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" Pour vous" est l'agence qu'a créée Delphine, agence plus ou moins morale destinée, moyennant de coquettes sommes, à satisfaire les demandes les plus loufoques en matière de relations
humaines. Promeneuse de grand-père en fauteuil
roulant, lectrice de romans à l'eau de rose pour dame esseulée, tour raconteuse de mensonges, consolatrice de veuf ou de divorcé, écrivain public de lettres passionnées pour amant malade, prêteuse de
ventre pour mère en manque... Delphine s'oublie dans les malheurs des autres.
Mais à trop jouer avec les sentiments des autres, on finit par se trouver face aux siens, ceux que l'on ne peut contourner, et encore moins monnayer.
J'ai passé un très bon moment. Pas un livre inoubliable, non, mais vraiment un bon moment. Un roman qui nous invite à une réflexion sur notre "monde" et sur les rapports humains. Jusqu'où l'homme peut-il aller ? Quel en serait le prix à payer ? Delphine n'est pas un personnage qui respire la sympathie, mais pourtant, en creusant - si l'on creuse - on s'aperçoit que c'est une fille, comme tant d'autres, qui essaie de comprendre, de trouver sa place et de faire "quelque chose" de sa vie. Quand aux autres personnages du livre, c'est une galerie de portraits plus vrais que nature.
Peur, égoïsme, solitude, manipulation et voyeurisme, "Pour vous" de Dominique Mainard cible très précisément les cercles profonds de notre société.
Prix des libraires en 2009.
Extraits :
"Les plus vertueux me disent : « Vous n'avez pas de cœur. Comment osez-vous profiter de la misère des gens ? Regardez-moi si vous en avez le courage », mais je peux m'exécuter sans baisser les yeux. Je pense : Vous me l'avez demandé, vous m'avez suppliée, vous m'avez implorée. Vous m'avez payée pour ça."
"Il me semblait parfois qu'Adorno n'avait pas tout à fait tort et que le gigolo avait quelque chose de commun avec moi, le don de se plier aux gens et aux circonstances, l'indifférence aux moyens employés, et le cœur sec, bien sûr. Mais je n'avais pas envie d'y penser, car cela serait revenu à admettre que j'étais moi aussi une voleuse, un voyou, une sorte de gigolo, cela serait revenu à admettre que Pour Vous n'était qu'une mince pellicule brillante recouvrant de sombres profondeurs, l'eau coulante noire dans le ventre des égouts."
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Après "Femmes qui courent après les loups", j'ai continué mes lectures sur la condition féminine. Mais là, c'était un hasard. "Dans la ville des veuves intrépides" de James Cañón est un livre que l'on m'a offert il y a quelques temps. Mais un livre s'apprivoise. Je le regardais et j'attendais le jour "où". Ce jour est venu et je l'ai lu.
L'histoire raconte la vie d'un petit village reculé de
Colombie, Mariquita, où la vie s’écoule agréablement, quand un matin de novembre 1992, tout bascule.
J'ai passé un bon moment à lire ce livre ; je regrette toutefois certaines longueurs. J'aurais aimé plus de forces et de mouvement... et une fin autre (mais je ne vous dirais pas pourquoi...).
Extraits
« Ce fut le prêtre en personne qui eut l'idée de
transgresser le sixième commandement. Il décida un jour de rendre visite à la
première magistrate pour discuter de ce qu'il appelait 'un besoin pressant de
procréation'. Il alla à la mairie tôt dans l'après-midi, vêtu de sa soutane en
polyester noir malgré la chaleur implacable qu'il faisait suite à un violent
orage de trois jours. Il amena Hochiminh Ospina, son enfant de coeur âgé de
quatorze ans, qui était consigné pour avoir mangé la provision d'hosties d'une
semaine entière. Le garçon, qui était gras, mou et indolent, détestait cette
fonction, particulièrement quand, comme ce jour-là, il devait transporter
l'énorme bible du padre. »
« La première magistrate allait le long des rues désertes de Mariquita, tête baissée, épaules voûtées, en proie au découragement : son village s'était mué en une Babel sans tour. Comment pourrait-elle jamais gouverner une commune où le temps était une chandelle, une plante, ou même le transit intestinal de quelqu'un ? Comment allait-elle mener à bien les grands projets qu'elle avait conçus pour son village de veuves, quand quatre-vingt-quatorze personnes n'arrivaient même pas à s'entendre sur le point de savoir quand était le matin et quand il faisait nuit ? Peut-être que, si elle fermait les yeux et marchait dans la direction opposée, elle oublierait tout cela. Sans doute était-ce la seule façon de cheminer dans la vie. Oui, peut-être avait-elle résolu l'énigme de l'existence : chaque fois qu'on rencontre un obstacle sur son chemin, tout ce qu'on doit faire, c'est fermer les yeux et marcher dans la direction opposée. »
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Chaque matin une surprise, chaque matin une chanson.
