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Amadou & Mariam feat. Bertrand Cantat - Oh... par amadouetmariam
Après avoir participé au titre Palabra Mi Amor du groupe électro-rock français Shaka Ponk, Bertrand Cantat revient sur le devant de la scène en participant à l'enregistrement de Folila, nouvel album du duo malien Amadou et Mariam prévu pour le 26 mars 2012.
Le rockeur français s'est rendu en Afrique pour travailler sur six titres de cet album, notamment Oh Amadou, premier extrait de Folila, sur lequel il fait les choeurs et joue de divers instruments. Avant de proposer l'EP en téléchargement le 9 janvier prochain, le couple aveugle rendu célèbre par l'entraînant Dimanche à Bamako a mis en ligne un premier extrait d'Oh Amadou, où l'on découvre le groupe en studio à Bamako avec Bertrand Cantat. Le chanteur français est très présent dans la vidéo, puisqu'on le découvre derrière un micro, jouant de l'harmonica, de la guitare acoustique et des percussions, ou encore assis devant la table de mixage. Même si le style très world du titre semble fort éloigné de son univers musical, Cantat apparaît très à l'aise et investi dans la chanson.
(sources : lefigaro.fr)
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- Bonjour, Madame R. de la Société Générale... je vous appelle car le service carte m'a contacté, ils ont relevé des transactions inhabituelles sur votre compte, j'aimerais en discuter avec vous. Merci de me rappeler dès que possible au XX XX XX XX, c'est urgent.
Le flip total.
Ben voilà, on croit toujours que le piratage bancaire n'arrive qu'aux autres et ben non : en plein dans ma face (enfin, en plein dans mon compte).
Bon, les dégâts auraient pu être beaucoup plus grave. Après vérifications, "que" 150 et quelques euros de piratés. Origine : USA.
Carte bleue bloquée, la banque me remboursera tout si jamais la transaction faudruleuse a eu le temps de passer. Nouvelle carte, nouveau code.
Il va falloir que je me penche sérieusement sur les systèmes de paiements en ligne sécurisés existants (si vous avez des infos...).
En tous les cas, me voilà sans carte bleue pendant au moins 10 jours. En pleine période de fêtes... Youpi tralalala.
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Pour différencier les différentes versions d'Android autrement que par un numéro, Google a pris pour habitude de leur donner des noms de desserts en suivant un ordre alphabétique : Cupcake (version 1.5), Donut (version 1.6), Eclair (version 2.0 et 2.1), Froyo (contraction de Frozen et de Yogurt, version 2.2), Gingerbread (pain d'épice, version 2.3), Honeycomb (version 3.0), Ice Cream Sandwich (sandwich glacé, version 4.0) et, la prochaine, Jelly Bean (certainement version 4.1).
Après la lettre J, viendra la lettre K...
Que choisir alors ?
Un groupe de Bretons milite pour que la version 4.2 à la lettre K se prénomme "Kouign-amann" (kouign = gâteau, amann = beurre ! ça vous donne une idée des calories...).
Regroupés autour du site K4Kouign (ils auraient pu faire plus simple...), les bretons espèrent que leur proposition soit retenue par Google.
Et en plus, le Kouign-amann n'a pas de concurrents sérieux. Le kouglof est certainement hors jeu car en anglais, il se traduit plutôt Gugelhupf. Idem pour le Krapfen (beignet autrichien) qui se dit Donut aux USA, dessert déjà utilisé.
Alors, vous savez ce qui vous reste à faire ! Allez voter !
Mersi bras !
Pour soutenir K4Kouign :
> leur page Facebook est ici
> leur page Google+ est ici
> et sur twitter, suivre avec le hastag #K4Kouign
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Quand on achète un cadeau, on aime bien que le paquet que la vendeuse/le vendeur nous prépare soit joli.
C'est vrai, l'emballage d'un paquet, c'est important ! C'est comme une belle assiette au restaurant, comme de la belle lingerie sur une femme, comme un beau packaging dans les rayons (ne voyez aucun rapport entre packaging dans les rayons et lingerie sur une femme...). Bref, le contenant est presque aussi important que le contenu. Le fond et la forme, quoi.
Qu'importe le flacon pourvu qu'il y ait l'ivresse... heu, oui... mais en fait non.
Samedi, je suis allée chez Fly, j'ai trouvé deux cadeaux là-bas. Après la caisse, 3 jeunes d'une vingtaine d'années proposaient leurs services pour emballer les cadeaux. Les pourboires des clients servaient à une action humanitaire je ne sais plus où.
