Ma déclaration d'amour à Quimper...
Retrouvez tous mes billets d'humeur Ouest-France ici.
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Aujourd'hui, un article sur Ladyblogue dans Ouest-France.
Un bel article.
Mais surtout - surtout - mon premier billet, ma première chronique dans Ouest-France.
1000 signes. Puis, le courant passant, on m'a offert 1700 signes.
Thème imposé pour la première.
Quimper.
Pas évident.
Putain de thème....
Le voilà.
Pour me suivre...
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Vous en saurez plus demain en lisant Ouest-France (région Quimper).
En attendant, jetez un oeil par ici...
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J'ai écrit un billet pour Paulette Magazine.
Paulette est un magazine féminin bath'
Le billet est ici.
Alors, zou, on clique, on lit et on commente !
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Il y a quelques années, j'ai créé un second blog, Alter ego. Je me disais que j'avais besoin d'un autre espace pour écrire des choses un peu différentes. Des choses cachées au fond de la pièce.
Je me rends compte aujourd'hui que j'avais tort. Ou plutôt, j'ai aujourd'hui une autre vision. Alter Ego ou Ladyblogue, tout cela ne fait aucune différence. Il n'y a pas un espace plus ou moins que l'autre. Les deux doivent se mélanger et ne faire qu'un. Les deux me ressemblent, les deux sont moi.
Régulièrement, je posterai ici des textes que j'ai publiés là-bas.
Voici "Amertume".
Je te parle comme je te cogne. Mal et fort. Mais apparemment
tu t’en fous, vu que t’as fourré ma queue dans ta bouche et que t’as l’air d’y
prendre un certain plaisir. Tu es consciente de mon dégoût, mais tu sais bien
que je suis comme tous les hommes et que le sexe fait des merveilles.
Seulement même si on a tendance à croire que le sexe ça passe toujours, avec toi, ca passe juste encore. Mais au moins, quand tu me suces, tu ne me colles pas trop. Seules ta bouche et ta main droite sont en contact. La main gauche reste inactive. Ca ne m’étonne pas de toi, t’as toujours fait les choses à moitié. Pour la baise, c’est pareil. Juste donner le minimum syndical en voulant faire croire que ce n’est déjà pas si mal. Le sexe sans le cul. La queue sans les couilles. La bouche sans les dents. Une feignasse-née. Du coup, c’est comme manger un poulet sans la sauce, c’est sec et étouffant.
Je ferme les yeux – putain, un comble ! – et m’efforce de penser à autre chose qu’à ta bouche en rond de serviette attendant le repas. Bander relevant du miracle, éjaculer serait science-fiction. Une demi-heure déjà que tu t’acharnes en vain sur ma queue cafardeuse. Faut que ca s’arrête. Je me concentre alors sur l’idée de jouir entre tes lèvres sèches plutôt qu’entre tes cuisses. Pour qu’il te reste, à toi aussi, l’amertume de notre gâchis.
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La (très) belle Najett de France (@Najett2France) est passée par le Parlement Européen, Sodexho, Lexis Nexis, Deloitte avant de se jeter à l'eau en 2010 en créant son entreprise A&P Groupe.
A côté d'un emploi du temps bien chargé, Najett tient également un blog intitulé "Le journal d'une serial twitteuse". L'idée : interviewer des twittos sur leur façon d'appréhender twitter.
Najett a souhaité m'interviewer.
J'ai accepté avec plaisir.
C'est juste là...
Merci Najett...
@ladyblogue
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J'ai toujours aimé Jean-Louis Trintignant. Son jeu d'acteur, son élegance, ses mots choisis, son humilité presque excessive, sa voix tourmentée.
118 films selon Wikipédia. "Amour" est le 118e. Il n'avait pas joué de premier rôle depuis 15 ans, depuis sa collaboration avec Chéreau et il n'en jouera pas.
Je l'ai écouté hier matin au micro de Bruce Toussaint sur Europe 1 et l'entendre m'a fait du bien. Jean-Louis Trintignant fait partie de ces rares acteurs qui soulèvent l'évidence dès la première seconde.
"Amour."
J'irai voir ce film
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Direction Plomodiern, aux portes de la Presqu'île de Crozon, en plein coeur du Finistère.
7, rue de la Plage dans le Tom-Tom.
Je vais à l'Auberge des Glazicks, restaurant gastronomique, dirigé par Olivier Bellin, chef doublement étoilé.
Je me gare sur le parking juste en face du restaurant.
Première impression : j'avoue avoir été un peu déçue. La façade du restaurant est basique, une "maison" sans vraiment de cachet. Je m'attendais à un extérieur plus joli. Une note nous indique que désomais l'entrée se fait par le jardin. Plus agréable.
Je rentre dans le restaurant et là, coup de baguette magique, abracadabra, je sais que je vais vivre un bon moment.
L'accueil est impeccable, le personnel est délicat, présent, tout dans la mesure. Ni trop, ni pas assez. Le juste milieu, si difficile à trouver pour certains établissements, est ici d'une parfaite précision.
La salle de restaurant allie tradition bretonne et contemporain. Je comprends ce choix, je le trouve légitime, il est même parfaitement cohérent avec l'esprit du chef Bellin mais ce ne sont pas mes goûts, les tableaux exposés ne me plaisent pas.
J'apprécie en revanche les longs panneaux dentelés blancs ainsi que les sublimes créations en céramique de Nathalie Derouet qui offrent à la salle de restaurant une ambiance bretonne contemporaine comme j'aime.
Le repas.
Une expérience hors du commun. Vraiment.