Chaque jour une couleur, chaque jour une ambiance.
Pour son 7e album, Zazie a décidé d'enregistrer chez elle,
7 jours, 7 thématiques, 7 titres par jour
1 single, 1 album, 7 EP (Extended Play) et 1 intégrale... 49
titres
« Ce n'est pas un album. C'est du temps. J'ai écrit 7
morceaux pour 7 niches qui correspondent à nos différents états d'esprit sur
une semaine. Par exemple, pour le mercredi, jour des enfants, j'ai demandé à
des proches, dont mon frère, Phil Baron, de faire des chansons avec leur tribu.
Ce seront des gamins qui chanteront, dont ma fille sans doute... Pour le
samedi, c'est "On sort". J'ai fait appel à des DJ et des remixeurs
pour des chansons plus électro. Le dimanche, ce sera « relaxation" (...)
Et j'ai entendu plein de CD affreux, genre "nature et découverte",
alors je l'ai fait moi-même. Ce seront surtout des instrumentaux. »
Moi qui aime beaucoup Zazie, je vais être gâtée.
Contente la Lady.
Petite crainte tout de même que la sur-production entraîne de la sou(pe)s-production... On verra bien.
Mais en tous les cas, j'aime bien l'idée du projet.
Petit récap des dates de sorties des choses suscitées !
> 1 single :
- "Avant l’amour", premier extrait, sorti hier en
digital (issu de L’EP Ma quête).
> 1 album :
- "Za7ie", l’album, une sélection de titres issus
des 7 EP thématiques: sortie digitale le 13 septembre et sortie physique le 20
septembre.
> 7 EP (Extended Play) :
- Lundi, "Ma quête" – EP digital 7 titres, sortie le lundi
27 septembre
- Mardi, "En images" – EP digital 7 titres, sortie le
mardi 5 octobre
- Mercredi, "Les enfants" – EP digital 7 titres, sortie le
mercredi 13 octobre
- Jeudi, "Recyclage" – EP digital 7 titres, sortie le
jeudi 21 octobre
- Vendredi, "Collectif" – EP digital 7 titres, sortie le
vendredi 29 octobre
- Samedi, "On sort" – EP digital 7 titres, sortie le samedi
6 novembre
- Dimanche, "Relaxation" – EP digital 7 titres, sortie le
dimanche 14 novembre
> 1 intégrale :
- "Za7ie, l’Intégrale", 49 titres : sortie
physique le 29 novembre.
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Des contes et légendes ancestraux qui parlent des origines du féminin. Clarissa Pinkola Estés, psychanalyste jungienne, introduit le conte en rappelant le contexte de sa découverte, le partage et la transmission dont elle a bénéficié et dont elle fait profiter à son tour.
Certains passages m'ont parlé plus que d'autres, certains passages ont été plus nébuleux que d'autres. Je lisais tellement une promesse dans les avis des lectrices, que je m'attendais à "plus". Un peu quand je suis allée voir Avatar et qu'on me disait que c'était du jamais-vu.
Ce livre est un éclairage intelligent et original pour qui veut saisir le sens profond des contes. C'est également un travail de recherche passionnant effectué par une partisane de la cause des femmes. Ensuite, dire comme 99% des femmes qui l'ont lues, que ce livre a changé ma vie, non. Mais j'ai passé de très bons moments à le lire et certaines lignes ont été fortes en réflexion.
Extrait :
Ce n'est pas un hasard si les étendues sauvages de
notre planète disparaissent en même temps que la compréhension de notre
nature sauvage profonde s'amoindrit. On voit aisément pourquoi les
vieilles forêts et les vieilles femmes sont tenues pour des ressources
négligeables. Et si les loups, les coyotes, les ours et les femmes
sauvages ont le même genre de réputation, cela n'a rien d'une
coïncidence. Tous correspondent à des archétypes instinctuels proches.
C'est pourquoi on les considère à tort, les uns et les autres, comme peu
amènes, fondamentalement dangereux et gloutons.