D'habitude, je ne donne jamais mes paquets à emballer. Je demande le papier (s'il est joli), le bolduc (s'il est joli) et je débrouille chez moi, tranquille et je fais comme je veux. Et puis là, allez savoir pourquoi, la folie de mon jour d'anniversaire ?, je donne les achats à ces d'jeunes.
Malheur à moi.
Le premier, une jeune fille, m'a emballé mon cadeau dans un paquet rose, a tourné la chose dans tous les sens, a froissé le papier dans tous les sens, et a collé 59 bouts de scotch minimum dans tous les sens.
- Tenez, voilà !
- ... Merci....
Le deuxième, un jeune homme avec un chapeau mou de Père Noël sur la tête (exemple de mauvais packaging...), s'attaque à mon second achat.
En attendant (ca a duré bien 20 minutes), je le regarde, ébahie par tant de nigouillerie. Mes yeux tombent sur un papier scotché sur les grands rouleaux de papier cadeau où était inscrit "Réservé à nos client".
Forcément, ça me démangeait.
Je dis à la petite jeune en lui montrant le papier :
- Ca serait bien de mettre un s...
- Où ça ?, me demande-t-elle l'air vide.
- ... ben... à clients... un s à clients...
Elle inspecte le papier, vois la faute et me répond :
- C'est pas à nous (sous-entendu c'est au magasin Fly) et puis, j'ai pas d'stylo !
La grosse feignasse... elle te fait des paquets de merde, se cache derrière des "c'est pas à moi" et ne peut pas bouger son cul pour aller chercher un stylo à la caisse du magasin.
Je me penche au-dessus de sa table et attrape un stylo caché dans une boîte.
- Tenez, un stylo, je lui dis avec ma voix de vieille bique au un an de plus.
La tronche sur la gueule, elle corrige le papier.
Juste après, le jeune Père Noël me tend mon second paquet.
Marron le paquet. (Nota : si le marron est beau, on dit chocolat, café, brun, caramel, bistre, châtaigne, cannelle, Terre de Sienne, acajou, cacao, fauve, noisette... Si le marron est moche, ben, on dit "marron"...)
Les photos parlent d'elles-mêmes.
Massacre au papier cadeau !
Froissés, déchirés, collés n'importe nawak, mes filles auraient mieux fait.
Inutile de vous préciser que pour leur voyage humanitaire, moi, je ne leur ai pas fait de cadeau !
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Et un de plus.
(Mais un de moins que prévu... c'est toujours ça de gagné... enfin de pas pris...)
Edit :
> Merci pour vos gentils mots pour mon anniversaire en IRL (non non, pas de noms !!!!) !
> Merci pour vos gentils mots pour mon anniversaire via les commentaires !
> Merci pour vos gentils mots pour mon anniversaire via les mails (non non, pas de noms !!!!) !
> Merci pour vos gentils mots pour mon anniversaire sur Twitter ! @totoc1001, @Zurg_, @ch_carriere, @LittleDaewoo, @atafoto, @sibestan, @romainblachier, @jeanmariebosser, @fugazy, @loeildeb, @The_ArtyGirl, @BreizhWeCan, @Bat00, @esmepim, @AymericPM, @philippecaillet, @stephtweetie, @MryEmery, @dietmarc, @StephZibi, @gabrielchauvet !
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(Aujourd'hui, je laisse la parole à Bill mon Boss, le mec qui est juste là.)
Bon…
La Pénélope, elle vient me voir dans mon bureau et me déclare tout de go ! Hé chef (j’aime pas quand elle m’appelle chef !), tu me ferais pas un papier pour mon blog sur les handicapés ?
- Sur les handicapés, ben pourquoi moi ?
- Non, c’est pas ça Bill (J’aime bien quand elle m’appelle Bill, même si j’ai toujours pas compris pourquoi ?), c’est vrai, je le vois pas moi ton fauteuil roulant, mais faut bien reconnaître que… ben… ça y ressemble vraiment le petit chariot moche que t’as sous les fesses.
- Ah oui, excuse-moi, lui répondis-je (j’aime ce ton qui instaure une certaine distance avec le petit personnel), l’air faussement chafouin !
- Il paraît qu’à la Capitale, ils ne savent plus reconnaître le vrai du faux, chef ?
