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J'ai reçu dans ma boite perso un mail incroyablement hallucinogène.
Première réaction : "c'est une blague ou quoi ?".
Le hic, c'est que je me pose encore la question...
Je vous copie le mail (et ses fautes) avec le visuel joint...
Comment s'est possible ??
"Cette semaine dans le BRESTOIS :
- Le gros plan : Jacques Omnés "Le comptoir Irlandais"
- La cronique de JEAN COURAGE : "Un autre regard sur le Tramways"
- Le billet d'humeur de Michel BARON
- La mémoire des poilus au musée de SAINT RENAN
- Et toujours : la pêche aux infos, l'humouroscope, les blagues en stock...ect."
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Chtiki boum chiboum Chtiki boum chiboum
Tcha tcha tcha...
Viens danser hé, sous le soleil des tropiiiiques
L'amour se raconte en musiiique, iiiquue
On n'a rien à faire qu'à s'aimer héhé
En attendant viens danser
Tirelipimpon sur le Chihuahua
Tirelipimpon avec la tête avec les bras
Tirelipimpon un coup en l'air un coup en bas
Touche mes castagnettes moi je touche à tes ananas !
Oh oh oh jolie poupée
Sur mon doigt coupé
Oh oh oh jolie poupée
Bobo pas pleurer…
Bienvenue à Galaswinda
Darla dirladada
Y'a du soleil et des nanas
Darla dirladada
On va s'en fourrer jusque-là
Darla dirladada
Pousse la banane et mouds l'kawa
Darla dirladada
Tralala stoin stoin tralalilalère !
Youpala youpalo
Chiwawa chiwawo !
Choubam pouët pouët !
Oui.. Oui..., ca y est, j'ai reçu ma lettre... Bye-bye ma clause... Et juste 1 mois de préavis !
Elle est pas belle la vie ?
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D'habitude, je n'ai aucun mal à écrire mes billets. La fenêtre de Typepad s'ouvre et zou, mes doigts défilent plus vite que mes idées ; la feuille se remplit facilement.
Et puis là, pour vous parler d'Emery, je bloque.
J'ai du mal.
Pourtant, j'en ai des choses à vous dire sur ce type. C'est peut-être pour ça d'ailleurs. C'est qu'il y a tellement à dire que je ne sais pas trop par où commencer. On ne peut pas parler d'Emery de façon linéaire, rationnelle. Le sujet est trop riche pour cela.
Car, Emery, c'est tout à la fois.
Emery, c'est celui qui plait à tout le monde et à personne.
Il plait aux hommes avec ses jolies du jeudi et ses sujets politiques.
Il plait aux femmes grâce à sa masculinité féminine (!?), ses blogs de filles mis à nus (comme si y figurer était une fin en soi...) et à son coté séducteur, limite dandy (même avec sa gueule de "j'me réveille sur mes chiottes").
Il plait à ceux de gauche (les dégoûtés), il plait à ceux de droite (les confiants). Il plait aux influents (bonjour la secte...), il plait "au reste" (les jaloux de la secte)...
Et Emery plaît pour les mêmes raisons qu'il déplaît.
Emery est un blogueur dit influent mais accessible (le fameux secret). Un blogueur fantasmatique, énigmatique, éclectique, attachant, efficace, parfois délicieusement cynique, ouvert, incroyablement perspicace, toujours créatif et doté d'une belle sensibilité, pudique et jamais reniée.
Vous l'aurez compris, Emery est un homme comme je les aime.
A l'instar du "Je t'aime" déclaré dans la vraie vie, j'invente ici une expression pour lui souffler ma tendre affection et mon intime respect : "Emery, je te blogue".
les cavalcades dans l'escalier des enfants.
La première gorgée de coca qui pétille dans la bouche.
Les volutes de cigares.
Un vin de Bourgogne.
Un sourire contenu.
Les rares silences d'une table familiale où je regarde les convives.
Les pensées de la dernière page d'un livre lu.
L'odeur du pain grillé.
L'allure d'une femme.
Une petite main dans la mienne.
Son parfum.
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Heure de se coucher. Pipi, lavage de dents. On prend Doudou et hop, au dodo. Amoureux couche Petite fée. Moi, Princesse.
Choix de l'histoire. Ce soir, c'est "Mais à qui donc peut bien être ce vélo ?" de Jun Takabatake.
A chaque double page, on découvre un vélo rigolo adapté à la morphologie de tel ou tel animal. On rencontre un très très long pour le crocodile, un mini avec une ampoule pour la taupe, un énorme à grosses roues pour l'éléphanteau et patali et patalo.