Ma vie et mon travail en tant qu'analyse jungienne,
poétesse et cantadora, gardienne des vieilles histoires,
m'ont appris que l'on pouvait restaurer la vitalité faiblissante des
femmes en se livrant à des fouilles " psycho-archéologiques " des ruines
de leur monde souterrain. Ces méthodes nous permettent de retrouver les
voies de la psyché instinctive naturelle et, à travers sa
personnification dans l'archétype de
Le titre de cet ouvrage " Femmes qui courent avec
les loups " histoire et mythes de l'archétype de
Les loups sains et les femmes saines ont certaines
caractéristiques psychiques communes : des sens aiguisés, un esprit
ludique et une aptitude extrême au dévouement. Relationnels par nature,
ils manifestent force, endurance et curiosité. Ils sont profondément
intuitifs, très attachés à leur compagne ou compagnon, leurs petits,
leur bande. Ils savent s'adapter à des conditions perpétuellement
changeantes. Leur courage et leur vaillance sont remarquables.
Elles avaient à peine le droit de danser. Aussi
dansaient-elles dans les forêts, là où personne ne pouvait les voir, ou
dans les sous-sols, ou en allant vider la poubelle. Se parer était
suspect. Un corps orné, un vêtement séduisant, accroissaient le danger
d'être victime d'une agression, sexuelle ou non.
C'était une époque où les parents qui se montraient
violent envers leurs enfants étaient simplement qualifiés de stricts, où
l'on appelait " dépression nerveuse " les profondes blessures de
l'esprit des femmes outrageusement exploitées, où l'on disaient
" gentilles " les jeunes filles et les femmes étroitement tenues,
corsetées, muselées, et où l'on étiquetait comme " mauvaises " les
femmes qui desserraient quelque temps l'étau.
Aussi, comme beaucoup de femmes avant et après moi,
ai-je vécu comme une créature, una criatura, déguisée. Comme mes soeurs,
j'ai trébuché sur mes hauts talons et je suis allée chapeautée à
l'église. Souvent pourtant ma queue fabuleuse dépassait de dessous
l'ourlet de ma robe et mes oreilles pointaient jusqu'à faire glisser mon
chapeau.
Je n'ai pas oublié la chanson de ces années noires, hambre del alma, le chant des âmes affamées. Mais je n'a
pas non plus oublié les joyeux canto hondo, le chant
profond, dont les paroles nous reviennent quand nous travaillons à
réclamer notre dû, celui de l'âme.
Telle une piste qui, dans la forêt, se fait de plus
en plus étroite jusqu'à sembler disparaître, la psychologie classique
tourne court lorsqu'il s'agit de la femme créatrice, la femme douée, la
femme profonde. Elle est souvent peu bavarde ou carrément silencieuse
sur les questions d'une grande importance pour les femmes : celles de
l'archétype, de l'intuition, du sexuel et du cyclique, des âges de la
femme, de sa façon d'être, de son savoir, de la flamme de sa créativité.
(...)
On ne peut traiter les questions de l'âme féminine
en modelant la femme selon des critères d'une culture inconsciente, pas
plus que ceux qui se prétendent les seuls détenteurs de la conscience ne
peuvent lui donner une forme plus facilement acceptable,
intellectuellement parlant. Non, c'est là ce qui a poussé des millions
de femmes à se mettre en dehors de leur propre culture, à devenir des
" outsiders ". Au contraire, le but doit être de faire recouvrer à la
femme la beauté de ses formes psychiques naturelles.
Les histoires, les contes de fées, les mythes
aiguisent notre vision des choses, en nous aidant à mieux les
comprendre, de sorte que nous pouvons retrouver et suivre la piste
tracée par la nature sauvage. L'enseignement des contes nous donne la
certitude que la piste n'a pas disparu, qu'elle mène les femmes de plus
en plus profondément au coeur de la connaissance d'elles-mêmes. Les
traces que nous suivons toutes sont celles du Soi instinctuel, du Soi
sauvage et profond.
Je l'appelle Femme Sauvage, car ces mots mêmes,
" femme et sauvage ", produisent llamar o tocar a la puerta, les coups que frappe le conte de fées à la
porte de la psyché féminine. Llamar o tocar a la puerta signifie
littéralement qu'on joue d'un instrument dans le but d'ouvrir une
porte. Autrement dit, on utilise des mots qui provoquent l'ouverture
d'un passage. Quelles que soient le influences culturelles, toute femme
comprend intuitivement les mots femme et sauvage.