- Ah mon petit (expression familière et paternaliste qui consiste à recréer une ambiance après la remarque susdite), vous faites certainement allusion à cette contravention prise à Paris, alors que je me garais sur une place handicapé ?
- Oh oui chef, vous racontez bien !
- Eh bien oui, je pose la question ! De quel droit aujourd’hui, une personne à mobilité réduite (ça aussi j’adore !) s’arroge-t-elle le droit de se garer sur une place qui lui est réservée ? C’est la question que j’ai immédiatement posée à l’officier interministériel du commissariat du VIe arrondissement dans une missive que je joins à ce papier.
Extrait :
Quimper le 8 décembre 2011,
Monsieur l’officier interministériel,
Je ne sais pas si cela est un gag ou alors si les services de police sont tombés sur la tête et distribuent des cadeaux de Noël en cette période de fête, mais… prendre une amende de 135 euros sur une place handicapé, alors que vous avez disposé votre macaron GIC bien en évidence et que vous êtes vous même en fauteuil roulant à de quoi surprendre !
Peut-être ces messieurs pensent-ils que depuis qu’ils ont vu le film des « intouchables » avec François Cluzet, qu’il n’y a que de faux handicapés qui s’amusent avec de faux fauteuils roulants.
Eh bien non, dans mon cas, c’est un vrai fauteuil avec dedans un vrai gars qui marche pas !
Alors merci de prendre avec humour cette missive et de m’accorder une exonération pour une amende qui ne m’est pas destinée.
Bien cordialement.
Le chef de pénélope !
- Vous rigolez chef !
- Mais non c’est la vérité, de même que par le passé, à Quimper, alors que l’idée sotte et grenue me prenait, une fois encore, de disposer avec malice mon véhicule sur une place réservée à cette gente de personnes autorisées, à qui l’on réserve des places ici et là; une femme mûre, pour ne pas dire blette, m’agresse, à peine ai-je entrouvert la porte de mon automobile immobile.
- C’est une place handicapé, maugrée t-elle violemment en faisant un geste dédaigneux à mon encontre. Les places handicapés, c’est pas pour les chiens, croit-elle bon de rajouter !
- Ce à quoi je rétorque immédiatement. Mais dites-moi ma bonne dame ! Il n’est point possible d’avoir une grosse voiture (je ne citerais pas le modèle, mais tout de même, je suis chef !), d’être beau gosse, et d’être handicapé. Eh toc !
- Oh chef-chef, vous me faites rire, chef !
- Bon, Pénélope, vous êtes gentille, mais voilà tout de même une bonne heure que vous êtes dans mon bureau à me questionner sur la place des handicapés dans la société, leurs petits malheurs, leurs angoisses angoissantes, leurs pneus dégonflés, leurs histoires tristes et gonflantes… Que diantre, retournez travailler ! Et puis, ce soir, filez voir les « intouchables » pour découvrir que ce film donne une envie irrépressible d’adopter un handicapé comme un petit animal de compagnie, avec un avantage certain à la différence du hamster ou du lapin nain, c’est que le tétraplégique ne risque pas de s‘échapper tout seul.
… Et arrêtez de m’appeler chef !
(Photos : Bill le Boss)
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Fin de semaine dernière, le Guardian a révélé une information tout à fait hallucinante : il y aurait au sein de l'armée américaine 1 viol toutes les 3 heures !
En 2007, le département de la Défense avait signalé 2 200 cas de viols dans l'armée. Le nombre est monté à 3 158 en 2010 (soit un viol toutes les 3 heures). Ce chiffre est deux fois supérieur à la moyenne de la population féminine civile américaine, chez qui on répertorie un traumatisme d'ordre sexuel pour une femme sur 6.
La plupart des dossiers sont "généralement" classés, faute de preuves. Seulement 8% des agresseurs supposés sont réellement suivis.
Une femme militaire américaine en Irak a plus de risques de se faire violer par un collègue que d'être tuée par l'ennemi.
Bonne journée.
L'article du Guardian à lire ici.
