Décidément, ça me fout le bourdon d'aller chez Quick.
Mercredi, jour des enfants, j'emmène Princesse manger une Magic Box et jouer dans l'espace jeux de Mister Quickos. On s'installe. On mange. On rigole toutes les deux. Je sens bien la connivence, je vois bien les sourires, je fais des blagues, bref... on est bien. Et puis, à la fin du "repas" (suis obligée de mettre le mot entre guillemets), Princesse file jouer sur les matelas de couleurs, dans le toboggan, dans la structure.
Je ne prends pas mon livre, nan, je préfère la regarder. Et puis mes yeux courent sur les autres enfants. Les timides, les turbulents, ceux qui pleurent, ceux qui passent devant les autres, ceux qui crient, ceux qui rient. Je les vois, eux, et leurs parents. Principalement des mères. Et j'observe et j'écoute. Et je n'en crois ni mes yeux, ni mes oreilles. Les
ressemblances incroyables entre les femmes et leurs enfants. Mais surtout... surtout...
Le ton de certaines mamans, agressif, impoli. Les gestes de certains enfants,
violents, incontrôlables. Les mots qui fusent
"espèce d'égoïste !", "Viens-là j'te dis"', "mets
tes godasses !", "putain, tu t'en fous partout, t'as pas vu tes mains
?", "t'es vraiment stupide". A se demander où je suis au juste.
Mon regard se repose alors sur le visage de ma Princesse et je me dis, que même si parfois c'est difficile, que même si bien sûr je crie, elle crie et on se dispute, je me dis une fois encore, qu'elle et moi, avons de la chance d'être si bien ensemble. Elle remarque mon regard profond. Elle me sourit de toutes ses étoiles. Au bout d'une heure, nous partons. C'est pas le tout, mais on a un atelier pâtisserie qui nous attend.
Mercredi, jour des enfants, j'emmène Princesse manger une Magic Box et jouer dans l'espace jeux de Mister Quickos. On s'installe. On mange. On rigole toutes les deux. Je sens bien la connivence, je vois bien les sourires, je fais des blagues, bref... on est bien. Et puis, à la fin du "repas" (suis obligée de mettre le mot entre guillemets), Princesse file jouer sur les matelas de couleurs, dans le toboggan, dans la structure.
Je ne prends pas mon livre, nan, je préfère la regarder. Et puis mes yeux courent sur les autres enfants. Les timides, les turbulents, ceux qui pleurent, ceux qui passent devant les autres, ceux qui crient, ceux qui rient. Je les vois, eux, et leurs parents. Principalement des mères. Et j'observe et j'écoute.
Mon regard se repose alors sur le visage de ma Princesse et je me dis, que même si parfois c'est difficile, que même si bien sûr je crie, elle crie et on se dispute, je me dis une fois encore, qu'elle et moi, avons de la chance d'être si bien ensemble. Elle remarque mon regard profond. Elle me sourit de toutes ses étoiles. Au bout d'une heure, nous partons. C'est pas le tout, mais on a un atelier pâtisserie qui nous attend.