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Inconditionnelle de l'image, de la photographie, des corps, des regards, des reflets chromatiques, les lignes, les cadrages, je suis tombée dans la folie Pinterest.
Venez liker ou piner, c'est juste ici : "L'éphémère en images".
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J'ai été contactée par une journaliste de Ouest-France. Elle souhaitait m'interviewer sur mon blog. J'ai accepté. Sur le coup, j'ai accepté rapidement et puis, après, je me suis posée des questions. Oui ou non aller à ce RDV. Parler de Ladyblogue tout en gardant mon (pseudo) anonymat.
Sur le fil.
J'y suis allée. On s'était donné RDV pour un déjeuner. La journaliste était souriante, jeune et jolie. Nous avons discuté plus d'une heure et demi devant des assiettes de carpaccio. Questions-réponses. Ping-pong.
C'est là que l'on s'aperçoit que certaines questions sont déroutantes. Déroutantes parce que on ne se les ait jamais posées. Ou alors pas comme ça.
On discute. On discute. Elle pose des questions. Je tente de répondre.
L'article parait 3 jours après. Presse et web.
Et on s'aperçoit que nos mots n'ont pas été toujours bien compris.
Déjà, y'a eu gourance sur les chiffres, mais ça ce n'est pas bien important. Ce qui m'a chiffonnée, c'est que pendant le déjeuner, j'ai expliqué que je n'avais pas trop (voir pas du tout) de contacts avec des bloggeurs du coin, que mes "contacts bloggeurs" étaient pour la quasi-totalité à Paris, j'ai expliqué aussi que c'était à Paris que les événéments blogs avaient lieu, que ce qu'on appelle la "blogosphère" vivait là-bas.
La journaliste a mal compris et du coup ça a donné cette phrase dans l'article (que je suis censée dire) : "Ce sont surtout des gens de la région parisienne (comprendre qui me lisent), où se trouvent les blogueurs les plus influents." Et là, non. On comprend que les blogueurs influents ne sont qu'à paris, qu'il n'y a que des blogueurs influents qui me lisent (ça fait un peu la nana qui se prend pour...) et tout cela est loin d'être vrai.
Bref, ça m'a chiffonnée.
1/ pour tous les gens qui me lisent, d'ici et d'ailleurs et 2/ pour le côté, je m'aime (ce qui est vrai, je suis une fille super) et je m'adore (mais bon, y'a des limites).
Comme quoi, comme dit @philippecaillet, les RP c'est un vrai métier !
(Dis, Philippe, tu t'occupes de moi pour les prochaines ITV ?)
(Merci à la charmante journaliste (qui se reconnaîtra) avec qui j'ai passé un très bon moment.)
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On se souvient tous de la fameuse pub pour Lactel où la petite fille demande à son père "Papa, comment on fait les bébés ?".
Cette publicité part de la même idée... mais le papa, ici, n'a pas la même réponse.
J'adore le rock.
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L'éloquence.
Un mot qui me trotte dans la tête depuis l'autre jour, depuis la vidéo d'aufeminin.com où Marie-Laure Sauty de Chalon affirmait que les hommes avaient en général plus d'éloquence que les femmes.
Du coup, la question m'est venue. Ai-je de l'éloquence ?
Avant toute chose, petit tour vers mon ami le dictionnaire.
Eloquence : manière de s'exprimer avec aisance.
Alors, oui, j'ai de l'éloquence. Je m'exprime très facilement, je suis diablement expressive, je prends naturellement la parole, oui, je suis à l'aise. Et même les fois où la situation peut me faire faillir, je parais très rarement perdre pied. L'Autre me voit ainsi. C'est comme ça. Et il a raison. En partie. En partie parce que l'éloquence a ses situations, ses spectateurs, ses goûts, ses heures. Elle peut se carapater au moindre sujet opressif, au moindre geste émouvant, au moindre mot déroutant. Et là, pssshhhiiit, y'a plus personne. Plus de mots, plus d'aisance, plus d'assurance. Juste du silence.