Quand les femmes entendent ces mots, un vieux, très
vieux souvenir s'éveille, la mémoire de leur parenté absolue,
indiscutable, irrévocable avec la féminité sauvage. Ce lien peut s'être
distendu du fait de notre négligence ou avoir été mis hors la loi par la
culture environnante. Il a pu avoir été domestiqué à l'excès ou bien
encore nous avons cessé de le comprendre. Mais même si nous avons oublié
les noms de
En réaffirmant leur relation avec la nature sauvage,
les femmes reçoivent le don d'une observatrice intérieure permanente,
une personne sage, visionnaire, intuitive, un oracle, une inspiratrice,
quelqu'un qui écoute, crée, réalise, invente, guide, suggère, qui
insuffle une vie vibrante au monde intérieur et au monde extérieur.
Quand les femmes sont dans la proximité de cette nature, il émane
d'elles une lumière. Ce professeur sauvage, cette mère sauvage, ce
mentor sauvage soutient envers et contre toute leur vie intérieure et
extérieure. (...) La compréhension de la nature de cette Femme Sauvage
n'est pas une religion. C'est une pratique. C'est une psychologie au
sens strict du terme : psukhê/psych, âme et ologie
ou logos, connaissance de l'âme. Sans elle, les femmes n'ont pas
d'oreille pour l'entendre parler à leur âme ou pour écouter l'horloge de
leurs propres rythmes internes. Sans elle, leur regard intérieur est
occulté par une main d'ombre et elles passent leurs journées à s'ennuyer
ou à souhaiter que tout soit différent. Sans elle, leur âme ne va plus
d'un pas sûr.
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"Hétéroclite, papillonnant, touche-à-tout, passant de la plume à l’ordinateur, du montage aux plaques gravées à l’acide." Voilà comment se définit Christophe Rouillat sur son site. Et c'est exactement ça. Mais pas seulement.
C'est aussi un homme plein de bon sens, au verbe parfois tendre, parfois incisif, toujours piquant. C'est un homme attentionné, qui plaisante bruyamment (fous-rires assurés) et regarde silencieusement.Son univers justement. En voici un extrait... Gravures, photos (dont une série de portraits incroyables) et vidéos.
Regardez. Ecoutez. Vraiment.
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Il existe beaucoup de mots pour designer un pénis. Rappelez-vous, il y a quelques mois, j'avais listé 60 synonymes. 60, c'est pas mal, mais c'est beaucoup moins que le nombre de photos de ce livre représentant des pénis en érection.
En 384 pages, "The Big Penis Book" illustre plus de 400 photographies de biloutes énervées, avec notamment de rares photos de John C. Holmes, célèbre acteur de films porno durant les années 70-80.
Je ne fais pas partie des hypocrites qui disent que la taille n'a pas d'importance, mais quand même, certaines photos de ce livre expose des pénis limite effrayants. D'autres prêtent à sourire. Et d'autres... ben... à sourire...
Un chiffre qui devrait rassurer les garçons (et décevoir les filles...), les biloutes de plus de 20 cm ne sont le privilège que d’à peine 2% de la population mondiale.
Ceci étant dit et la fête des mères étant passée, peut-être ici une bonne idée cadeau pour la fête des pères ?
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Une chanson interprétée par Léo Ferré bien sûr, mais aussi par beaucoup d'autres. Des versions connues (Dalida par exemple) et d'autres beaucoup moins.
Version Léo Ferré (musique piano + version album)
Version Alain Bashung
Version Philippe Léotard
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D'origine espagnole, Sandra Torralba a quitté une carrière de psychologue diplômée en thérapie
sexuelle pour devenir photographe à plein temps.
Une de ses séries photographique, intitulée "Estranged Sex" (comprendre "sexe séparé") s'attaque aux dérives de la sexualité d'aujourd'hui.
Sexe galvaudé (quand on voit des émissions comme l'amour est aveugle ou Dilemme...), sexe complexé (la recherche de la performance, le toujours plus, la chirurgie...), sexe soumis (réflexion sur le statut de la femme entre désir et devoir), dérives dangereuses..., cette série est étonnante et particulière.
J'ai trouvé son travail "bien pensé", "bien vu" et "bien fait".
