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"La couleur n'a aucun sens pour l'intelligence, mais elle a tous les pouvoirs sur la sensibilité." (Eugène Delacroix)
Il y a peu je vous parlais d'un projet étonnant de la photographe Angelica Dass appelé "Humanae", véritable pantone de la peau.
Nous allons resté dans l'univers de la couleur et de la peau, mais cette fois-çi sous l'angle de la synesthésie. Rencontrée à l'agence, L., une femme synesthète m'a parlé de ce phénomène dont je vous explique/rappelle la définition.
La synesthésie est un phénomène neurologique par lequel deux ou plusieurs sens sont associés. Par exemple, des notes de musique, des timbres de sons, des lettres et des chiffres peuvent entrainer la perception de couleur, des goûts peuvent être associés à des formes tactiles, des sons peuvent susciter des odeurs. Les émotions peuvent aussi être associées à des perceptions sensorielles.
Concernant L., ce sont les gens qu'elle associe à des couleurs. Elle ne les voit pas en couleurs, non, mais le caractère, la présence de chacun lui font ressentir une couleur.
Evidemment, la question est tombée : "Moi, tu me vois de quelle couleur ?"
La réponse a été immédiate. Ma couleur principale est jaune avec, devant, en couleur secondaires, des "passages" de rose.
Nuanciers Pantone dans les mains, elle me sort direct mes références. 101C et 213C.
Lumineux. J'aime.
Quelques synesthètes célèbres :
> Duke Ellington, compositeur et pianiste (timbre → couleur)
> Wassily Kandinsky, artiste (couleurs → musique
> Franz Liszt, compositeur (musique → couleur)
> Vladimir Nabokov, auteur (graphème → couleur)
> Michel Petrucciani, musicien (musique → couleur)
> Pharrell Williams, musicien, producteur (couleurs → musique
> Thom Yorke, musicien du groupe Radiohead (couleur → musique)
> Daphné, chanteuse (multiple)
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Journée de archi-kilo-méga-giga-tera-peta-exa-zetta-yotta-merdes de merdasses.
Hier, pareil.
Je suis sur le fil.
Les nerfs à vif. Le souffle coupé. Limite les larmes.
Faut à tout prix que je respire.
Expirer... Inspirer... Expirer... Inspirer... Ex... BORDEL DE MERDE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Que me réserve ce mercredi ?
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Facebook, Twitter, toussa.
La course aux fans est là. Parfois "juste comme ça", souvent très sérieuse, selon les marques.
Trafic, e-reputation, ventes, toussa.
Alors, y'a des concours, des lots à gagner, des cadeaux, toussa.
Et y'a la fameuse récompense pour celui ou celle qui deviendra le 1000e fan (ou 2000e fan/3000e fan/etc. ou le 1000e follower...)
La marque recompense donc une seule personne, le 1000e fan, qui attérit sur sa page souvent comme un cheveu sur la soupe grâce à la communauté qui aura fait gentillement passer le message "attention, pour gagner un déjeuner aux Ambassadeurs pour deux personnes, soyez le 1000e like" .
Là, je ne comprends pas.
Pourquoi ne pas récompenser plutôt sa communauté ?
Pourquoi ne pas récompenser plutôt les 999 fans qui eux sont là, qui eux sont fidèles (plus ou moins) depuis le début ?
Parce que le lot sera plus modeste ? Certes.
Et pourtant.
Sur les réseaux sociaux, les marques ont tendance à oublier que la fidélité est le nerf de la guerre. Elles pourront aller à la course aux fans, s'essoufler en temps et en argent, le fan est très joueur. Il apparait selon ses intérêts et disparait de la même façon.
Mesdames les marques, créez des bases solides plutôt que de vouloir faire le plus haut chateau de cartes. N'oubliez pas qui est le roi.
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Moriarty - Enjoy the Silence (Depeche Mode cover) par kidamprod
Et l'original...