L'éloquence n'est pas une notion linaire, que l'on sort de son chapeau à tous les coups. Elle est parfois reine, parfois recluse.
Alors il y a l'écrit. L'écrit est différent. L'écrit va chercher dans les moindres recoins, trouve les cachettes les plus hermétiques, les plus somnolentes. L'écrit se cogne sur aucun visage, si ce n'est le nôtre.
Je ne suis véritablement éloquente qu'avec moi-même. C'est déjà pas mal.
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A Dubaï, un club de gym vient de sortir une pub mettant en scène un camp de concentration allemand dans le but de motiver ses clients à perdre du poids.
Les réseaux sociaux ont immédiatement réagi et Phil Parkinson, le fondateur et propriétaire du centre, a présenté ses excuses quelques heures après le lancement de cette campagne.
"“The idea of the campaign isn’t to upset anybody. The way branding works is … you want people talking about your business. We want them talking about us, but we don’t want people to take offence at it" a-t-il déclaré.
Sans déconner... les malades...
(Via Mry)
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- Bonjour, Madame R. de la Société Générale... je vous appelle car le service carte m'a contacté, ils ont relevé des transactions inhabituelles sur votre compte, j'aimerais en discuter avec vous. Merci de me rappeler dès que possible au XX XX XX XX, c'est urgent.
Le flip total.
Ben voilà, on croit toujours que le piratage bancaire n'arrive qu'aux autres et ben non : en plein dans ma face (enfin, en plein dans mon compte).
Bon, les dégâts auraient pu être beaucoup plus grave. Après vérifications, "que" 150 et quelques euros de piratés. Origine : USA.
Carte bleue bloquée, la banque me remboursera tout si jamais la transaction faudruleuse a eu le temps de passer. Nouvelle carte, nouveau code.
Il va falloir que je me penche sérieusement sur les systèmes de paiements en ligne sécurisés existants (si vous avez des infos...).
En tous les cas, me voilà sans carte bleue pendant au moins 10 jours. En pleine période de fêtes... Youpi tralalala.
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Quand on achète un cadeau, on aime bien que le paquet que la vendeuse/le vendeur nous prépare soit joli.
C'est vrai, l'emballage d'un paquet, c'est important ! C'est comme une belle assiette au restaurant, comme de la belle lingerie sur une femme, comme un beau packaging dans les rayons (ne voyez aucun rapport entre packaging dans les rayons et lingerie sur une femme...). Bref, le contenant est presque aussi important que le contenu. Le fond et la forme, quoi.
Qu'importe le flacon pourvu qu'il y ait l'ivresse... heu, oui... mais en fait non.
Samedi, je suis allée chez Fly, j'ai trouvé deux cadeaux là-bas. Après la caisse, 3 jeunes d'une vingtaine d'années proposaient leurs services pour emballer les cadeaux. Les pourboires des clients servaient à une action humanitaire je ne sais plus où.
D'habitude, je ne donne jamais mes paquets à emballer. Je demande le papier (s'il est joli), le bolduc (s'il est joli) et je débrouille chez moi, tranquille et je fais comme je veux. Et puis là, allez savoir pourquoi, la folie de mon jour d'anniversaire ?, je donne les achats à ces d'jeunes.
Malheur à moi.
Le premier, une jeune fille, m'a emballé mon cadeau dans un paquet rose, a tourné la chose dans tous les sens, a froissé le papier dans tous les sens, et a collé 59 bouts de scotch minimum dans tous les sens.
- Tenez, voilà !
- ... Merci....
Le deuxième, un jeune homme avec un chapeau mou de Père Noël sur la tête (exemple de mauvais packaging...), s'attaque à mon second achat.
En attendant (ca a duré bien 20 minutes), je le regarde, ébahie par tant de nigouillerie. Mes yeux tombent sur un papier scotché sur les grands rouleaux de papier cadeau où était inscrit "Réservé à nos client".