Et puis, je tourne la page et tombe sur le vélo du caméléon.
- Ah, regarde maman : c'est une maman caméléon.
- Ah... tu crois ? Pourquoi tu dis ça ?
- Ben regarde... ces yeux.
- ???.....????..... Ah... ils sont comme ça les yeux des mamans ? (Vous remarquerez que je n'ai pas osé personnaliser la question...)
- Ben oui, bien sûr !
Oeil gonflé et globuleux.
"Mais non ma chérie... Elle a dit ça pour les cils !" m'a dit Amoureux.
Les cils ?! Mouais...
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Hein quoi ? Des cartes cadeau ? Mais késako ?
Je vous explique : en voilà une idée qu'elle est super bonne !
Vous connaissez tous le chèque cadeau. Séphora, Célio, Fnac.., toutes les grandes enseignes en proposent. Le chèque cadeau, c'est sympa mais 3 inconvénients majeurs :
1/ Quand vous offrez un chèque cadeau, par exemple de chez Séphora, la personne à qui vous l'offrez ne peut le "dépenser" QUE chez Séphora. Logique, mais en même temps c'est parfois chiant. Il faut être certain des goûts de l'autre... Casse-gueule.
2/ Pour dépenser mon chèque cadeau, par exemple d'un montant de 100 euros, je dois IMPERATIVEMENT "trouver" quelque chose (ou plusieurs choses) pour qu'à la caisse cela fasse minimum 100 euros. Et dans une boutique donnée, on ne trouve pas toujours. Bête.
3/ Le chèque cadeau ne marche QUE pour les grandes enseignes. Le petit magasin de déco près de chez vous, le petit commerçant du coin ne proposent pas ce genre de service. Bête.
Et bien, y'a un petit malin de chez Carte Bleue Visa qui a trouvé une idée géniale : exit le chèque cadeau, bonjour la carte cadeau !
Hyper pratique, la carte cadeau fonctionne comme une carte bleue.
Elle est à votre nom, vous avez un code confidentiel (sécurisé) et vous pouvez acheter ce qui vous plait avec, en pouvant "morceller" vos achats et ce dans n'importe quelle boutique, comme si c'était une carte bancaire classique.
Exemple : on m'offre une carte cadeau d'un montant de 100 euros, je peux m'acheter un CD à la Fnac, un vase chez Ikéa, une écharpe chez Promod.
Hyper pratique d'utilisation et hyper pratique aussi à offrir !
L'offreur peut choisir le montant qu'il veut et truc sympa, il peut même personnaliser la carte grâce aux nombreux visuels disponibles. La carte cadeau est alors insérée dans une jolie boite avant d'être envoyée au destinataire.
Bref, tous les ans, on galère pas mal à trouver des idées cadeaux pour Noël, là au moins, c'est réglé !
Et pour vous remercier de votre fidélité (et comme j'en ai reçue une aussi !), je participe au lancement de l'opération organisée par Carte Bleue Visa et vous permet de gagner ces nouvelles cartes cadeau !
Jusqu'au 7 décembre, avec Ladyblogue,
gagnez 2 cartes cadeaux
de 50 euros chacune !
Pour jouer, y'a pas plus simple : laissez un commentaire sur ce billet (nom ou pseudo + adresse mail valide) et vous serez peut-être tiré au sort pour gagner 2 cartes cadeaux d'un montant de 50 euros chacune : une pour vous et une pour la personne de votre choix !
Le tirage au sort se fera sous contrôle d'un huissier (semaine 50) donc pas la peine d'essayer de me soudoyer enfin, si vous voulez vraiment, allez-y, on ne sait jamais...
Bonne bonne bonne chance !
(J'suis quand même super sympa comme nana, hein ?)
Une seule participation (même nom ou pseudonyme, même adresse e-mail) sera acceptée, et ce sur l’ensemble des blogs participants à l’opération. Le jeu est réservé aux personnes majeures.
Les autres blogs participants au concours sont ici.
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Depuis cette semaine, les archives photographiques du légendaire magazine américain Life sont mis à la disposition du public. Environ 10 millions d'images datant de 1750 à nos jours seront visibles sur un site dédié du géant de l'internet : Google.
Pour l'instant, seuls 20% de la collection de Life a été numérisé. Google devrait progressivement mettre en ligne le reste au cours des mois à venir.
La collection photographique inclut des œuvres de grands noms du
sixième art, comme Alfred Eisenstaedt, Margaret Bourke-White, Gordon
Parks ou encore William Eugene Smith. Même le film amateur de l'assassinat de
John Fitzgerald Kennedy par Abraham Zapruder, y figure...
