Voilà. C'est fini.
Un gros projet sur lequel je bosse depuis 3 mois, quasi non-stop. Terminé samedi, en apothéose.
Beaucoup de boulot, une dernière semaine dense, des journées du matin à la nuit, du stress, une obligation d'organisation au millimètre... mais... des rencontres incroyables, un boost formidable, une belle satisfaction.
Tout ça est tombé à pic.
A un moment où je sentais que l'envie de pousser les murs devenait vitale, besoin de voir d'autres paysages, d'autres visages, de me confronter à d'autres lignes, d'autres défis. J'ai respiré un grand bol d'air frais, nouveau. J'ai adoré.
Mais ce soir, c'est un dimanche nostalgie.
Je repense aux visages, aux notes dans l'air, aux voix lâchées. Je repense aux décisions, aux coups de téléphone, aux annonces, aux déceptions des uns, aux joies des autres. Je repense à tous ceux qui m'ont accompagnés dans cette nouvelle aventure.
Maintenant que je sais que ça existe, que ça fait cet effet-là, comme une drogue, j'en veux encore.
Gorge serrée...
J'en veux encore.