Forcément, ça me démangeait.
Je dis à la petite jeune en lui montrant le papier :
- Ca serait bien de mettre un s...
- Où ça ?, me demande-t-elle l'air vide.
- ... ben... à clients... un s à clients...
Elle inspecte le papier, vois la faute et me répond :
- C'est pas à nous (sous-entendu c'est au magasin Fly) et puis, j'ai pas d'stylo !
La grosse feignasse... elle te fait des paquets de merde, se cache derrière des "c'est pas à moi" et ne peut pas bouger son cul pour aller chercher un stylo à la caisse du magasin.
Je me penche au-dessus de sa table et attrape un stylo caché dans une boîte.
- Tenez, un stylo, je lui dis avec ma voix de vieille bique au un an de plus.
La tronche sur la gueule, elle corrige le papier.
Juste après, le jeune Père Noël me tend mon second paquet.
Marron le paquet. (Nota : si le marron est beau, on dit chocolat, café, brun, caramel, bistre, châtaigne, cannelle, Terre de Sienne, acajou, cacao, fauve, noisette... Si le marron est moche, ben, on dit "marron"...)
Les photos parlent d'elles-mêmes.
Massacre au papier cadeau !
Froissés, déchirés, collés n'importe nawak, mes filles auraient mieux fait.
Inutile de vous préciser que pour leur voyage humanitaire, moi, je ne leur ai pas fait de cadeau !
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Et un de plus.
(Mais un de moins que prévu... c'est toujours ça de gagné... enfin de pas pris...)
Edit :
> Merci pour vos gentils mots pour mon anniversaire en IRL (non non, pas de noms !!!!) !
> Merci pour vos gentils mots pour mon anniversaire via les commentaires !
> Merci pour vos gentils mots pour mon anniversaire via les mails (non non, pas de noms !!!!) !
> Merci pour vos gentils mots pour mon anniversaire sur Twitter ! @totoc1001, @Zurg_, @ch_carriere, @LittleDaewoo, @atafoto, @sibestan, @romainblachier, @jeanmariebosser, @fugazy, @loeildeb, @The_ArtyGirl, @BreizhWeCan, @Bat00, @esmepim, @AymericPM, @philippecaillet, @stephtweetie, @MryEmery, @dietmarc, @StephZibi, @gabrielchauvet !
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Grosse grosse présentation aujourd'hui.
De 12h à 13h30.
Devant une vingtaine de personnes.
Gros dossier, énorme budget.
1/4 de notre CA.
La reco est finie, les maquettes aussi.
On est prêt.
On y va avec nos convictions, nos idées. A fond décalées. Décalées mais avec du sens. C'est souvent ce que les agences oublient : donner du sens à leur campagne.
On est plusieurs à être consulter. Y'a des bons en face. Mais je crois en nous.
Nous sommes la dernière agence à passer. La meilleure place.
Si on gagne, champagne, chapeaux pointus, cotillons et langues de belle-mère !
Envoyez-moi vos bonnes ondes... Toutes...
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A la ramasse complet ces derniers jours pour cause de travaux titanesques à la maison. Je suis là, mais écrire sur un clavier avec des gants de bricolage, des lattes de parquet, un marteau et de la sous-couche, c'est pas super évident.
Malgré tout, quelques news... 3 minutes inside !
> Les travaux, on arrive au bout du bout. Sol posé. prochaine étape : cuisine. Dead-line : 24 décembre. C'est pas gagné...
> J'avais arrêté de croire au jeu-concours, les jeux qui vous font baver comme des escargots devant des photos de plages ensoleillées ou de bagnoles bien carrossées. Et ben si, ca existe ! Jojo, une des graphistes avec qui je bosse, vient de gagner à un concours d'un garage automobile, une Toyota Yaris électrique. Toyata lui a payé l'avion et tout le bordel pour qu'elle aille à Paris chercher sa caisse. Bravo ma Jojo !