Selon Time, propriétaire du titre, 97% des photos n'ont jamais été présentées au public jusqu'à présent.
Regardez, c'est très très bien et c'est juste ici.
Les photographies sont disponibles gratuitement pour un usage personnel ou de recherche. Mais Time en conserve le copyright et la propriété.
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Mais que veulent-ils me faire comprendre ?
Et à ceux qui disent que les bons de réductions sont en fonction des achats passés en caisse, sachez que j'achète bien sûr de l'alcool, mais AUSSI du gel douche, des gâteaux, des couches, du Jex Vitres, des yaourts, des livres, du pain de mie, du chocolat, des pâtes... et touti couenti !
Alors, c'est quoi le message hein ?
Ils veulent "ivrogniser" leur clientèle ou quoi ?
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On parle beaucoup du don du sang, un peu du don de moelle osseuse, un peu aussi du don d'organe mais pratiquement jamais du don de sperme. Pourtant pour certains couples touchés par l'infertilité masculine, cela reste le seul espoir d'avoir un enfant.
Gratuit, anonyme et volontaire, le don de sperme est strictement
encadré par la loi de bioéthique de 2004. Le donneur doit non seulement
être en bonne santé et avoir moins de 45 ans pour être «retenu» mais
également avoir l'accord de sa compagne et être déjà père. Cette
dernière condition garantit que le donneur a pleinement conscience de
son geste.
Conscient de ce que cela représente car forcément cela peut faire peur. Car contrairement au don de sang, le don de sperme reste encore
tabou. Un tabou lié à la masturbation, aux réticences biologiques, au
sentiment inconscient de paternité… Donner son sperme, c'est donner de soi, de sa génétique.
Bien sûr, c'est facile à dire pour moi... Etant une nénette, je n'ai pas de sperme à donner. Et oui, je l'avoue, je ne sais pas si j'aurais les couilles (ben quoi ? c'est le sujet, non ?) pour donner mon sperme si j'étais un mec.
On peut être contre : même si c'est anonyme, la trouille de se retrouver dans quelques années avec 10 gosses (1 donneur = 10 naissances environ) qui frappent à votre porte en disant, "papa, je suis ton fils/ta fille". Et quand on pense au(x) futur(s) enfant(s), on peut supposer - comme pour l'adoption - qu'ils voudront savoir qui est leur père biologique.
On peut être pour : acte d'amour, don de soi...
Quelque soit l'avis de chacun, le sujet est ici soulevé et c'est ce que je voulais.
La gestion des dons de sperme est régie en France par la confédération des CÉCOS (drôle de nom pour un centre de don de sperme, non ???????) : Centre d'Etude et de Conservation des Œufs et du Sperme humains. Vous trouverez ici la liste des CECOS. Pour info, le CÉCOS rembourse les frais de déplacement.
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Aujourd'hui, réponse au tag de Madame Gentille.
But du jeu : dire 7 choses sur moi et transmettre ce tag à 7 autres.
7 choses sur moi...
Tous les jours, je vous en dis plein des choses sur moi... Alors 7 choses que vous ne savez pas encore, sachant que j'avais déjà répondu à un tag similaire (il y a presque 2 ans !) : pas facile. Pas facile car forcément, à ce stade, on passe dans l'intime... Mais comme je suis une vraie fille, limite un vrai mec, une vraie couillue comme on dit !, j'y go, je fonce, je réponds.
1. Je porte toujours de la lingerie assortie. Impossible pour moi d'avoir le bas noir et le haut blanc ou le bas en coton et le haut en dentelle. Non, la lingerie, c'est Sacré. La lingerie, c'est un ensemble. Toujours. Je suis limite psychopathe sur ce sujet.
2. Impossible de manger du Nutella sans une couche de beurre salé sur ma tartine. Et que celles et ceux qui crient au blasphème essaient et ils verront, ils viendront me supplier de m'embrasser mes pieds.
3. Quand je pars faire des courses, je fais toujours une liste super précise. Mais dans 70% des cas, je la perd dans les rayons au milieu des fromages ou des légumes... Je me suis toujours demandée ce que s'imaginait de moi la personne qui tombe dessus.
4. Quitte à passer pour la débilosse de servoce de la blogosphèrosse, je l'avoue, je dors un chien au doux nom de Sigmund.
5. Parfois, j'ai envie de quitter le monde de la pub pour le monde de la déco. Devenir une Valérie Daminot (sans les kilos), ça me botterait bien.
6. Le 18 décembre prochain, ça fera 1 an que je n'ai pas parlé à ma mère et presque 3 que je ne l'ai pas vue. C'est long et court à la fois.
