Ladyblogue, l'éphémère en continu

Quatre à deux

Grimper. Escalader.
A quatre bras, à quatre mains.

Se cacher, s'entortiller.
A deux.

Mimétisme.

Autocensure

C'est la première fois que ça m'arrive ici. L'autocensure. Comme d'habitude, un billet écrit d'une traite. Mais celui là n'était pas comme les autres. Celui-là ne paraîtra pas. Un remous tremblant, une amertume, une délivrance pourtant. Et puis pourquoi dire aux "yeux du monde" ? Pour hurler justement. Permettre à l'écho de s'immiscer et claquer une fois, de claquer enfin. Hurler ma rage, ma colère, mon mépris, ma terreur, ma non-culpabilité. Cracher ma tristesse, qu'elle sorte bordel. Depuis l'temps.
 
Et puis non.

Obligée cette fois de me relire. J'pouvais pas faire partir ces mots comme ça, tous seuls, comme des mô(ts)mes perdus. La relecture fut éreintante. Quand on écrit, on ne se rend pas compte. Ca file, ca fuse. Quand on relit, on s'étonne d'avoir su, on s'effraie même. C'est bien moi ? Le "brouillon" le restera.
L'autocensure est là depuis déjà tant de temps. Pourquoi les choses changeraient-elles après tout ? On pense à soi, c'est certain. Mais le bâillon est pour les autres.

Blasphème.

De l'heeerrrrrrrBEEE !!!!!!

Si vous me lisez régulièrement, vous connaissez certainement mon indubitable attirance pour la skunk l'herbe verte et son utilisation dans la mode ou le design. Rappelez-vous, entre autres, les bijoux étonnants de Hafsteinn Juliusson ou encore les créations poétiques de Peter Gibson (qui m'a valu un billet sur elle.fr... oui mesdames et messieurs...) (Rôôô la kéké !)

Dans la même lignée, j'ai trouvé un truc vraiment sympa : le grass charging valet.

Pour rechargez, vos portables ou autres appareils numériques (appareils photos, lecteurs multimédias, blablabla...), il suffit de les planter dans ce charmant pot vert. Bon ok, l'herbe est en plastoc (ou équivalent), mais j'aime beaucoup l'idée. Ca permet d'avoir une petite touche végétale (même fausse) tout en cachant les monstrueux fils et chargeurs de ces appareils. C'est quand même plus joli que de les voir traîner partout.

Ca ne coûte que 30 euros et c'est juste ici !

Merci qui ?

Menteur(se)

A l'agence, avec Deezer. Olivia Ruiz et son "Elle panique". La chanson finie, Deezer a décidé de passer à autre chose, de me faire découvrir une autre route. Direction Charlie. Le titre "Menteur". J'entends. Mes yeux plantés dans ma reco du jour se relèvent. J'écoute. J'écoute et je réécoute.

J'aime sa voix, j'aime ce texte.

"Menteur"

Ecoutez. Lisez.

Charlie - Menteur
envoyé par wonderful-life1989

Menteur
C'est des routes, des lignes droites, des allées hautes en couleur
C'est des idées en vrac, des pavés, des chemins tout en douceur
Des trésors pour toi
J'ai des souvenirs qui me viennent de partout
D'ici et d'ailleurs, et plein les bras, des paroles à boire et pour toi
J'ai des contes, des images dans des boîtes à ressort
Et des histoires folles à dormir dehors
J'ai mille et une histoires à vous dire
Mille et une histoires, belles ou qui font peur
J'ai mille et une histoires à vous dire
Des rumeurs des villes, des ragots d'ascenseurs
J'ai la tête pleine, j'ai la tête pleine d'humeurs.

C'est des noms, des visages qui me reviennent au hasard
Sur le fil en trompe l'oeil, en mirage, des croix de bois
Des hommages c'est pour toi
Qu'est ce que tu fais dans la vie ?
Qu'est ce que t'as tiré au sort ?
Moi je suis menteur, amnésique, mauvais joueur et amoureux transi
J'ai pas de nom, pas de fierté, pas d'orgueil ni de courage
Etre ici, là-bas et tout à la fois
Je suis bandit, pirate, voleur, aviateur, civil ou à 200 à l'heure.
J'ai pas de plomb dans l'aile, m'en veux pas ma mère
Ouais, si je suis pas claire c'est qu'ici c'est l'enfer
C'est qu'ici c'est l'enfer, j'arrive pas à m'y faire.