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J'adore les couleurs. J'adore les nuanciers de couleurs. Que ce soit pour trouver la teinte d'une peinture pour ma déco ou celle pour un visuel de com', j'aime les regarder, jouer avec les nuances, les complémentarités. Le nuancier Pantone fait partie de mes préférés. Tous les secteurs s'en inspirent. On voit ainsi des mugs version Pantone, de la peinture version Pantone, du maquillage version pantone, des chaises version Pantone, des maillots de bain version Pantone... bref, les couleurs Pantone sont partout autour de nous.
(Et là, j'en viens au sujet du jour...)
Je suis tombée sur le projet "Humanae" de la photographe Angelica Dass.
"Humanae" est un inventaire chromatique, un projet qui reflète les couleurs au-delà des frontières de nos codes de référence à la couleur Pantone. Le projet est basé sur une série de portraits dont le fond est teint avec le ton exact Pantone ® extrait d'un échantillon de pixels 11x11 du visage de la personne photographiée. L'objectif est d'enregistrer et de cataloguer tous les tons possibles de la peau humaine.
L'homme n'est donc plus réduit à être blanc, jaune, noir ou beige. Ce projet rappelle que l'homme est bien plus riche.
Le but du travail photographique d'Angelica Dass est de parvenir à faire participer directement le public dans la photographie, comme une communication non-passive entre les gens.
J'ai beaucoup aimé cette idée mettant en avant les richesses essentielles des identités sociales, culturelles et raciales.
Nuancier Pantone : Nuancier de référence où chaque teinte est associée à une référence alphanumérique, et qui permet un aperçu fidèle des rendus d’impressions des encres Pantones®.
Pantone® : Système de référence international permettant de choisir une nuance parmi une gamme comprenant 747 couleurs distinctes identifiées par un numéro de référence.
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La scène se passe un samedi matin vers 11h45. Je m'arrête devant un point presse, relais colis pour une paire d'Adidas. La machine pour scanner et retrouver les paquets ne marche pas, faut attendre 10 minutes. Pas aimable le mec. En attendant, je parcours du regard les différentes revues et prend le Voici (oui...) du jour. Prix exceptionnel de 1 euro.
Sur ce, une femme que je n'avais pas vu depuis très longtemps (et que j'aime de tout mon coeur) entre dans la presse. Retrouvailles, papotages, rires, blabla, piplettages et compagnie.
La machine remarche. Hop, tenez madame votre paquet. Merci, au revoir monsieur !
Me voilà dehors, devant ma voiture, ma boîte de chaussures dans les mains. Ma boîte de chaussures et mon Voici.
Merde ! Le Voici ! Je l'ai pas payé !
1 euro...
Y'a quelques temps/années/mois/semaines/jours/allez savoir..., je ne me serais même pas poser la question. Je serais partie illico. J'ai oublié de payer, même pas fait exprès, 1 euro, tant pis, c'est marre, j'me casse. 1 euro, 10 euros, 30 euros, c'était pareil.
Mais là, vois-tu pas que je culpabilise comme une dinde avec mon Voici devant ma bagnole.
Je retourne dans le point presse.
J'explique l'erreur au vendeur, il me regarde sans aucune expression, sans applaudissements ou autre Hourra Hourra auxquels je m'attendais un peu. Nan, le mec, rien, l'air limite décédé. Je lui donne 1 euro. Je sors et voilà que je me sens encore plus dinde avec mon Voici payé.
L'honnêteté, c'est nul en fait.
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Les grosses couilles se sont dégonflées.
Projet tué dans l'œuf, quasi éclos.
Je dois être top naïve en fait.
Il faut que j'arrête de croire au Père Noël.
Et de prendre trop à cœur certaines choses.
Grosse claque.
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Je surfe sur elle.fr et je tombe sur une info qui parle de cours de pole dance pour des petites de 3 à 10 ans. Ca se passe en Angleterre (Northampton).
Je rappelle à ceux qui n'en n'ont jamais entendu parler que le pole dance est une discipline, popularisée par les strip-teaseuses, qui mêle danse sensuelle et acrobaties autour d'une barre.
La prof de pole dance pour enfants, Carly Wilford, 30 ans, explique que "c’est une occupation parfaite pour renforcer l’estime de soi".