7. J'aime beaucoup les cactus. Pas les minus, ronds comme des crottes, plantés dans des pots de souris. Non, les vrais, les grands. Ceux des westerns. J'aime leurs couleurs, leurs formes, leurs épines, leur indépendance.
Je transmets ce tag aux 7 premières personnes de ma blog-roll !
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Bon, maintenant que j'ai démissionné (youpi tralala stoin stoin castagnette potatoes hawaiennes !), j'attends ma lettre.
Enfin, "j'attends"... disons plutôt "j'espère recevoir" ma lettre.
Mais quelle lettre ????
Dans mon contrat de travail figurait une clause de non-concurrence. Pour qu'elle soit valable, je vous rappelle les 3 conditions que doit avoir ladite clause :
- elle doit être limitée dans le temps,
- elle doit être limitée géographiquement,
- elle doit comporter une contrepartie financière.
Mon contrat obéit à ces 3 critères.
Si jamais "ils" m'imposent cette clause, je ne pourrais pas travailler dans une société ayant pour objet "le conseil en communication, l'édition publicitaire et le multimédia" pendant une durée de 12 mois et ce sur les 4 départements bretons ainsi qu'en Loire-Atlantique.
Bref, je deviendrais bouchère à Livry-Gargan (93).
En contre-partie, "ils" devront me verser chaque mois une indemnité égale à 50% de mon salaire et ce pendant toute la période de la clause, donc un an, soit 6 mois de salaire.
"Ils" ont 15 jours, à partir de la date de ma démission pour lever la clause. Si je ne reçoit pas de lettre la levant, cela sous-entendra qu'ils la maintiennent.
Bon, d'un côté, je me dis que je ne suis ni Beigbeder ni Séguéla, ni Thomas Clément (pas de second degré on t'a dit, pas de second degré..)... Donc, il y a toutes les chances qu'ils ne me la laissent pas...
De l'autre, je sais qu'ils ont les j'tons que je me "casse avec" certains gros clients qui n'aimaient QUE MOI ET SEULEMENT MOÂ...
Bref... soit ils m'envoient ma lettre... soit je finirais bouchère à Livry-Gargan.
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Putain, ça la fout mal.
J'ai annoncé ma dèm jeudi, ils ont reçu ma lettre vendredi et aujourd'hui, je vais leur annoncer que je ne viendrais certainement pas à l'agence cette semaine...
Petite Fée a la varicelle !
Coïncidence boutonneuse douteuse penseront-ils peut-être. J'en sais rien.
C'est sûr que ça la fout un peu mal.
Mais bon, j'y peux quoi moi !?!
(Merci ma Chérie ! Tu sais que tu es une super petite fille ?
ÉDIT 9H35 : À l'instar d'un congé maladie (expliqué ici), je pense qu'un arrêt pour enfant malade ne décale pas la date de mon préavis. Si vous avez des info là-dessus, je veux bien. Merci !
ÉDIT 11H20 :
VERDICT DU MÉDECIN : Ben ce n'est pas du tout la varicelle mais un virus appelé "Pieds-Mains-Bouche". Ah bah ça, on ne me l'avait jamais fait encore !
Je serais donc à l'agence car pas d'éviction de la crèche !
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Alors que certains sont interviewés par des journalistes de CB News pour parler du côté obscur de la blogosphère, d'autres - comme moi - sont interrogés par des étudiants en école de commerce pour parler des influences et des effets pervers de la blogosphère...
(Si j'avais la pensée pétasse et fouille-merde, je pourrais même dire que peut-être que certains, en fin de compte, ont transformé les étudiants en journalistes... Mais bon, loin de moi cette mauvaise pensée... On sait bien que je suis une fille hyper lisse et que le second degré n'a pas lieu au sein des blogs...)
(Mais qu'est-ce qu'elle raconte encore ?)
(Bref.)
J'ai donc été contacté par une étudiante (au prénom délicieux) qui, dans le cadre de son mémoire de fin d’étude, réalise une recherche concernant les communautés virtuelles.
Ses questions. Mes réponses.
Quand et à quelles
raisons avez-vous crée Ladyblogue ?
En surfant sur le net, je suis tombée sur le blog de Gregory
Pouy, blog spécialisé dans le marketing. Travaillant dans la pub, son blog m'a
tout de suite intéressé. Et puis, au-delà des sujets traités, j'ai découvert un
nouveau monde, un nouvel univers : la blogosphère.
J'avais à l'époque un peu plus de temps, ça m'a donné envie
et je me suis dit « pourquoi pas moi ? ».