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Oh ! Qu’il faisait bon, dehors à la campagne ! C'était l'été. Les blés étaient jaunes, l'avoine verte, le foin était ramassé par tas dans les prés verts, et la cigogne marchait sur ses longues jambes rouges et parlait égyptien, car sa mère lui avait appris cette langue. Autour des champs et des prés il y avait de grandes forêts, et au milieu des forêts des lacs profonds ; oui, vraiment, il faisait bon à la campagne. En plein soleil s'élevait un vieux château entouré de douves profondes, et depuis le mur de base jusqu'à l'eau poussaient des bardanes à larges feuilles, si hautes que les petits enfants pouvaient se cacher debout derrière les plus grandes : l'endroit était aussi sauvage que la plus épaisse forêt, et une cane était là sur son nid elle couvait ses canetons qui devaient sortir des œufs, mais elle commençait à en avoir assez, car cela durait depuis longtemps, et on venait rarement la voir ; les autres canards aimaient mieux nager dans les douves que de grimper et rester sous une feuille de bardane pour bavarder avec elle.
Enfin les œufs craquèrent l'un après l'autre, on entendait: "clac clac !", tous les jaunes d'œufs étaient devenus vivants et sortaient la tête.
- Coin, coin ! disait la cane.
Et les canetons s'agitaient tant qu'ils pouvaient, et regardaient de tous les côtés sous les feuilles vertes, et la mère les laissait regarder autant qu'ils voulaient, car le vert est bon pour les yeux.
Comme le monde est grand, disaient tous les petits.
Et ils avaient, en effet, un beaucoup plus grand espace que lorsqu'ils étaient enfermés dans leurs œufs.
- Croyez-vous que c'est là le monde entier ? disait la mère. Il s'étend loin de l'autre côté du jardin, jusqu'au champ du prêtre Mais je n'y ai jamais été... Vous êtes bien là tous, au moins ?
Et elle se leva.
- Non, je ne les ai pas tous. Le plus grand œuf est encore là ; combien de temps ça va-t-il encore durer ? J'en ai bientôt assez. Et elle se recoucha.
- Eh bien ! Comment ça va ? dit une vieille cane qui venait en visite.
- Ça dure bien longtemps pour un seul œuf, dit la cane couchée. Il ne veut pas se percer ; mais tu verras les autres, ce sont les plus jolis canetons que j'aie vus ; ils ressemblent tous à leur père, ce scélérat qui ne vient pas me voir.
- Laisse-moi voir cet œuf qui ne veut pas craquer, dit la vieille. Mais c'est un œuf de dinde, tu peux m'en croire ! Moi aussi, j'y ai été pincée une fois, et j'ai eu bien du mal avec les petits, car ils ont peur de l'eau, je dirai ! Je ne pouvais pas les décider à y aller ; j'avais beau les gourmander et les houspiller, rien n'y faisait... Laisse-moi voir... mais oui, c'est un œuf de dinde ; tu n'as qu'à le laisser et enseigner la nage aux autres enfants.
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"Maman, je peux jouer sur ton ordinateur ?".
Une question que j'entends de plus en plus. Mes filles adorent les jeux de cuisine en ligne. Mais les laisser sur ma machine, juste à côté du fameux Google, me laisse souvent une petite pointe d'angoisse. Même si je sais qu'elles restent sur leur site de jeux, je surveille scrupuleusement leur navigation. Au cas où.
Et ce matin, j'ai trouvé la solution. Elle s'appelle "www.potati.com". L'idée est incroyablement simple, terriblement efficace et séduira TOUS les parents. Potati est le premier navigateur web sécurisé pour les enfants de 3 à 12 ans.
Grâce à Potati, vos enfants pourront naviguer sans risquer de tomber sur des contenus ou/et sites inadaptés. Potati propose une sélection de sites pré-sélectionnés (que les parents peuvent agrandir selon leurs envies), qui fonctionne ensuite comme un moteur de recherche, encadré et donc sécurisé.
Le navigateur se lance au démarrage de l’ordinateur, est soumis à un mot de passe à l’ouverture et à la fermeture de la session. Jeux ludo-éducatifs, vidéos, tchats sécurisés, système de mails, guidage audio pour orienter la navigation de l’enfant, contrôle horaire pour limiter le temps de connexion, chaque tranche d’âge a fait l’objet d’une attention particulière et adaptée.
Bref, autant vous dire que je vais tenter le truc !
Le site de Potati : http://www.potati.com
Disponible sur PC ou Macintosh.
2 offres : une gratuite avec timming limité et une payante, (29,90 euros une fois pour toute) pour une utilisation illimitée.
POTATI : ce sont les enfants qui en parlent le mieux !! from Potati on Vimeo.
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Tous les ans, la conférence LeWeb réunit tous les gros acteurs du monde digital. Ca se passe toujours à Paris ou banlieue parisienne. Cette année, pour la huitième édition, LeWeb'11 se passe à la Plaine-Saint-Denis.