> Bon, j'ai pas gagné une voiture (pourtant, j'en aurais besoin, la mienne est au garage... la misère...), mais j'ai gagné une carte cadeau E. Leclerc de 50 euros. Et hop, un truc de plus sous le sapin.
> Après Patrick Sébastien, voici que Nikos Aliagas suit mon compte twitter. Merci Nikos ! Καλώς ήρθατε!
> Y'a des consultations faciles et des consultations difficiles. En ce moment, je bosse sur un difficile. Gros gros gros maousse budget. Présentation jeudi midi devant une vingtaine de personnes. Et, je ne suis pas prête. pas du tout. Mais pas du tout du tout. Pourtant, ce budget, je le veux. Il faut que je l'ai. Je l'aurais.
J'ai dépassé les 3 minutes.
On (6 et 4 ans) me crie dans mon oreillette qu'il faut que je rende l'antenne.
Kénavo les bigorneaux !
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J'ai reçu hier mon nouveau téléphone. Le Galaxy S2. Franchement, il a l'air top.
Je le découvre.
Et c'est pourquoi je vous sollicite aujourd'hui pour me donner les bonnes/sympas applications Android à télécharger.
Si quelqu'un notamment connait une application qui se rapproche de l'hipstamatic de l'iphone, je veux bien.
Merci !
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Toujours dans la série "Migraine, je t'aurai un jour... je t'aurai !", après avoir été voir une (autre) magnétiseuse vendredi, j'ai testé une consultation chez un ostéopathe. C'est Bill Boss qui m'a conseillé d'aller voir ce mec, Monsieur M. S.
RDV 12h00. Je débarque. Le gars m'acceuille, 50-60 ans, me demande de m'allonger et commence à me parler. Cours d'anatomie. Ouais. Bon. Du mal à le suivre, un phrasé difficilement compréhensible, des mots en latin à foison. J'écoute tout en observant la pièce. Mes yeux tombent sur un crucifix, là, posé juste au-dessus de la porte. J'aime pas ces ambiances.
L'homme commence à poser ses mains sur mon crâne, mon front, met les doigts dans mes oreilles, enfile des doigts en latex et me les enfonce sur le palais (ambiance), se déplace vers mes pieds, examine, touche pieds, genou, ventre. Toussa.
Aucun mouvement brusque. Que du "touché".
A la fin de la séance, l'osthéo me conseille de me lever doucement et d'y aller "mollo" dans l'après-midi.
Oui, t'es gentil, mais vu ce que tu m'as fait, je vais pas sentir grand changement...
Erreur.
A peine sortie de son cabinet que ca a commencé. Je me sentais fracassée. Complètement fra-ca-ssée. En vrac. L'impression (désagréable) de ne pas être d'aplomb. Je sentais mon dos, ma nuque. Ca a duré toute la journée.
Hyper étonnée des répercussions physiques en me touchant si peu.
"Votre corps était bancal. Là, il se sent bizarre, il n'a pas du tout l'habitude d'être droit."
Ca se tient.
Je ne sais pas si ca va calmer mes migraines.
On verra.
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Unhate.
Nouvelle campagne Benetton.
Des idées.
Est-ce que cela fait vendre ?
Les bonnes idées, toujours.
"Si l’amour global reste une utopie, bien que partageable, l’invitation à « ne pas haïr », à lutter contre la « culture de la haine », représente un objectif ambitieux mais réaliste." (Alessandro Benetton).
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Mardi, j'étais à Lorient pour la journée Web et Entreprise. Conférences avec différents intervenants. Parmi les plus intéressants (pour moi), Gregory Pouy (bon, drôle mais il a voulu m'empoisonner !), Fred Cavazza (très clair, très pro, beaucoup aimé), Jean-Michel Billaud (excellent bonhomme !), Benjamin Chaminade et... et... Nicolas Rohr.
