Dans son livre « Cécilia » à paraître dans les prochains jours,
la journaliste du Point (et amie de longue date de Cécilia), Anna Bitton, rapporte des propos fort peu aimables sur
notre Président adoré, sur sa personnalité, son entourage et ses ministres, propos
qu'aurait tenus Cécilia Sarkozy elle-même...
Voici quelques extraits retranscrits par le Nouvel Observateur dans son édition d'aujourd'hui :
"Quelques nouvelles de la
République. “Nicolas est un sauteur”. Bien. Quoi d’autre ? “Nicolas est
pingre.” Mais encore ? “Un homme qui n’aime personne, même pas ses enfants.”
Et puis ? “Il a un côté ridicule. Il n’est pas digne. Nicolas, il ne fait
pas Président de la République, il a un réel problème de comportement.”
Résumons donc. La France est présidée par un sauteur doublé d’un radin, un
agité incapable d’amour et dépourvu de dignité... Ainsi parle Cécilia de
Nicolas Sarkozy, dans des confidences recueillies au fil de l’amertume par
la journaliste Anna Bitton, et offertes à l’édification du peuple dans un
livre-portrait, « Cécilia » (...)
Entre deux plaintes, Cécilia
décrit ce que fut sa vie dans un mélange de clichés et de lucidité venimeuse.
La politique: « Un décor de western derrière lequel il n’y a rien. »
L’entourage de Sarkozy: « Une
bande malfaisante », « de jeunes mecs qui se sont retrouvés
gonflés de pouvoir et qui se sont pris pour les princes de Paris ».
Les grandes amies, Mathilde
Agostinelli de Prada et Agnès Cromback de Tiffany -fringues et diamants-
compagnes des jours heureux, qui ont coupé les ponts avec la reine après le
divorce : « Des pétasses fardées et intéressées. »
Et les jolies ministres dont
Sarkozy vante la beauté -comme il vantait la sienne, avant : « Des
tapisseries. Maintenant qu’il n’a plus de first lady, il faut qu’il sorte avec
de jolies filles à son bras, habillées en Dior. »
Cécilia Sarkozy revient aussi
sur la libération des infirmières bulgares : « Je ne suis pas passée
sur terre pour rien. J’ai sauvé, seule, six vies humaines. (…) Je suis arrivée,
je les ai prises, je suis partie, j’ai fait le plus grand casse du siècle:
Kadhafi n’avait aucune intention de libérer ces filles ! C’est moi qui ai
mené les négociations. Très vite j’ai eu la mainmise sur Kadhafi, j’ai senti
que j’avais un pouvoir sur lui ».
Cécilia, a indiqué hier à l'AFP avoir « mandaté ses avocats
afin d'engager toute procédure nécessaire à la protection de ses droits eu
égard aux propos qui sont lui prêtés ».
Bibis mouais mouais...
EDIT - 11/01/08 - 10h26
La justice a rendu son verdict : le livre restera en vente.