Dernière journée aujorud'hui.
Evenement international.
Ok.
Qui se passe en France.
Ok.
Alors, pourquoi - POUR-QUOI ? - le site internet de LeWeb'11 n'est QUE en anglais ? Pour prouver encore plus qu'il s'agit d'un événement de dimension internationale ?
Perso, je trouve ça nulle.
C'était pas envisageable d'avoir un site en deux langues ? Français ET anglais ?
Les cow-boys du web... qui pensent que leur identité française va leur porter préjudice...
Un esprit très parisien.
Je le vois bien dans mon boulot. Les agences parisiennes nous sortent des "oui, on se fera une call conf'" quand moi je dis "on se fera un RDV téléphonique"... Ou encore "ils sont staffés comment ?", quand moi je dis "comment ils sont organisés ?"...
Une personne n'est pas à la mode mais "fashion", un sac n'est pas un sac mais un "it-bag" et tout le monde s'appelle "Cheri(e)".
Arrêtez de vous la jouer un peu, redescendez et crachez l'chewing-gum.
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Grosse grosse présentation aujourd'hui.
De 12h à 13h30.
Devant une vingtaine de personnes.
Gros dossier, énorme budget.
1/4 de notre CA.
La reco est finie, les maquettes aussi.
On est prêt.
On y va avec nos convictions, nos idées. A fond décalées. Décalées mais avec du sens. C'est souvent ce que les agences oublient : donner du sens à leur campagne.
On est plusieurs à être consulter. Y'a des bons en face. Mais je crois en nous.
Nous sommes la dernière agence à passer. La meilleure place.
Si on gagne, champagne, chapeaux pointus, cotillons et langues de belle-mère !
Envoyez-moi vos bonnes ondes... Toutes...
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McDonald's a eu envie de changement. Pour ce faire, la grande chaîne de burger a faire appel au designer français Patrick Norguet pour repenser et relooker l'artictecture intérieure de ses restaurants.
Brief de départ : rendre les McDo français plus familiaux, "à mulitiplier les lieux au sein d'un même espace et d’accompagner différents scénarios de vie" (dixit le communiqué de presse). Pour cela, Patrick Norguet a divisé l'espace en créant des sortes de cabines de contre-plaqué, des rayonnages et en intégrant davantage de bornes de commande.
Patrick Norguet interviendra également dans le design des packagings de l’enseigne, le dessin des tasse McCafé et surtout le mobilier de lobby et de terrasse.
Révélé en 1999 avec sa chaise Rainbow (au prix de 7 792 euros... à vos souhaits...), Patrick Norguet travaille aujourd'hui avec les plus grands. Designer de 35 ans formé à l'ESDI, il développe une approche axée sur l'éclectisme. Ses réalisations s'inscrivent dans des collections permanentes de musées célébres comme le musée Moma de New York. Elu designer " now ! design à vivre " 2005 (salon maison & objet) sa conception du design industriel se caractérise par la connaissance des matériaux et des processus de fabrication.
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A la ramasse complet ces derniers jours pour cause de travaux titanesques à la maison. Je suis là, mais écrire sur un clavier avec des gants de bricolage, des lattes de parquet, un marteau et de la sous-couche, c'est pas super évident.
Malgré tout, quelques news... 3 minutes inside !
> Les travaux, on arrive au bout du bout. Sol posé. prochaine étape : cuisine. Dead-line : 24 décembre. C'est pas gagné...
> J'avais arrêté de croire au jeu-concours, les jeux qui vous font baver comme des escargots devant des photos de plages ensoleillées ou de bagnoles bien carrossées. Et ben si, ca existe ! Jojo, une des graphistes avec qui je bosse, vient de gagner à un concours d'un garage automobile, une Toyota Yaris électrique. Toyata lui a payé l'avion et tout le bordel pour qu'elle aille à Paris chercher sa caisse. Bravo ma Jojo !
> Bon, j'ai pas gagné une voiture (pourtant, j'en aurais besoin, la mienne est au garage... la misère...), mais j'ai gagné une carte cadeau E. Leclerc de 50 euros. Et hop, un truc de plus sous le sapin.
> Après Patrick Sébastien, voici que Nikos Aliagas suit mon compte twitter. Merci Nikos ! Καλώς ήρθατε!