> Pour découvrir toute la série "Estranged Sex" : http://www.sandratorralba.com/image-gallery/personal-projects/3-estranged-sex
> Pour en savoir plus sur le travail de Sandra Torralba : http://www.sandratorralba.com
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Un texte de génie que j'aime depuis toujours.
Chanson écrite par Gainsbourg pour Dani en prévision de l'Eurovision de 1975, le titre est refusé par le Comité, certaines phrases de la chanson étant jugées choquantes pour l'époque. Dani se retire de la compétition par fidélité à Gainsbourg.
Quelques années plus tard, en 2003, Daho la réarrange pour Dani et fait le duo avec elle.
2010, Lussi de la Nouvelle Star en fait une interprétation qui m'a vraiment plue.
Version Gainsbourg...
A ma connaissance, "Comme un boomerang" par Gainsbourg n'est pas sortie officiellement, il
en existe une version qui a été enregistrée lors d'une répétition, la voici.
Version Daho et Dani...
Version Lussi...
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Il y a des chansons qui vous traversent l'âme.
"Mad world" me traverse.
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Ben Meyers, lycéen américain passionnée de musique, a demandé et a obtenu l'autorisation d'utiliser les bâtiments de son lycée pour un projet personnel. Il a eu l’idée d’utiliser les sons
(et les résonances du lieu) qui pouvaient être entendus au quotidien dans les bâtiments de son
lycée pour ensuite réaliser un montage musical.
Voilà le fruit de son travail.
Vraiment pas mal.
Le jeune homme va intégrer l'école de musique de Berklee à la rentrée.
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La grande différence entre l'amour et l'amitié, c'est qu'il ne peut y avoir d'amitié sans réciprocité.
[Michel Tournier, Extrait de Petites proses]
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Rappelez-vous... "Hunting high and low".
Enjoy. (Surtout pour les filles)
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Vendredi dernier, je suis allée voir les Gladiators* en concert à la Carène à Brest. C'était la deuxième fois que je les voyais.
Ca faisait une paye que je n'avais pas été à un concert de reggae. "Avant" (le fameux "avant" de sa mère la pute qui suce des nains derrière les poteaux en buvant des bières...) (ouais... je sais... je sais... mais ca me fait marrer...), j'allais à peu près tous les voir. Les Burning Spear, les Toots and the Maytals (mon plus grand souvenir de reggae), les Alpha Blondy, les Max Roméo, les Ras Michael, les U Roy, les Gladiators, les Festival Insolent, les Héspérides... et j'en passe, j'étais toujours présente.
Je me demandais si j'allais me sentir vieille, si j'allais être la mamie de 36 balais au milieu de jeunes version chiffon des beaux-arts aux dreads douteux et à la peau grasse. Mais, j'étais dans la "moyenne" on va dire. Rien n'avait changé.
Rien sauf un truc. C'était la première fois que j'assistais à un concert de reggae sans rien fumer. Avant (le même que tout à l'heure mais en pire), soit on avait quelque chose, soit, quand c'était la "misère", forcément, ca tournait.
On ne connaissait pas le type ou la nana, mais c'était pas grave, le fameux "peace and love" prenait le dessus et ca tournait bien. Mais là, nada, quetchi, zéro, peau d'balle...
Putain !... la crise est jusque dans les concerts de reggae. Ca fumait de partout, la majorité avait des têtes de bienheureux débiles mais de vrais rats je vous dis ! Sont devenus carrément radins ! Enfin, je dis ça, mais on m'aurait filé un pétard, j'aurais peut-être été malade comme un chien. Y'a pas dire, y'a plus l'entrainement !
Bref... Le concert des Gladiators, même sans OCB, était carrément bien. Deux heures à se secouer le corps, à lever les bras, à gigoter comme un poulpe. Royal. (Le concert, pas le poulpe.)
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L'équipe de l'université américaine de Villanova (Pennsylvanie) vient de mettre en ligne une visite virtuelle de l'une des salles des palais pontificaux du Vatican, la Chapelle Sixtine.
Vous pouvez ainsi découvrir de chez vous cette magnifique salle rectangulaire de 40 m de long, 13
m de large et 21 m de haut (on remarquera que 21/13=1,61 qui est le
nombre d'or, on retrouve donc la proportion dorée, souvent utilisée par
les architectes de l'époque), dont la fameuse fresque "Le jugement dernier" peinte sur le mur de l'autel par Michel-Ange.