Nicolas Rohr, co-fondateur de la marque de chaussures (homme & enfants) Faguo, marque née en 2009 par Nicolas et son pote Frédéric Mugnier, deux copains étudiants de 22 ans à l'époque.
Je ne connaissais ni le mec, ni la marque.
Il était là pour faire part de son expérience, expliquer comment le succès de sa boite a été en grande partie du aux réseaux sociaux et aux blogs.
Faguo s'est fabriquée une véritable communauté sur le digital, 27 221 fans sur leur page Facebook à l'heure où j'écris cette note, communauté qui lui a permis un lancement et une notorité fulgurantes auprès de sa cible.
Le concept de Faguo est simple, tendance et responsable : pour chaque paire achetée, un arbre est planté. Jusqu’ici, plus de 60 000 arbres ont été plantés en France et en Belgique. (Le bouton en noix de coco cousu sur le côté en symbolise l’action.)
En 2010, Faguo a réalisé un chiffre d’affaire de 710 000 € avec 10% de à l’export. Pour 2011, FAGUO prévoit un chiffre d’affaire de 1 200 000 €.
J'ai été conquise par le concept, le produit, l'histoire de la marque et par Nicolas Rohr (qui en plus a un charme fou.). J'applaudis des deux mains, fort, très fort et je dis "Bra-vo".
Question aux deux fondateurs : les modèles femme, c'est pour quand ? Car, certes, comme l'a souligné Nicolas Rohr, les talons font leur grand retour, mais on porte encore/aussi du plat et des baskets (l'été peut-être davantage que l'hiver) ! On sait bien que filles = beaucoup beaucoup beaucoup de chaussures !
Mon modèle top (pour homme) en vente ici (attention édition limitée) :
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Le four est dans le bureau.
Le micro-ondes, la cafetière, la poubelle, les provisiosn en plein dans le salon.
Les verres, dans l'entrée.
Une cuisinière mobile (comprendre sur roulettes) a été bricolée dans la cuisine (enfin... ce que l'on appelera "cuisine" dans quelques temps.)
Une bâche géante sépare espace cuisine et espace salon.
Mon chez-moi ne ressemble à rien... !!!!!
Au secours !!! C'est une cuisinistre !!!
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(Dorénavant, le samedi, ca sera "Redif". Aujourd'hui, un billet publié le samedi 21 juin 2008.)
- C'est quoi ton métier maman ?"
- Maman elle travaille dans la pu-bli-ci-té. (Et pour simplifier la chose) Tu sais, la publicité c'est ce que tu vois parfois entre les dessins animés..."
Temps d'arrêt.
Princesse me regarde étonnée et répond :
- Ah ? C'est un métier ça ?
- ..."
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Aujourd'hui, un ami m'a reproché (gentiment ?) de ne pas signer un mail que je lui avais envoyé.
C'est vrai, je ne signe pas forcément mes mails.
En mode "pro", toujours.
En mode "perso", ça dépend.
L'écriture du web, du digital (twitter, facebook et compagnie) fait que l'on condense, que l'on va vite, que l'on prend cette habitude de rapidité, de concentration. On prend le rythme, et le courrier électronique (forcément ?) suit le rythme avec nous.
Et puis, le destinataire sait par défaut qui lui écrit. Monsieur Durant, Christophe Trucmuche, Papa... le nom de l'expéditeur est écrit dans la boite de réception, soit de la façon dont il se nomme lui-même, soit de la façon dont on l'a appelé dans notre carnet d'adresse.
Et puis dans certains cas, je ne signe pas parce que c'est évident.
Evident que c'est "moi", évident que c'est moi pour l'Autre et évident que l'Autre comprendra que c'est "moi". C'est net, palpable, certain. Signer est alors inutile, signer serait même presque de trop.
Signer. Pas signer.
La question mérite réflexion.
Mais comme beaucoup de sujet, c'est souvent du cas par cas.
Cela dépend.
Cela dépend du moment où l'on écrit, parfois l'on répond rapidement en pensant primer la réactivité, cela dépend du "soi" au moment M, cela dépend du message, de sa teneur, de son ton.