Alors, c'est sûr, je ne connais rien au pole dance enseigné aux personnes lambda dans les maisons pour tous de quartier ou autres. L'effort physique n'est pas à nier, certes, mais personnellement, je préfère que mes filles fassent de la danse "classique", du théâtre ou du basket plutôt que de se tremousser les fesses sur et autour d'une barre de fer.
Je pense que la symbolique trop forte du pole dance le rend inadapté aux enfants.
Je ne devrais même pas m'étonner.
Pantalons tailles basses, strings en taille 8 ans, soutiens-gorge rembourés taille 10 ans, talons dès 4-5 ans, épilation intégrale dès 12 ans, la folie de sexualisation des enfants bat son plein. Et elle n'est pas terminée. La preuve.
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Une pause.
Pas prévue du tout.
Je devais juste la déposer chez sa copine et repartir. "Tu veux un café ?". D'autres sont là aussi. Ok, je reste un peu. La sauvage que je suis reste un peu. Pratiquement pas échangé pendant l'année. Aujourd'hui, c'est différent. Ca parle, ça discute. Elles sont copines, se connaissent bien. Et je suis là. J'écoute, je regarde, je papote. Une pause inhabituelle. Jardinage, réunion du soir, enfants, sorbet à la banane. je plonge dans l'univers des Desperate Housewives. C'est un univers que je ne connais pas. Le temps passe. Passe vite. Je n'ai pas vu l'après-midi passer. Il est temps de partir.
Etape.
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Il y a quelques temps, je vous avais parlé de mon désaccord avec la maitresse de ma fille au sujet d'une histoire d'écharpe. Josiane (appelons-là à nouveau ainsi) a refait des siennes. Elle a refusé de poser sur la photo de classe avec ses élèves. Je l'avais déjà remarqué pour la photo de mon aînée ("mon aînée", ca fait toujours marrer ça, non ? Quoi ? Pas vous ? Bref.) mais à l'époque, je croyais que c'était parce qu'elle était malade ce jour-là.
Remarquant encore une fois son absence, je demande à ma cadette (là, ça fait pas rire) pourquoi Josiane ne figure pas sur la photo, si elle était malade.
"Non, elle était à côté du photographe. Elle ne voulait pas être prise en photo."
Ouais. La maîtresse de moyenne section ne veut pas se faire prendre en photo avec sa classe.
J'ai halluciné.
Ce matin, j'ai lancé le truc.
- Nous avons bien eu les photos, elles sont très chouettes. juste une chose, je regrette que vous ne soyez pas dessus.
- ... oui... non... je déteste ça être prise en photo ! Photo de classe, mariage, anniversaire, je n'aime pas poser ! David (appelons le directeur ainsi) m'a grondé", finit-elle en souriant
- Et bien, il a très bien fait.
La photo de classe, quand même ! Avec ses élèves, quand même !
La photo de classe, c'est le souvenir des années passées, le souvenir d'une année en particulier, de ses amis, de l'environnement, des vêtements et des coiffures de "l'époque" et aussi, DE LA MAITRESSE.
Une photo de classe, c'est ce qui reste des années d'école.
J'ai même regardé sur le net pour savoir si ça ne faisait pas partie des "obligations" des enseignants. J'ai rien trouvé.
Josiane devrait penser aux enfants, à son métier, à la transmission plutôt qu'à sa tronche.
L'année se termine, bien heureuse de passer à l'instit suivant.
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J'aime la Bretagne.
Je l'ai toujours dit.
Toujours.
Je l'ai dit ici, ou encore ici en parlant de Xavier Grall ou encore au fil des 1 691 billets de ce blog.
Mais là je commence sérieusement à en avoir ras la crêpe, ras la bolée, ras le kig a farz !
Putain, c'est quoi ce temps de bordel de merde de chié la bite en ski !?
Je veux du so-leil !
Si il fait moche pendant mes vacances, je tue le chien du voisin.
(Quoi il n'y est pour rien ?? Tant pis.) (Et puis les chiens mouillés, ça pue.)
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