Il a fallu 2 ans, 5 nuits dans la Chapelle Sixtine et des milliers de photographies numériques prises avec une
plate-forme caméra motorisée, puis rassemblées numériquement pour que l'équipe réalise ce petit chef d'oeuvre.
Allez vite faire un tour, c'est juste là.
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Vous suivez ? Vous ne suivez pas ?
Vous aimez ? Vous n'aimez pas ?
Vous zappez ? Vous ne zappez pas ?
Vous chantez ? Vous ne chantez pas ?
Vous sifflez ? Vous ne sifflez pas ?
Vous frissonnez ? Vous ne frissonnez pas ?
Vous Alain Manoukiantez ? Vous ne Alain Manoukiantez pas ?
Vous kiffez grave votre race ? Vous ne kiffez pas grave de votre race ?
Vous haïssez ? Vous ne haïssez pas ?
Vous chouchoutez ? Vous ne chouchoutez pas ?
Vous boules Quiessez ? Vous ne boules Quiessez pas ?
Vous grimacez dingue ? Vous ne grimacez pas dingue ?
Vous SMSsez ? Vous ne SMSsez pas ?
Vous troulliotez ? Vous ne troulliotez pas ?
Un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout... ?
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Les filles étant en vacances chez leurs grands-parents, c'est un peu les vacances pour nous... Sorties, balades, musique à fond à la maison... Hier soir, après un apéro chinois bon mais un peu trop salé, nous sommes allés voir 2 films. L'arnacoeur et Gardiens de l'ordre. Sortis du premier, on a eu envie d'enchainer avec le deuxième.
Deux styles complètement différents (comédie & polar), deux ambiances opposées (solaire & sombre), quatres acteurs principaux formidables (Vanessa Paradis, Romain Duris, Fred Testot, Cécile de France), des seconds rôles à tomber par terre (Julien Boisselier, François Damien), deux réalisateurs qui ont des idées (Pascal Chaumeil, Nicolas Boukhrief), deux films très réussis.
Bref, si vous ne saviez pas quoi aller voir au ciné, maintenant, vous savez.
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Chanson,
Toi qui ne veux rien dire
Toi qui me parles d'elle
Et toi qui me dis tout
Ô, toi,
Que nous dansions ensemble
Toi qui me parlais d'elle
D'elle qui te chantait
Toi qui me parlais d'elle
De son nom oublié
De son corps, de mon corps
De cet amour là
De cet amour mort
Chanson,
De ma terre lointaine
Toi qui parleras d'elle
Maintenant disparue
Toi qui me parles d'elle
De son corps effacé
De ses nuits, de nos nuits
De ce désir là
De ce désir mort
Chanson,
Toi qui ne veux rien dire
Toi qui me parles d'elle
Et toi qui me dit tout
Et toi qui me dit tout ....
(Paroles: Marguerite Duras / Musique : Carlos d'Alessio, 1965)
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Un exploit.
Le chef d'orchestre Eric Whitacre a réuni 243 morceaux de 185 personnes de 12 pays différents pour faire une seule chorale virtuelle publiée sur Youtube.
Imaginez le boulot...
“Dans un premier temps, Eric
Whitacre a été filmé dans son rôle de chef d’orchestre, conduisant son groupe
fantôme dans le vide, en silence. Dans un second temps, le musicien a joué
l’accompagnement du morceau choisi au piano, en visionnant et en respectant la
première vidéo. La collaboration avec les internautes a ensuite pu démarrer
pour de vrai.
Whitacre a mis en ligne la
partition d’un morceau écrit il y a dix ans, Lux Aurumque, que les mélomanes
pouvaient télécharger librement. Tandis que les chanteurs intéressés par le
projet commençaient à poster leurs pistes individuelles enregistrées dans leur
propre tonalité, le compositeur a mené les auditions pour dénicher la soprano
qui assurerait le solo. Le talent de l’Américaine Melody Meyers l’a convaincu.
Pour la production, c’est Scottie Haines qui a collecté les vidéos et qui s’est attelé au montage, assemblant pas moins de 185 voix et 243 pistes, envoyées depuis 12 pays différents, dont les Etats-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, l’Argentine, l’Espagne, l’Allemagne et l’Autriche.”
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Drôles, poétiques, tendres, les photos du breton René Maltête ne peuvent que vous faire sourire.
Des images qui piègent les situations insolites du quotidien le rendant magique, unique et merveilleux.
L'oeil toujours sur le fil, à guetter l'invraisemblable, le fugitif.
