l'intactible faveur de connaître ce que c'est d'avoir une biloute et une (bonne) paire de couilles. (Sans l'aide d'un bistouri ou autres instruments de torture j'entends.)
(In)juste ciel !
Calamité.
Bassesse divine.
Et pour une fois, il n'a pas fait d'quartier l'bon(?)-homme ! C'est pour tous la même chose : les femmes comme les hommes. Car eux non plus ne sauront jamais. JAMAIS. Mais cette prosaïque satisfaction égalitaire (oui... je sais...) ne compense rien du tout.
Mon fantasme reste inaltéré et complet.
Et n'allez pas me dire pour me remonter la le morale que ca tombe bien, que les fantasmes doivent rester fantasmes, surtout ne pas être réalisés. Mon cul sur la commode !
Je veux des couilles et une biloute, je veux une biloute et des couilles, un point c'est tout !
Ohh, pas pour toute ma vie, nan, nan, nan... disons... rien qu'une petite semaine... une petite semainette... allez !... juste le temps de faire, d'essayer, d'expérimenter assez de choses pour me faire une p'tite idée.
Après, je les rends, promis !