Chercher où le regard se meurt fait toujours mal.
Les yeux se perdent dans les allures imprécises ; et l’attente, l’espérance,
le désir, vous caressent à coups de bâton.
Les milles facettes font leur gentille ronde.
Tout gigote.
Exceptée l’absence.
Qui creuse.
Qui entaille.
Qui défonce.
Jusqu’au blanc délire.
"Qui entailler." ?
Rédigé par : mry | 04.04.2011 à 07:31
Mry > Corrigé. Merci.
Rédigé par : Ladyblogue | 04.04.2011 à 10:44
C'est joliment écrit
Rédigé par : Zurg_ | 04.04.2011 à 10:57
Pourquoi blanc délire ?
Rédigé par : bill | 04.04.2011 à 21:08
Tu sais, ce blanc qui apparait devant les yeux quand lémotion est au maximum...
Rédigé par : Ladyblogue | 04.04.2011 à 22:38
Chere Marie,Une sooituln ingenieuse serait de prendre un psychiatre comme colocataire (et plus, si affinites) Ainsi, tes problemes emotionnels pourraient se resoudre agreablement!Amities
Rédigé par : Myster | 20.02.2012 à 17:54
Really enjoyed this! Well done!
Rédigé par : как посадить яблоню | 15.04.2013 à 12:31
"le désir qui caresse à coups de bâton, l'absence qui défonce..." la formulation est percutante, réaliste et poétique... j'adore :-)
Rédigé par : Lily | 20.01.2014 à 08:18