Un voleur d'images comme je les aime.
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Dominus regnavit decorum (Psaume 92)
(1734)
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Le chanteur français d'origine congolaise Jessy Matador représentera la France lors de la prochaine édition de de l'Eurovision le 29 mai à Oslo avec une chanson intitulé "Allez olla olé!".
Ecoutez.
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Après la biloute molle d'hier et la minette-coeur de mercredi, aujourd'hui, on pense aux enfants !
Pétronille la souris...
Qui peut me dire ce Claude Ponti a fumé ou bu avant d'écrire le livre "Pétronille et ses 120 petits" ??? Parce que si vous savez, sachez que je VEUX absolument essayer ce truc !
Je viens de le lire à Princesse et vraiment, c'est com-plè-te-ment barré de chez barré.
Un livre décousu, oscillant entre conte de fée et cauchemar infantiles. Les aventures de Pétronille sont totalement délirantes, même
déroutantes, en tout cas pour moi. Car, pour Princesse, cela
semblait évident, même si tout est invraisemblable et irrationnel.
On avait déjà lu de Conti "Blaise et le château d'Anne Hiversère" et pareil, complètement barge. Autant dans le texte que dans les illustrations. On aime... ou pas.
Gwen la bigoudène...
Je suis vraiment tombée amoureuse des histoires de Gwen la bigoudène et de son chat Job. Delphine Garcia, jeune graphiste brestoise établie à
Paris (breizh atao !), nous enchante par ses illustrations folles et pimpantes, drôles et caustiques.
Deux livres "Une journée avec Gwenn la Bigoudène" et "Chouette, il pleut !".
Vraiment, amis bretons et amis "tout court", offrez ces deux livres à vos enfants (préférence pour le second), ils seront ra-vis... et vous au-ssi !!
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Inutile de parler. Inutile de dire ou d'expliquer. De vouloir étudier. De vouloir mettre des mots sur des pensées. Il suffit de regarder. D'écouter leurs silences pour comprendre. Pour comprendre que parfois tout nous échappe, pour comprendre que parfois nous perdons le contrôle, pour comprendre que parfois nous ne pouvons faire autrement que ce que nous devons faire.
Si vous ne l'avez pas vu, un film à regarder et à écouter.
Mademoiselle Chambon.
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Voici deux sketchs inédits : "Les parcs pour enfants" et l'excellentissime "Dur dur de vieillir..."
Et comme d'habitude, j'a-do-re ! Elle a vraiment le chic de dire des choses que l'on a TOUTES pensé au moins une fois dans sa vie.
Enjoy !
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Lundi dernier, le DJ britannique Chicane (alias Nick Bracegirdle) a mis en ligne un clip dans lequel il affirme avoir récemment rompu avec sa petite-amie.
Pour
faire revenir sa chérie, il a mobilisé des potes afin de retrouver
les différents endroits où les amoureux s'étaient rendus.
Joke ou véritable histoire d'amour, la vidéo a déjà été vue plus de 60 000 fois depuis sa mise en ligne
le 1er mars.
1 question :
- Romantique ou cucul la praline ?
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Y'a la Futura.
Y'a la Times New Roman.
Y'a la Harabara.
Y'a la Hiruko.
Y'a la Castorgate.
Y'a la Segan.
Y'a la X360.
...
...
...
Et y'a la Effing Typeface, une typo créée par le designer Alex Merto. Thème : plaisir et sexualité.
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Amoureux me propose "Bénureau". Jamais entendu parler. Sa tête ne me disait rien. Bien sûr, on dit que l'habit ne fait pas le moine, mais au vu de sa trombine, j'avais l'impression qu'on allait voir de l'humour à la Lagaff. Et puis dans le résumé, je vois "Prix de l'humour noir 2007". Là, je me suis dit "pourquoi pas. Regardons, on verra.".
Et croyez moi, j'ai carrément bien fait. Car ce type-là, est détonnant. Un excellent acteur à l'humour grinçant et sarcastique.
Mères abusives, belles-mères hystériques, soldats disciplinés (Morales !), homosexuels amoureux, agriculteurs à la pointe du progrès, catholiques illuminés, ce spectacle est tout simplement gé-nial ! Didier Bénureau a une pêche d'enfer et pousse la dérision à son comble. Un humour noir décalé, des mots biens choisis, pesés justement et interprétés en finesse.