> Y'a des consultations faciles et des consultations difficiles. En ce moment, je bosse sur un difficile. Gros gros gros maousse budget. Présentation jeudi midi devant une vingtaine de personnes. Et, je ne suis pas prête. pas du tout. Mais pas du tout du tout. Pourtant, ce budget, je le veux. Il faut que je l'ai. Je l'aurais.
J'ai dépassé les 3 minutes.
On (6 et 4 ans) me crie dans mon oreillette qu'il faut que je rende l'antenne.
Kénavo les bigorneaux !
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J'ai reçu hier mon nouveau téléphone. Le Galaxy S2. Franchement, il a l'air top.
Je le découvre.
Et c'est pourquoi je vous sollicite aujourd'hui pour me donner les bonnes/sympas applications Android à télécharger.
Si quelqu'un notamment connait une application qui se rapproche de l'hipstamatic de l'iphone, je veux bien.
Merci !
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Elle s'appelle Aliaa Elmahdy, elle a 20 ans, est étudiante en communication au Caire et vit depuis quelques semaines dans la clandestinité, accusée d'insulte à l'Islam.
Aliaa Elmahdy a créer un véritable séisme dans le milieu islamiste en publiant sur son blog une photo d'elle nue pour revendiquer sa liberté d'expression.
Mise en ligne le 23 octobre dernier, "détectée” le 12 novembre par le grand public après la publication d’un tweet d'un bloggeur égyptien militant des droits de l'homme, la photo d'Aliaa a fait le tour du monde et a fait toutes les unes des sites web et des médias. Son blog a l'heure où j'écris ses lignes affiche 5 259 commentaires et presque 4 575 052 visites, et le chiffre évolue au rythme des secondes.
Depuis, les messages de soutien n'arrêtent pas de tomber. Certains bloggeurs se photographient nus, par solidarité, en signe de résistance. Le "nu révolutionnaire".
Evidemment je la soutiens. Imaginez... dans son pays, je serai en taule.
Son blog : http://arebelsdiary.blogspot.com
Son compte twitter : https://twitter.com/#!/aliaaelmahdy
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Je le regarde dans la glace. Mes mots ont l'air de l'avoir surpris. Il m'interroge.
- Mais que veux-tu que je lui dise ?
- Ben je ne sais pas, tout et rien, juste des choses de la vie.
- ... mais quoi ?...
- Y'a toujours un truc à dire, non ? On parle des gamins, l'inscription à faire, le petit mot drôle sorti le matin, on parle du polar que l'on est en train de lire, des idées déco que l'on a pour la maison, de la conversation que l'on a eu avec madame Michu, de l'actualité, du boulot... Toussa quoi...
- Mais non, nous, ca marche pas comme ça. Il n'aime pas lire, à la télé, on n'aime pas les mêmes trucs... et puis, on peut rien lui dire. Et puis j'ai rien à lui dire... On n'a rien à se dire...
- Tu penses le quitter ?
- Oui... j'y pense. de plus en plus. Mais il y a le p'tit... Il m'oubliera vite parce que c'est certain au bout d'un moment, il va me remplacer.
Ses s'embrument, il me prévient.
- On arrête d'en parler parce que là...
J'aurais envie de lui dire plein de choses. Des choses bateau du style on ne reste pas pour les enfants, des choses que l'on entend trop, qui semblent trop faciles et trop évidentes pour être faciles et évidentes. J'aurais envie de lui dire que c'est peut-être une "mauvaise passe", que ca va s'arranger. Mais je ne peux pas. Pas parce que nous sommes sur son lieu de travail et que ce n'est pas le moment (c'est quand le moment ?), mais tout simplement parce que je n'en sais rien, je n'ai pas la clé. Je ne peux pas avoir les bons mots en balançant des phrases qui ressemblent à de faux conseils. Ca ne fonctionne pas comme ça. Je ne connais pas sa vie intime, je ne connais pas son ami, la relation qu'il a avec lui. Je ne peux que l'écouter, être là si besoin mais dire plus, j'en sais rien. Il en sait plus que moi. Peut-être que si nous étions plus proches, je pourrais aller plus loin. Peut-être pas... En y réflechissant, je me rends compte que c'est justement souvent le contraire. Plus on est proche, moins on se dit les choses. On se dit DES choses, mais on tait LES choses. C'est peut-être ça le truc. Et à force de se dire DES choses sans se dire LES choses et ben on ne se dit plus rien. Ca s'altère, ça se décompose. Jusqu'au silence.
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