Mais si c'est que des vieilles querelles, les jours de grêle
J'ai des perles, des palais, une mine d'or, c'est pour toi.
J'y enfermerai ton nom à l'intérieur,
j'y enfermerai toi, ton nom. C'est des couleurs.

Mais je connais rien de sa vie, simplement qu'elle habite tout près et à deux pas d'ici
J'aime passer du temps assis sur un banc
La regarder filer au milieu des passants, au milieu des passants
A la voir s'éloigner, j'hésite un instant
"Est ce que vous auriez du feu ? Une minute ou deux ?"
Lui parler du beau temps, lui parler du beau temps
Je lui dirai qu'elle est celle qui remplit mes jours
Et l'appeler ma chérie, ma folie et mon amour
Moi je vendrais mes crack, mon ciel, mes rêves pour un regard d'elle..

Mots et bouche cousue

Il est tard. Voilà que je n'arrive pas à fermer l'oeil. Ni l'autre. Je me relève. Envie viscérale d'écrire. Besoin du clavier comme d'une clope. Toucher les lettres, à la lumière blanche de l'écran, sans savoir vraiment où je vais. L'écriture automatique a ça de magique. On la contrôle, mais c'est elle qui vous emporte. Elle prend le pas. Elle vous envahit la gueule. Merci. J'aime écrire. De plus en plus je crois. Nan, j'crois pas, je suis sûre. Les mots sont plus dociles. L'écrit est comme nous. Evolutif. Modulable. Il s'évapore pareil. De l'eau sur le feu. Jusqu'à plus soif, jusqu'à pénurie de liquide. Je me relève pour écrire. Des mots. Mots et bouche cousue.

Métropolitain

Avant de venir vivre ici, j'étais en banlieue parisienne. Je prenais le métro tous les jours. Pour aller en cours, pour aller au boulot. Matin et soir. Soir et matin. Métro, boulot, dodo. 

Bonjour les barres chaudes pleines de miasmes. Bonjour les dessous de bras surélevés et malodorants. Bonjour les corps entassés, mous pour certains et trop durs (...) pour d'autres. Bonjour les gueules grises et fatiguées, regardant le sol ou  le vide. Moi avec. Bonjour les "bonjour, je suis seule avec 12 enfants, je n'ai pas de travail, regardez mes mômes...". Bonjour les chicotements de rats. Bonjour le lapin aux trois doigts qui nous dit "attention !". Le con.

Mais dans le métro, j'aimais quand même quelques trucs... Les grandes affiches, les grandes pubs. J'aimais aussi le carrelage blanc rectangulaire. J'aimais regarder autour de moi, la vie, les gens avec ma musique dans les oreilles, très souvent Noir Désir à l'époque. J'aimais traverser mes livres, toujours un dans mon sac.  Le contraire aurait été impossible. J'aimais imaginer la vie des uns et des autres. "Tiens, celui-là, il doit faire ça comme boulot", "Tiens elle, elle va rejoindre son amoureux"... J'aimais croiser un regard différent des autres ; ces regards qui illuminent la journée et qui font naître des annonces dans Libé. 

Oui, j'aimais quelques trucs. Et si j'avais vécu ça, j'aurais adoré.

Qui veut une (belle) paire de couilles ?

(Attention, faut suivre...)

Le surf, le skate, les sports de glisse et toussa sont des sports qui font vibrer les filles. Oui, ca fait cliché à mort dis comme ça mais c'est super vrai.

A la plage, il suffit que l'on voit un surfeur à la peau bronzée, le ventre tabletto-chocotlaé, les épaules rondes, les cheveux salés, une planche sous le bras, le maillot de bain fleuri et de surcroît mouillé (...)... pour que hop, on prenne une pose glamour (enfin, on essaie) et qu'on bombe les seins (enfin, on essaie). Et même s'ils font souvent kéké avec leur tronche bien trop aseptisée, c'est comme un coup d'électricité, hop, on sursaute.

