Attention, aujourd’hui, je vous préviens, c’est un billet salace, un billet pas classe !
Oui, aujourd’hui, nous allons parlé des expressions qu’on n’ose à peine sortir en public… On ose les sortir devant notre conjoint(e), devant nos amis les plus proches (ceux qui nous connaissent depuis notre première dent), mais c’est tout ! Les autres : nada, zéro, quetchi, peau d’balle !
Ce week-end, Amoureux et moi sommes allés « couscousser » (DELICIEUX !) avec un couple d’amis. Ceux qui ont vu mon blog-it de samedi sauront de qui je parle… Pour les autres, au vu de ce que je vais écrire, je préfère garder leur anonymat… Tout ce que je peux vous dire (ben ouais, j’suis quand même un peu une balance !), lui est prof de maths (ouhhhhh) et elle, est sage-femme. Deux professions qui, comme ça, imposent le respect. Et bien… si vous saviez… Et vous allez savoir !
Au milieu du repas, entre semoule et pois chiche, deux expressions sont sorties du fond de leur bouche, de leur cœur ! Expressions que je ne connaissais pas du tout.
La première : « Il a les yeux qui sentent la bite ». Exemple en situation : « Quand il regarde Gaétane, André Manoukian a les yeux qui sentent la bite ». Imagée et tout et tout…
La deuxième : « Y’a moule sous slip ». Exemple en situation : « Entre Julien et Gaétane, y’a moule sous slip ». Autre façon, moins délicate de dire, « y’a anguille sous roches » ! Moi, je connaissais, « c’est chaud du slip », mais celle-ci, non !
Bref, étant certaine que chacun et chacune d’entre vous recèle de multiples petites expressions du même acabit, je vous laisse le champ libre : lâchez-vous, allez-y !
Quelles sont vos expressions « salaces, pas classes » à vous ???
Bibis « pas besoin de tortiller du cul pour chier droit »….