Cela dépend.
Je ne marche pas avec des cases.
Je ne vérifie pas si tout est coché avant de faire les choses.
Ce n'est pas un papier, une grille d'évaluation, une morale ?, qui me dicte.
Juste mes veines.
Juste mon sang.
Et mon sang, qui coule grâce à mon coeur, a des flux différents.
Je signe avec mes mots.
Pas toujours avec mon nom.
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Sortie de l'hôpital vers 16h30.
La grande pochette kraft en main, les bras bleus (toute l'équipe s'y est mise pour me piquer... Le 4e essai fut le bon...) et un grand soulagement au ventre.
Excitée et fatiguée à la fois..
C'est dingue ce que la peur est capable de faire.
J'ai été acheté ça...
... et je suis allée dans ma chambre faire ça.
Tout va bien.
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13h30.
Hôpital.
Scanner.
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Au fond du lit, les yeux ouverts sur le plafond, les pensées s'aggripent, empoisonnent et s'opposent au sommeil.
"Il était trop jeune pour mourir".
A partir de quel âge on (s') étend dire ça ?
A partir de quel âge donne-t-on à la mort une légitimité ?
Et puis y'a pas que l'âge qui joue, y'a l'entourage.
Les enfants.
Nouveau-nés, petits en bas-âge, la mort du père ou de la mère devient dans les têtes "plus" grave que si les enfants sont majeurs. Les non-parents eux sont en bas.
De toutes façons, c'est souvent des phrases lâchées pour combler le vide, pour mettre un point final à un sujet, une brève de sujet.
Des mots automatiques, des mots répétés, le "par coeur" rassurant. (Le par coeur...?). Le "pas nous".
Et puis, le manège se remet en marche. En musique.
Jusqu'au prochain tour.
Jusqu'à son tour à soi.
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"Ce sont des paroles confiées au vent."
(Fin d'un mail reçu hier soir)
Si j'étais un vent.
Si j'étais un vent.
J'aimerais être Loo ou Balaguère.
Je ne suis pas un vent.
Loo (vent d'Inde): vent brûlant venant du sud-ouest dans le désert du Thar. Ce vent accompagne parfois les tempêtes de sable.
Balaguère (vent des Pyrénnées) : vent venant d'Espagne et parfois de bien plus loin, souffle dans les vallées des Pyrénées un vent du sud qui amène avec lui un « parfum d'Aventure ».
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Encore.
Je n'en peux plus de ces migraines incessantes.
Obligée une nouvelle fois de quitter l'agence pour aller me coucher.
Le noir, vomir, froid, silence.
Médecin.
Un rendez-vous avec un neurologue est programmé.
Il m'a aussi prescrit un scanner.
Check.
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9 octobre 2007.
Petite Fée.
Ma Divine.
4 ans.
Je t'aime.
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Princesse (4 ans... demain) est une petite fille gourmande. Une lichouse comme on dit ici ! Elle aime tout ce qui est sucré : chocolats, bonbons, gâteaux, toussa.
Je me suis alors toujours demandée pourquoi elle n'a jamais voulu manger, même goûter, les bûches de Noël.
En lisant un livre sur le Père Noël, j'ai enfin pigé.
"Maman, pourquoi le Père Noël il aime manger du bois ?".
Logique.
Je l'adore.
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Etre libre, être soi. Dire ce que l'on pense, ce que l'on croit penser. Toujours.
Pas évident.
J'apprends. Avec les années, avec les claques et les carresses.
Etre libre, être soi.
On entend ça partout. Faut rester soi-même.
"Vous avez un conseil pour tous les jeunes qui vous admirent et vous regardent ?".
Le mec répondra toujours la même phrase "Oui, un seul, surtout qu'ils restent eux-mêmes."
Ca devient une phrase (imbuvable) comme un claquement de doigt !
La bonne blague.
Etre soi-même.