Quand j'ai créé Ladyblogue, je pensais que ca n'allait pas
durer longtemps, que c'était juste une « passade »... et puis, on se
prend vite au « jeu ». On y prend vite goût et Ladyblogue existe
depuis maintenant 2 ans.
Quelles sont les
objectifs et raisons à la création d’un blog ?
J'imagine que les raisons sont différentes selon les
bloggeurs. Néanmoins, quand cette question est soulevée, on entend souvent les mêmes motivations.
Partager ses émotions (sorte de journal intime virtuel), ses passions (photos,
peinture, lectures, sports...), ses idées (politiques, sociétales...).
Blogger est aussi une façon de se mettre en scène, de
s'exprimer librement.
Est-ce que tout le
monde peut s’exprimer à travers les blogs ?
J'aurais tendance à dire oui. Toute personne qui a quelque
chose à dire ou à partager peut créer son blog. Le blog est ouvert à tout le monde.
Aucune barrière sociologique, intellectuelle. Il existe de nombreuses
plateformes gratuites. De plus, pas besoin de compétences informatiques
particulières, les plateformes permettant de créer son blog sont très simples
d'utilisation.
Toute personne ayant une connexion Internet peut avoir un
blog.
Vous dîtes que dans la
blogosphère, « on a plein d’amis », pouvez-vous expliquer ce
phénomène ? Y-a-t-il un sentiment d’appartenance à une communauté de
bloggeurs ?
Cette phrase « on a plein d'amis » est sortie de
son contexte. Elle est extraite d'un billet où je dénonçais justement le côté
superficiel de la blogosphère. Je parlais entre autres des blog-rolls. Dans la
blogosphère, il est bien vu « de dire du bien de » et moins de
« critiquer » les autres bloggeurs. Enfin, pas forcément « mal
vu » mais les bloggeurs ont peur que ça leur retombe sur le coin du nez.
Que leur audience baisse...
En fait, les blogs, c'est comme partout, à vouloir être trop
lisse, on perd de soi.
Concernant la question « d'appartenance », oui, je
pense qu'il existe des sortes de groupes. Y'a les « petits
bloggeurs » et il y a les bloggeurs dits « influents ».
Pensez-vous que les
bloggeurs aient une réelle influence ? Si oui, sur qui ? Avez-vous
des exemples ?
Je pense que tout les bloggeurs, et pas seulement les
bloggeurs dits « influents » (d'ailleurs cet adjectif est de plus en
plus malmené et malaimé au sein de la blogosphère... sauf pour les égos
démesurés...), sont des bloggeurs influents.
Un bloggeur qui met en ligne ses photos
peut influer une personne sur une technique de photographie, un cadrage, une
vision.
Un bloggeur qui écrit un billet politique peut apporter questionnement,
éclairage.
Un bloggeur qui parle d'un nouveau produit de consommation peut
influencer une personne à l'acheter ou non.
Il y a quelques mois, la société Braun m'a envoyé un
épilateur électrique (Silk épil Xelle 5285). Evidemment, les marques espèrent
en retour avoir un billet positif. Sur ce coup là, cela avait été le cas
(parfois, les produits sont décevants, et mes billets ne font pas de
fleurs....). Depuis, pas mal de personnes ont attéri sur mon blog en mettant
dans google « Silk Epil ». La lecture du billet les ont-ils décidé de
l'acheter... ? Ca j n'en sais rien. Mais ils ont vus une vraie personne
parler vraiment du produit.
Vous avez écrit
dernièrement dans un de vos articles « Dans la blogosphère, y’a les
bloggeurs sympas et puis y’a les autres. Y’a ceux avec qui on accroche et puis
y’a ceux avec qui on n’accroche pas. ». Quelles sont les relations entre
les bloggeurs ?
Me concernant, très bonne ! L'affaire Thomas Clément, si on
peut appeler ça une « affaire », a été le seul bémol. Et encore, quand on
revient sur les commentaires laissés sur mon billet et les commentaires laissés
sur le billet de Thomas, on voit que ce n'est pas moi (loin de là) qui a le
plus pris dans la tête !
Ensuite, les relations entre bloggeurs sont les mêmes que
dans la vraie vie. Y'en a qu'on aime et y'en a qu'on n'aime pas... Rien
d'arnormal en fait...
Ca, je n'en sais rien. Je m'y suis toujours refusée de mon
côté. Accepter de tester un produit pour ensuite écrire un billet avec pour
condition sine qua none d'avoir la liberté des mots, ça oui. Avoir de la pub
sur mon blog, non, je ne le souhaite pas. Même si l'argent peut séduire. Mais
je ne fais pas un blog pour cela. J'aurais peur de perdre de mon intégrité.
