Mois d’avril.
Nouveau bandeau.
Un ban-dos.
C’était un défi.
Pas évident.
Des pieds, des mains, des bouches… ça vit, ça bouge, ça « parle »…
Mais un dos ? En y pensant comme ça, je me disais que la
tâche allait être hard. Et puis non.
Un dos « parle ». Autant que des
mains.
Le dos renseigne, le dos raconte.
J’ai découvert que le dos est en fait bien
plus intime qu’on ne le croit.
Bibis dos-dos