J'ai été tout simplement conquise par ce monsieur. Si vous ne connaissez pas courez-vite louer ce spectacle, vous m'en direz de vos nouvelles !
Sur ce quelques vidéos...
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C'est un aquoiboniste
Un faiseur de plaisantristes
Qui dit toujours à quoi bon
A quoi bon
C'est un aquoiboniste
Un modeste guitariste
Qui n'est jamais dans le ton
A quoi bon
C'est un aquoiboniste
Un modeste guitariste
Qui n'est jamais dans le ton
A quoi bon
C'est un aquoiboniste
Un peu trop idéaliste
Qui répèt' sur tous les tons
A quoi bon
C'est un aquoiboniste
Un drôl' de je m'enfoutiste
Qui dit à tort à raison
A quoi bon
C'est un aquoiboniste
Qui s'fout de tout et persiste
A dire j'veux bien mais au fond
A quoi bon
C'est un aquoiboniste
Qu'a pas besoin d'oculiste
Pour voir la merde du monde A quoi bon
C'est un aquoiboniste
Qui me dit le regard triste
Toi je t'aime, les autres ce sont
Tous des cons
(L'Aquoiboniste, Serge Gainsbourg, © Melody Nelson Publishing, 1978)
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Je l'ai découvert depuis quelques mois déjà et je suis réellement tombée amoureuse de son travail.
Il est capable d'aborder des sujets très variés (portraits, mode, pubs, projets artistiques déjantés, érotisme...) toujours avec un sens de l'esthétisme au plus juste et un regard sans complexe.
Très très difficile pour moi pour faire une petite sélection. So...
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Le collectif UrbanPorn
a lancé un projet plus que poilant : une exposition photo participative et évolutive appelée "Culture Touf".
L'idée ? Chacun et chacune d'entre nous est invité(e) à poser
un regard décalé sur ses poils (ou ses non-poils) pubiens et à partager ses créations.
Du vrai Do it Yourself érotique.
Tout le monde peut participer : les hommes (le laid, le beau, le dure, le mou qui a un grand cou, le gros touffu, le p'tit joufflu, le grand ridé, le moins pelé...) comme les femmes (en ticket de métro, en tablier de sapeur, rasée, épilée ou en buisson, version angora ou version lisse...).
Le diaporama de l'exposition est ici.
Vous êtes intéressé(e) ? Envoyez vos photos à Urban Porn à l'adresse suivante: [email protected].
> Pas de limite dans le nombre d'envoi.
> Pas de limite timing, puisque l'exposition, sur le net, est évolutive.
> Résolution minimum : 5 mégapixels (= dimensions 2592 x 1944 pixels min.).
Et si vous envoyez une photo, envoyez-là moi aussi pour publication sur le blog. L'anonymat sera gardé.
Voici quelques photos de participant(e)s...
(Merci à Mister Bear pour l'info.)
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L'histoire
Par le passé, Gipi avait écrit un récit basé sur le souvenir
de son père récemment disparu. Il poursuit cette veine autobiographique avec
'Ma vie mal dessinée'. S'adressant directement à ses lecteurs, Gipi nous fait
tout partager : ses peurs, ses maladies, ses souffrances, ses inhibitions, ses
descentes aux enfers, mais aussi ses amitiés, ses réflexions, ses bonheurs.
Mon avis
C'est sur que si vous avez lu l'histoire au-dessus (le blabla que l'on trouve partout et qui est sensé décrire le livre... mon cul sur la commode...), ça donne pas super super envie de le lire. Et pourtant, pourtant, vous passeriez à côté d'une vraie pépite, d'un véritable brio artistique.
Gipi nous raconte, en jonglant dans tous les sens,différentes parties de sa vie : ses mystérieux problèmes de santé concernant son pénis, ses visites médicales, sa famille, son enfance et ses peurs, son adolescence déjantée, la drogue, ses galères...
Gipi se met à nu avec une dérision éclatante et avec beaucoup d'émotion. Bien qu'on accroche à l'histoire dès LA première page, le début pourraient faire penser à un livre décousu, limite improvisé mais on sent très vite qu'au contraire, Gipi est dans la maitrise totale. Côté graphisme, même sentiment que pour l'écriture, son coup de crayon minimaliste est fluide, précis, au rythme de sa narration, en mouvement, avec des cadrages impeccables.
Un livre fort, fou, insoumis, beau à l'écriture et au graphisme magistraux.
Ma note
18/20.
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