Certains bloggeurs
deviennent très célèbres, c’est le cas de Thomas Clément. On commence avec un
simple blog et on devient une référence. Est-ce qu’un bloggeur de ce niveau se
doit aussi d’être transparent vis-à-vis de son lectorat ?
Ca c'est une question à poser à Thomas ! Malgré tout, je
pense que célèbres ou non, influent sou non, on se doit d'être transparent.
Toujours pour être en accord avec soi. Toujours l'intégrité. Mais ceci est
valable partout...
Pensez-vous que dans
des blogs concernant des marques, les commentaires peuvent influencer les
achats de manière significative ?
Je ne vois pas trop le « blogs concernant des
marques »... Un blog lancé par une marque... pas plus que de la pub.
Un blog d'un « particulier » parlant de marques,
de produits, là, je dis oui. Encore une fois, les lecteurs lisent des
« vrais » gens. La confiance est beaucoup plus forte.
Quels sont les effets
pervers et les limites de la blogosphère ?
De tomber dans le « lisse » pour parfaire son
image et/ou son audience. Les blogs, c'est comme la vie, le plus dur, c'est de
rester soi-même...
Quelles évolutions
sont à venir dans votre domaine? Avez-vous des recommandations
stratégiques ?
Aucune stratégie dans mon blog. Juste de la transparence et
de l'intégrité.
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Ce sont les Heckel et Jeckel des blogs, le Yin et le Yang du clavier, la Rosie Varte et la Marthe Villa Longa de la blogosphère, la Rachel Green et la Monica Geller du monde virtuel, la Carrie Bradshaw et la Miranda Hobbes des billets (ok, j'arrête !)... j'ai nommé Dom et Manou, Manou et Dom, Madom et Nou, les deux amies inséraparables des ménagères de - 50 ans.
Ecrit à 4 mains, ce blog présente tour à tour un billet de l'une et de l'autre.
D'un côté, Dom la nantaise, la quarantaine, mariée (et fière de l'être comme elle dit) et maman.
De l'autre, Manou la parigote trentenaire, célibataire (pas si endurcie que ça...) aux yeux de folie.
Deux femmes dites différentes, deux modes de vies, deux vies tout court, deux visions, deux sensibilités. Et pourtant.
Pourtant, même si je devine souvent qui écrit quoi avant même de lire la signature en bas du billet, pourtant je sens que ces deux femmes sont intimement mêlées. Je sens à travers leurs mots, leur humour, leurs expériences, leurs émotions, je sens qu'elles ne sont qu'une. Une voix.
Deux femmes différentes et tellement semblables à la fois que leurs billets deviennent tantôt émouvants tantôt hilarants. Et toujours à propos. Bravo.
Les petits riens des... Ménagères
Mes petits riens m'ancrent dans le temps.
Le temps présent, le moment à saisir et à figer comme une photographie, un
cliché du bonheur.
Le petit rien, c’est le visage concentré du Wanou penché sur un
nouveau projet de construction et celui de sa grande sœur qui supervise
l’avancée des travaux.
Mes petits riens, sont des fragments, des poussières de présent que j’assemble
le soir avant de m’endormir pour emporter dans mon sommeil des rêves joyeux et
colorés.
Des instants précieux, fugaces, à ne surtout pas oublier.
Le chat sur mon ventre qui ronronne et se laisse caresser, un
petit rien de confiance.
Un rayon de soleil au travers des grands chênes, un petit rien de nature.
Un chocolat qui fond en bouche, un petit rien de plaisir.
L’orchidée qui m’offre une nouvelle fleur, un petit rien de beauté.
La main distraite de l’homme dans mes cheveux, un petit rien d’amour.
Les enfants qui se chamaillent à l’arrière de la voiture, un petit rien de vie.
Ces petits riens, je ne peux les voir, les apprécier que si je suis vraiment
là, les deux pieds campés dans l’instant. Nostalgie et attente n’autorisent pas
les petits riens.
Mes petits riens sont mon état d’esprit, m’obligent à ralentir, puis à
m’arrêter pour figer éternellement la beauté de quelques secondes.
Tous ces petits riens, je les note, les emmagasine, comme autant de provisions
pour les matins chagrins, je les sélectionne, celui là pour la beauté, celui-ci
pour l’amour et les mets soigneusement de côté, bien à l’abri de ma mémoire.
Petits riens, rien du tout, qui bout à bout forment une chaîne, celle de ma vie
et d’une certaine idée du bonheur.