Et ça, les mecs le savent.

Du coup, même gaulés comme des asticots en ruine (je rappelle que "gauler" signifie à la base "secouer un arbre avec une gaule pour en faire tomber les fruits"... d'où l'asticot... l'asticot dans le fruit... qui est tombé de l'arbre... bref... laissez tomber) (et je précise pour ceux qui ne le savent pas qu'une gaule est une longue perche d'où l'expression... rebref...) (et là, je vous laisse aller lire ce que j'ai écrit 63 mots avant... soit 372 caractères espaces compris et 310 espaces non compris...), même gôlés comme des asticots en ruine donc, les hommes veulent tous s'y mettre. Surf sur l'eau, sur neige,  sur herbe, skate, beaucoup veulent se lancer.

Mais qui dit sport de glisse dit un minimum d'équilibre, d'aptitudes physiques et parfois du courage. (Et ouais messieurs...). Et le courage, ça court pas les rues chez la gente masculine... (Et là j'attends tous les "Ouhhhh"...)

Du coup, la marque de surf et de skate Sooruz vient de lancer une campagne de pub tout à fait étonnante. Le message est clair : Sans courage, pas de gloire. Jusque là, pas de quoi casser 3 pattes à mémé un canard.

Là où ça devient intéressant, c'est que la marque s'adresse aux froussards en leur proposant de leur vendre une bonne paire de couilles.

Alors, qui n'en veut ?

SOORUZ -- No Guts No Glory
envoyé par sooruzwebteam

SOORUZ NoGuts NoGlory Maman HQ
envoyé par sooruzwebteam

Flashback

(Ce billet a été mis en ligne le 14/03/07)

Ca a commencé avec mon billet sur le film « La haine ». Comme ça.

Ca m’y a fait pensé.

Et puis, y’a eu le billet de Ludo. Comme un glaçon.
Ca m’a fait repensé à tout ça.
A cette douleur qui était là. Apaisée maintenant. Avec le temps. Mais qui ressort parfois. De moins en moins souvent, heureusement.
Ca m’a fait repensé à lui.
Un gamin à l’époque. On s’était rencontré j’avais à peine 15 ans. Une enfant aussi.
Y’en a plein des gars paumés, qui cherchent leur place au milieu de tout ça. On nous dit « le monde vous appartient ». Ca paraît simple, non ?
Mais on ne sait pas. On est là aujourd’hui. On sera là demain. C’est tout ce qu’on voit.
Les journées défilent, remplies par du n’importe quoi. Les potes, la défonce, le collège quand on peut, les virées.
Il était paumé. Un faux rebelle. Un vrai sensible. Le plus sensible que je n'ai jamais connu. Il a été mon premier amour comme on dit. Quelques années.
Car les journées défilent toujours. On se dit qu’il va bien se passer un truc. Un truc extraordinaire, car merde, on n’est pas là pour rien. Un truc. Mais quoi ? Faut faire quoi ? A 15, à 16, à 17 ans, on n’en sait rien… surtout quand on est seul. Lâché, comme suspendu dans l’air.

On n’en sait rien. On regarde autour de soi, notre monde est minuscule.
Il était paumé. Et il est mort. A 19 ans.
Ses journées ne défilaient plus.
J’ai longtemps été hantée par tout ce que j’aurais tant aimé lui dire. On ne dit pas assez les choses. On pense toujours qu’on aura le temps de le faire. Ben non, c’est faux.
C’est certainement depuis tout ça qu’il est si important pour moi de dire aux gens toute mon affection. Dire les choses quand elles vont bien. Les gens ouvrent leur gueule pour râler, pour dire quand ça va mal. Rarement pour dire qu’ils sont heureux.
T’as raison Ludo, le désespoir ça fait peur. Ca fait fuir les gens.
Il était paumé… mais il était tout seul.