Ce qu'il ne disent pas c'est que ce n'est pas évident d'être soi-même.
Il faut déjà le trouver "son soi-même", et ensuite être soi, ben, en général, les autres, ils n'aiment pas. Du coup, ca finit toujours par elle est trop ceci, elle est trop cela, tu t'rends compte de c'qu'elle dit ?
Dans la vraie vie ou ici, sur les blogs, c'est pareil.
On se croit libre, on se sent pousser des ailes, on sent que le soi-même sort de sa carcasse et vlan, on vient te rappeler que tu dépasses les bornes. Enfin les bornes... Pas les tiennes, celles des autres.
"C'est pas toi hein, mais disons que je suis moins d'accord avec ton blog... mais ne le prends pas pour toi hein...?".
Comment dire ? Mon blog et moi. C'est quand même un peu pareil. D'un côté y'a Ladyblogue, de l'autre une fille avec un vrai prénom. Le reste ? Le même cerveau, les mêmes envies, les mêmes pensées, le même sang, les mêmes yeux.
Sauf que le blog, ca se voit, ca se regarde, on montre en mots et en images et ça reste. La trace.
Au quotidien, j'me ballade pas avec des photos de nus dans les mains, je n'ai pas forcément le temps ni l'occasion de parler de çi et de ça avec l'autre. Sur le blog, c'est dit.
Mon moi s'étale.
On ne peut plus m'aimer à moitié, à demi, en fadasse. C'est ça.
Alors, ça s'écume.
Ca se vide.
Et comme dirait l'autre, "ouais, mais on garde les meilleurs.".
Les meilleurs pour notre soi, meilleurs car les plus en phase avec notre ligne de vie, notre direction.
Si parce que j'aime les photos de nus, si parce que je suis pour le Mademoiselle, si parce que j'aime dire l'expression "tu me casses les couilles" ou encore "putain de sa mère la pute", si parce que parfois je poste des photos de moi, que mon égo en a besoin, si parce que je parle de mes coups de blues ici et pas ailleurs, si parce que j'aime l'humour de merde, si parce que j'expose ma sensibilité à fleur de peau, si parce que tout ça et mille autres parce que, et si tout cela me plait, me fait plaisir et du bien, alors, je le fais.
En cela, je m'approche de mon moi. Et en cela, je me sens plus forte qu'hier.
Et à celles et ceux qui s'arrêtent en chemin, bloqués juste par des principes, une seule phrase : ouvrez-vous.
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Aujour'd'hui, vu le week-end qui vient de passer, ca va être dur.
Très dur.
Très très dur.
Très très très dur.
Très très très très dur.
Enfin, vous voyez quoi.
(Chié)
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12 m2
Plus de 160 cintres identiques.
Une trentaine de mètres d'étagères.
19 jeans.
19 paires de chaussures d'hiver.
Autant de chaussures d'été dans leur boite.
Plus de 60 ensembles de lingerie rangés dans plus de soixante petits casiers individuels.
16 tiroirs.
1 week-end, 1 journée et demi de rangement.
J'aime mon "nouveau" dressing.
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Bon... on peut toujours rêver comme dirait l'autre.
L'autre jour, je papotais avec des amis, les vacances, le soleil, la, plage et toussa. Le sujet du Club Med est venu sur le tapis.
Je suis allée au Club Med, petite, quand je vivais chez mes parents. On allait au Club tous les ans. Je me souviens de Sant'Ambroggio où j'ai appris à nager.
Mes amis me parlent du village "Le Riad". Je file regarder sur le net.
Putain de sa mère... "Le Riad".
5 tridents.
Fait partie des "Villages Luxe by Club Med".
Je veux aller là-bas.
Je veux aller là-bas.
Je veux aller là-bas.
"Dans l'une des villes les plus envoûtantes du Maroc, Marrakech le Riad déploie son charme princier pour ses hôtes privilégiés.
