Allez hop ! Après la grippe (et le reste) de Petite Fée, c'est à mon tour d'avoir la tête déglinguée.
Yeux brillants comme les yeux d'un poisson, tête chaude comme un radiateur, tête sonnée comme... un truc sonné (pas mieux...), me voilà 100% dans le coaltar.
Et Amoureux a l'air de suivre le même chemin.
D'abord les enfants... ensuite les parents...
Pas facile à gérer quand on bosse. Encore nous, adultes, quand on est malade, on arrive à prendre sur soi et on va quand même bosser. Sauf si vraiment, vraiment, vraiment on ne tient pas debout.
Mais quand les enfants sont malades, on ne peut pas leur demander l'impossible. Des jours enfant malade de temps en temps, ça va mais quand les maladies ne lâchent pas l'affaire depuis début décembre, pas évident.
Et encore moins quand on est en période d'essai... Ca fait même pas 1 mois que j'ai commencé dans ma nouvelle agence, chez Bill, et voilà que j'ai (déjà) été absente lundi matin pour garder Petite Fée. Et encore, j'aurais dû rester aussi mardi... Merci à Amoureux de s'être démerdé pour rester à ma place.
Pas évident.
J'ai des copines, elles ont des mamies et/ou papis juste à côté de chez elle. Donc en cas de soucis, les enfants trouvent toujours refuge.
Nous, on a personne dans le coin. Au moindre pet de travers des puces, on est obligé de s'absenter du boulot... Et quand les enfants sont petits, ils sont souvent malades... donc...
Certains d'entres vous me parleront des systèmes du style SOS maman enfant malade. Les types d'assos qui proposent de l'aide en mettant à disposition des bénévoles (en général des retraités) pour garder les enfants en cas de souci.
Certes. Mais pour dire vrai, j'aurais du mal à laisser mes filles à une femme que je ne connais ni d'Eve ni d'Adam.
Tout ça pour dire pas grand chose. Ou pour dire juste que c'est vraiment la merde quand les enfants sont malades.
(Je viens de me relire et je dois vous présenter mes plates excuses pour ce billet un peu tordu. Mais je sais que vous me pardonneriez si vous aviez l'occasion de voir ma tête plus que pitoyable...)