Folie yellow

Le soleil arrive et en "bonne" fille que je suis, je scrute les magasins de chaussures à la recherche des paires(-les) de l'été. Evidemment, en "bonne" fille que je suis, j'ai envie de plein de choses, de pleins de style, de la ballerine blanche Adidas, à la sandale plate en passant par l'escarpin.

Et en regargant un peu, en fouinant par ci par là, j'ai trouvé la paire à talons que j'aimerais je veux avoir !

Elle est jaune, jaune, jaune. Elle est belle, belle, belle.

C'est la "Jet" de chez Repetto et elle coûte (à vérifier) 259 euros. Soyons fous.

Y'a plus qu'à les trouver (...et à manger du jambon !)

Entendu

"Tu trouves pas qu'elle est un peu bizarre ?"

"Non, elle n'est pas bizarre, elle est triste."

Hé manouche, va t'acheter un dico !

On a mis un truc à vendre sur le site leboncoin.fr. Voici le message d'un intéressé :

"slt je sui intérésé jabite a XXX je pourai
lachété jaten votre réponse"

Nan mais j'ai les yeux qui saignent quand je vois ça moi !
T'es un djeuns qui pense que le langage SMS est celui de Molière ?
T'es un manouche ????

Hier, je crachais ma hargne sur les "trop".

Ben, en voilà un autre : lé messes sages aveque dégrausses photes.

(Putain, c'est balaise d'écrire mal !)

Trop c'est trop !

Le trop me gonfle.

Le gay qui se prend pour une grosse folle.
L'obèse qui s'empiffre de gros triplecheesebacon-coca XXXXL-glace caramel.
La bimbo avec ses gros seins. (La salope !)
Le bon-en-tout avec sa grosse tête d'ampoule.
Le kékéman et ses grosses jantes alu.
Le commercial avec sa tête de gros con et son trois-quart en cuir.
L'anorexique et sa grosse bouteille d'eau.
L'anarchiste et son gros ni Dieu ni maître.
La mère et ses grosses vérités.
La fille et ses grosses conneries.
Le voisin et sa grosse tondeuse.
Le tombeur et sa grosse bite.
Le djeun's et son gros jeans avec ses grosses baskets.
La djeun's et ses gros talons.
Le boucher et ses grosses tâches de sang sur le tablier.
Le prof avec ses gros zéros.
Les militants et leurs grosses banderoles.
La vie et ses grosses peaux de banane.
Le dentiste et sa grosse roulette.
Le flic et ses grosses jambes arquées.
La cliente et ses grosses corrections.

Trop de trop tue le trop. Restons simples.

Un billet à la con... peut-être. Ou pas.

Le petit coin de résistance

Je vous avais déjà dit que j'aimais beaucoup beaucoup Christophe Alévèque. Le voici fêtant à sa manière les 2 ans de l'élection de notre cher Nicolas.

Il y a deux ans, j'ai voté pour lui. Ferais-je la même chose aujourd'hui ?

En tous les cas, quand on regarde des sketches comme celui-çi, on se dit qu'on est (quand même) bien en France.

Vive la liberté d'expression, vive la République, vive la France !

Le Petit Coin de Résistance - Episode 01
envoyé par Aleveque-Christophe

et le voici devant le Fouquet's...

Christophe Alévêque fait sa fête à Sarkozy
envoyé par LEXPRESS

Espèce de trou du fute

Sur le point de coucher Princesse.
Elle est assise sur son lit, moi debout.
L'air super étonné et inquiet, elle regarde mon jeans, un nouveau jeans que je viens de m'acheter. Jeans au look un peu destroy, "faussement" troué.

- Oh maman !? T'es tombée ?
(Je souris)
- Non ma chérie !
- Oh, mais ton pantalon... ? Il est usé alors ?! Mais pourquoi ?

Allez leur faire comprendre après qu'ils doivent faire attention à leur vêtement !
;-)

La tentacule humaine

Une vidéo.
Une pub contre les abus sexuels faits aux enfants.
Pas la peine de s'étendre.
Regardez. Regardez. Regardez.

http://www.dunkelziffer.de

L'éphémère dans l'espace

La série de photos intitulée "Kusho" ("écrire dans le ciel" en japonais) de Shinichi Maruyama m'a  beaucoup plue.