Composé exclusivement de 60 Suites de 42 m², avec terrasse ou jardin privatif, le Riad, dont la décoration raffinée s'inspire de la tradition marocaine, dévoile sa piscine et ses jardins, savamment redessinés.
À ses résidents, il réserve l'attention de services et des espaces exclusifs avec service de conciergerie, petit déjeuner continental servi en chambre, la dégustation de champagne au coucher du soleil ou la détente sur mesure, au Spa* CINQ MONDES ou lors d'un massage* sous ses nouvelles palapas et l'accès libre au Village de la Palmeraie."
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Qui dit rentrée dit "inscriptions aux activités".
Danse pour les louloutes... le tutu, le rose, le grand écart,toussa... ca marche depuis toujours.
Et moi ?
Ouais : "Et moi ?" Car j'ai envie de faire un truc. Histoire de rajouter un truc dans mon planning (comme si je n'avais pas autre chose à foutre... la folledingue...).
Je me suis renseignée aux MPT (maisons pour tous) du coin. Y'a pas grand chose. Tricot, couture, scrapbooking, cours d'anglais, dentelles... Soit l'activité ne me plait pas, soit elle a lieu en pleine après-midi (et ceux qui bossent alors ?).
Côté gym, entre "gym douce" où tu vas croiser que des + 65 ans et gym d'entretien, je ne suis pas convaincue. Si c'est pour faire 1h de gym par semaine, ca ne vaut pas le coup. C'est pas ça qui va me muscler les fesses. Nan.
Y'a plusieurs trucs qui me diraient... enfin, comme ça quoi, pour faire quelque chose, découvrir.
Le chant (peur de tomber dans un truc où tout le monde se prend pour Aznavour ou Beyoncé), la danse (la danse orientale m'attire depuis des années) et la capoeira.
La capoeira... Ca a l'air sympa. Je ne connais pas trop.
J'ai fait du kick-boxing pendant des années, je l'ai même un peu enseigné ; ca me plaira de faire un truc dans le même genre. Mais va t'inscrire au kick à 38 ans ! La misère. Je vais me retrouver face à des gamins de 18 piges (et encore...) qui vont me pourir la tête avec la jeunesse de leur muscles ! T'va voir ta gueule ! Soit je passe pour la vieille bique folle de service, soit pour la milf qui cherche le p'tit minet !
Du coup, je me dis que la capoeira, c'est pareil. De quoi je vais avoir l'air là-dedans ? Ce sont des jeunots, non, qui vont s'inscrire de la capoeira, nan ? Et même si une trentenaire (sur le tard) peut s'inscrire, encore faut-il que j'assure derrière... Faut que je me renseigne...
Si vous avez des infos là-dessus, je prends.
Sinon ?
Ben.. sinon... je sens que je vais terminer à la gym douce.
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Bon ben ca y est. C'est la rentrée.
Coup de balai sur mon blog. Du blanc, du blanc, du balai.
Nouvelle baseline.
L'éphémère en continu.
Nouvelle PP (comprendre Picture Profile... merci @Zurg_ !).
Jeter les vieux cartons poussiereux, les pellicules attachées au passé qui ne servent plus à rien.
C'est la rentrée.
Une Princesse qui rentre en CP et qui est contente d'y aller.
Une Petite Fée qui entre en moyenne section et qui pleure non-stop rien que d'y penser.
Un retour à l'agence pour moi, après 3 semaines de vide.
Une réorganisation totale.
Ici et là.
Et vous savez quoi ? Ca me plaît.
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Besoin d'un coup de blanc. Besoin d'épuré un peu la sphère.
Une colonne en moins. Garder l'essentiel.
6e année.
Un nouveau bandeau. pas encore certaine du truc, mais bon, au bout d'un moment, faut y aller parce que sinon, on ne fait rien. Changera, changera pas. On verra. Ou pas. Là n'est pas l'important.
L'éphémère en continu.
J'aime bien.
J'aime bien et puis, c'est vraiment ça.
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