Par définition ce sont des …
Trois fois rien. Des petits riens anodins dont on souffrirait
l’absence.
Comme :
-
Les ronronnements de mon minou chat qui m’agacent à 7 heures du
matin quand je veux encore dormir mais qui me manquent tellement quand elle
n’est pas auprès de moi.
-
L’odeur du café frais.
-
Ma dose d’information matinale qui me fait souvent sourire,
voire qui m’inspire pour le blog.
-
L’observation des autres à la terrasse d’un café.
-
Cuisiner un petit plat pour ses amis et être couronnée de
succès.
-
L’écoute d’un artiste dont la voix ou les textes m’émeuvent
particulièrement.
La liste des petits riens est longue et non exhaustive, car ces derniers se trouvent finalement en toute chose et en tout endroit.
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Et ben voilà, me revoilà.
Bon ben forcément hein, c'était bien.
Et forcément, c'est passé très vite.
Que c'est bon de prendre du temps pour soi, de prendre son petit déj' sans avoir à se relever 20 fois, s'embrasser, rentrer tard en s'en foutant complètement car on sait que le lendemain on dort, marcher main dans la main en toute liberté, sans des grumeaux qui essaient de nous séparer, se serrer, prendre un petit déjeuner à 11h00, un déjeuner à 15h00 et un apéro à 17h00, passer une journée sans entendre pleurer, chouiner, hurler ou crier, faire l'amour, ne plus regarder l'heure, ne plus savoir où est son portable, se dire qu'il fait beau rien que pour nous...
Putain, le pied.
Extraits.
Quelques-unes de mes adresses à Rennes (dans l'ordre des photos) :
> In-ty Design shop - 4, rue Penhoët.
Regardez par ici et vous verrez un peu tout ce que cette boutique propose... J'aime. J'aime. J'aime.
> Nabuchodonosor - 12, rue Hoche.
Le plus ancien bar à vins de Rennes (1889). Cette adresse est un véritable trésor. Le lieu, l'ambiance, l'atomsphère, les "planches"... à surtout ne pas manquer. Une si belle adresse que je lui réserve un billet à elle toute seule très vite...
> Outre-mesure - 10, rue de Toulouse.
Mesdames, voici LE temple rennais de la chaussure ! Plus de 700 références pour tous les goûts et pour toutes les bourses (de 50 euros à + de 600 euros...). Si vous ne trouvez pas vous bonheur, c'est vraiment que vous ne méritez pas cette adresse ! En tous les cas, moi, j'ai trouvé une paire de shoes ma-gni-fi-que !
> Kaki Crazy Station - 27, rue Champ-Jacquet.
Une variété de jeans impressantes là-dedans ! Bon... on n'a rien acheté, mais jai bien aimé le look des cabines...
> L'Aromatik - 35, rue de la Chalotais.
J'avais lu ici des bonnes critiques sur ce resto et ben franchement c'est pas génial. Bon, on ne peut pas dire que cela soit nul, mais sûre qu'on peut trouver 1000 fois mieux ailleurs. La preuve juste en dessous !
> Le comptoir des Halles - 17, rue Jules Simon
(Ancienne poissonnerie "La mouette" pour ceux à qui cela parle).
Resto très sympa. Des plats des originaux, un service sympa, de bons vins, cadre agréable. Bref, tout pour passer une excellente soirée. Je recommande ! C'est par ici !
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Sauf exception, j'ai pris pour habitude d'écrire tous les jours.
Chaque jour, je mets un billet en ligne. Et le rare dois où je dois m'absenter, m'éloigner de ma machine, je m'arrange pour "programmer" des billets.
Toujours alimenter.
Et là, non. Ca ne sera pas le cas.
Je coupe.
Je pars quelques jours avec Amoureux.
Première fois depuis que nous sommes parents. C'est pour dire...
Alors, on a besoin. Vraiment.
J'ai besoin
Besoin d'air. Du mien. Du sien.
Besoin d'une bulle d'amour. De respirations complices.
Besoin de couper tout le reste, de se moquer de ce(ux) qui nous entoure.
Ne voir que (le) Nous. Se sentir flotter au-dessus des autres.
Sentir le Nous... et rien d'autres.
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Il y a quelques mois, je vous avais fait un super billet qui déchirait sa race sur les expressions dites de "djeunes", celles qu'on entend dans les cités (ou pas).
Aujourd'hui, je vais vous lister des expressions d'un autre ordre : celles de la Police.
Qui a dit qu'il y avait un lien ?
Allez, enjoy !
• Accordéon : Casier judiciaire.