L'artiste projette en l'air de l'eau et de l'encre et shoote le moment précis où les deux liquides se rejoingnent.

Au-delà d'une beauté, d'une esthétique, d'une poésie d'image, la prouesse technique mérite d'être saluée. D'un côté des images capturées à 1/7500e de secondes et de l'autre un hasard  infini du résultat, des formes, de la rencontre graphique.

Une vision de l'éphémère dans l'espace à découvrir.

Mai heuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu !!

Bon un peu à la bourre pour le bandeau de mai, mais (bis) le temps passe tellement vite que j'avais un peu zappé le changement de moi mois.

Comme "en mai, fais ce qu'il te plait", voilà en résumé ce que j'aimerais qu'il se passe durant ce mois :
> un peu de peinture (travaux chambre oblige... Laissés un peu beaucoup à la folie passionnément en plan depuis la naissance de Petite Fée),
> des enfants qui sautillent, en bonne santé, sans virus, sans fièvre et toussa,
> des bonnes fraises (goutez un peu celles de PlouGASTel !!!)... Nan, j'suis pas enceinte, je vous rassure (et je me rassure aussi !), mais j'ai une incroyable envie de fraises ces derniers temps,
> une tête dans l'herbe et les pieds en l'air... putain bordel, c'est ce qu'il me faut !

Et je finirais ce billet par un délicieux proverbe : "Quand il tonne en mai, les vaches ont du lait."

Je vous laisse méditer.

Enfants soldats, d'ici & d'ailleurs

Chaque jour, des milliers d'enfants s'amusent à tuer des gens dans des jeux vidéos. Pour de faux.

Chaque jour, plus des milliers d'enfants tuent des gens sur les champs de bataille et meurent. Pour de vrai.

Univerbal et l'agence de communication JWT lance leur campagne "Child Soldiers can't restart", à l'aide d'un dessin animé en 3D entièrement réalisé pour l'occasion par l'équipe créative de JWT.

Mettant en évidence le parallèle entre la réalité de plus de 300 000 enfants réellement utilisés comme soldats dans 41 conflits en cours, et la banalisation de la violence dans des jeux vidéos majoritairement utilisés par des enfants, cette vidéo tire la sonnette d'alarme à double sens.

La musique de cette vidéo est extraite de l'album "Enfants-soldats, d'ici et d'ailleurs". Ce CD, résultat de 2 années de travail, réunit une trentaine d'artistes reggae, ragga, soul et hip-hop. La vente de cet album agira concrètement en faveur de la réinsertion d'enfants-soldats en finançant un programme en coordination avec Coalition Mondiale contre l'utilisation des enfants soldats.

Pour plus d'infos, allez sur le site enfants-soldats.com.

Les enfants face à la guerre... ici.

La Kestion Passikon (#28)

Un long BON week-end. Sans personne de malade. Sans suppos, sans tempé, sans hôpital, sans médocs, sans pédiatre, sans SOS Médecins...

Putain qu'ça fait du bien.

Juste un week-end normal. Tranquillou. Sans speed. Des balades, des feux de cheminées, des gâteaux, de la pâte à modeler, du surf, du blogging, des langoustines... No stress, cool raoul, relax max...

L'esprit décontracté, voici la kestion passikon n°28. Je compte sur vos réponses !

La kestion passikon # 28 :
Pourquoi la Terre s'appelle t-elle ainsi alors qu'elle est composée à 78% d'eau ?

Hé ! Passikon celle-là hein ?

Retrouvez toutes les kestions passikons ici.

Juste un brin

Ah le premier mai !
La fête du travail... jour férié... le muguet, les clochettes, les bonnes senteurs et toussa...
Mais le muguet c'est aussi ça...

Bon week-end !

(Quoi ? Quoi, c'est déguelasse ?? Oui oui, je sais... mais j'avais envie !)

(Et comme au mois de mai, fais ce qu'il te plait, ben je ne mets pas tout de suite de nouveau bandeau ! Et toc !)
(Bon, ok... en même temps, j'avais un peu zappé le changement de mois et il n'est pas prêt...)