• Adidas : Désigne un Capitaine dont les galons supportent trois bandes.
• Affaire tête de lard : Enquête difficile.
• Affaler (s') : Avouer.
• Aller à la poule : Déposer plainte.
• Aller à Niort : Nier.
• Alouette : Contractuelle.
• Alpiniste : Voleur spécialisé dans l'escalade des balcons.
• Aquarium : Cellules de garde à vue (elles sont toujours vitrée)s.
• Artiste : Fabricant de faux billets (monnaie).
• Assiettes (les) : Assises. « Je suis convoqué aux assiettes pour témoigner."
• Attila de la grande fauche : Voleur sans frontières.
• Babillard : Avocat
• Babylone : Policier blanc pour délinquant arabe ou africain.
• Baguer : Arrêter, passer les menottes.
• Bal (faire le) : nier.
• Basset : Spécialiste du vol dans les caves.
• Batteuse : Machine à écrire, clavier d'ordinateur.
• Batteuse d'asphalte : Prostituée.
• Beurrer le marmot : Convaincre un suspect de passer aux aveux, de manière peu orthodoxe.
• Bigorneau : Téléphone, table d'écoute téléphonique.
• Bignole : Concierge. « Faut que j'aille faire le tour des bignoles du quartier."
• Bitumer : Patrouiller à pied
• Blackerie : Conflit entre blacks, entre noirs africains.
• Blanchouillard : Individu dont le casier judiciaire est vierge, blanc.
• Boîte à Claques : Tabassage.
• Boîte à refroidis : Morgue.
• Bourgeois : Gardien de la paix en civil.
• Bracelets : Menottes.
• Carnet de vaccination : Carte de séjour.
• Carotter : Vendre de faux stupéfiants.
• Carreler : Faire des rondes de ramassage de SDF.
• Carte de pêche : Carte de Police.
• Charognard : Véhicule d'enlèvement des voitures pour être emmenées à la fourrière.
• Chier des billes : Avouer avec peine, petit à petit.
• Clandax : Clandestin (clandos, clandés).
• Coiffer : Arrêter un individu.
• Colmater : Neutraliser un bandit avant son arrestation.
• Commanche : Commandant.
• DCD : Delta Charlie Delta, pour désigner une personne décédée.
• Déshabillé : Gardien de la paix en tenue civile.
• Enquilleuse : Désigne une voleuse qui glisse le produit de son vol entre ses cuisses.
• Gazeuse : Bombe lacrymogène.
• Gomme à effacer le sourire : Matraque.
• Gourmettes : Menottes.
• Grandes Oreilles : Les Renseignements Généraux.
• Moulin à café : Hélicoptère de Police.
• Moulin à vent : Policier chargé de la circulation.
• Pavé (faire le) : Faire la circulation.
• Piano (passer au) : Se faire relever les empreintes digitales.
• Plante verte : Policier assurant les gardes statiques de bâtiments officiels.
• Sarkomètre : Lorsqu'il était ministre de l'intérieur, Nicolas Sarkozy a souhaité pouvoir établir un bilan chiffré de l'action policière. Ce bilan est ainsi baptisé SARKOMETRE.
• Schtroumpf : Surnom donné à un syndicat des Commissaires de police en raison de son sigle imprononçable, le SCHFPN.
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Un week-end fatiguant. Soirée entre amigos, couché tardos, bien picolé, bien mangearé !
La semaine débute donc tout tout doucement.
Pour se mettre dans le bain, voici une p'tite kestion passikon, histoire de se réveiller les méninges !
La kestion passikon # 22 :
Même si le travail n'a jamais tué personne, pourquoi courir le risque ?
Allez ! A vos claviers !
Et bonne semaine !
Retrouvez toutes les kestions passikons ici.
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La première édition du "Viral Film Festival", inspiré du Be Film Festival de New York, s’est déroulée à Paris, au cinéma Max Linder, le 21 octobre dernier.
Cinéphiles et vidéophages se sont retrouver pour assister à la projection des meilleures vidéos virales du moment.
Une cérémonie de remise de prix a récompensé les meilleurs films. Voici les grands gagnants de la soirée !
Wom d'or de la vidéo virale la plus drôle + Grand prix du jury : "Gali l'alligator - 13e rue"
Gali l'Alligator - 13ème RUE
envoyé par amilhi
Wom d'or de la vidéo virale la plus efficace : "Première cause de mortalité dans le monde"
Première cause de mortalité dans le monde
envoyé par BDDPetFils
Wom d'or de la vidéo virale la plus originale : "Fight for kisses
Fight for Kisses
envoyé par fight-for-kisses
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