Olivier Bellin a une réelle identité basée sur une cuisine en lien total avec son environnement. Chaque plat nous rappelle sa passion pour la Bretagne, pour ses racines, pour son histoire. Les produits choisis, les plats du "pays" réadaptés et sa façon intelligente de sublimer le terroir breton m'ont réellement touchée.
A l'apéritif...
- Croquette de coques au blé
noir (pas sur la photo)
- Beignet de homards
- Verrine de panna cotta blé
noir, mousse de betteraves
- Cornette jambon de pays,
haricots verts, échalotes, chantilly de wasabi
- Œuf mimosa revisité
meringué
- Macaron curry, mousse foie
gras et pamplemousse
Inutile de vous préciser que tout était délicieux mais je dois dire que la cornette m'a particulièrement épatée. Des ingrédients simples cuisinés d'une façon absolument sublime. Je déteste le wasabi mais là, il était délicieux. Pas du tout fort comme je le craignais, mais très subtil.
Entrée n°1...
- Velouté de cœur de
palmier, encre de seiche et émulsion cœur de palmier
Une entrée é-pa-tante. Le gwenn ha du dans toute sa splendeur. Trois couches, trois températures (frais sur le dessus à chaud au fond du verre), trois textures (de l'émulsion très fluide à la crème onctueuse). Je n'avais jamais mangé de coeur de palmier chaud et j'ai été très surprise par le côté olfactif de cette entrée. Aucune odeur de coeur de palmier, j'ai trouvé que ca sentait (très très bon) les champignons.
Une entrée parfaite. Des saveurs que je ne connaissais pas. C'est un de mes coups de coeur de ce repas.
Pain beurre... le duo breton...
Une multitude de pains différents (gros coup de coeur pour le pain encre de seiche/crevettes grises) et deux beurres (on est en Bretagne oui ou non !) : un "nature" au beurre salé et un au blé noir (une tuerie).
Entrée n°2...
- Coquilles Saint-Jacques
tranche avec tome fumée aux algues, langue de cochon séchée, vinaigrette au
café, accompagnées de girolles et d’amandes
Attention alerte rouge - ou plutôt alerte Noir et Blanc (#gwennhadu) - ce plat est une véritable tuerie. J'ai été littéralement époustouflée par le mélange des saveurs terre-merre, la Saint-Jacques et la tome, la Saint-Jacques et la langue de cochon, le jus absolument divin... J'ai été sans voix. La cuisson très claire des Saint-Jacques est impeccable. Très sincèrement, je ne sais pas si j'ai déjà mangé quelque chose d'aussi bon. Deuxième coup de coeur de ce repas (avec l'entrée précédente).
Plat n°1...
- Kig Homardz (Homard / Cochon / Blé Noir)
Olivier Bellin retravaille très souvent des plats traditionnels bretons, en voici la preuve avec le "Kig Homardz", vrai kig ha farz revisité. Les notes de zestes de citron, la présence d'ananas sur la saucisse et la cuisson du homard continuent à m'impressionner.
Plat n°2
- Bar, condiment betterave rouge moutarde, mousseline céléri
La cuisson du poisson est sublime, bien nacrée, la sauce est délicieuse... mais je dois avouer que ce plat était peut-être le "plat en trop" dans le menu. Je l'ai adoré (qui n'aimerait pas ?) mais j'ai été moins surprise par les saveurs. Il n'y a pas eu d'étonnement.
Dessert...
- « Faux gâteau » de semoule mousse chocolat blanc, sorbet orange sanguine et fenouil, meringue et espuma à la violette
Un dessert étonnant. Je ne suis pas fan de l'anis, mais le gâteau au chocolat blanc avec son voile au caramel blanc était dément. L'alliance des couleurs, les différentes textures entre le moelleux du gâteau, le froid du sorbet, le croquant de la framboise et le fondant du voile de caramel font de ce dessert un magnifique plat.
Au café...
- Financier noisette
- Calisson aux cranberries
- Caramel au beurre salé
- Barre chocolat
- Pâte de fruits
Tout était divin, mais je porte une mention spéciale au caramel au beurre salé. J'en ai gouté des tonnes, celui-là m'a chaviré. Celui-là est LE caramel au beurre salé et renvoie pour le coup tous les autres caramels au beurre salé, quels qu'ils soient, à un niveau médiocre.
Parlons prix...
Dès que l'on voit "restaurant étoilé", on se dit souvent que cela va être hors de prix. On se dit souvent aussi, en sortant d'un restaurant "lambda" que "c'était cher pour ce que c'était". A l'Auberge des Glazicks, les prix sont justes. Vraiment. Chaque menu a un prix cohérent. On se dit vraiment que oui, "ça les vaut". Aucun regret à la présentation de la note.
En conclusion...
En conclusion, l'Auberge des Glazicks est à mon avis un incontournable dans la région. Que vous soyez, comme moi, bretons, ou que vous soyez touristes, l'étape Olivier Bellin vous fera (re)découvrir une Bretagne sublime, entre traditions et modernité.
On sent dans la cuisine d'Olivier Bellin des émotions anthentiques et un amour inconditionnel pour notre région.
Olivier Bellin m'a fait penser à un Xavier Grall des fourneaux. Tous les deux défenseurs poétiques de cette "terre dure de dunes et de pluies". L'un avec ses mots, l'autre avec sa cuisine. "On ne naît pas Breton, on le devient, à l'écoute du vent, du chant des branches, du chant des hommes et de la mer." Et à la cuisine d'Olivier Bellin.
Je n'attends qu'une seule chose, c'est d'aller goûter aux autres plats, d'aller découvrir d'autres saveurs, être à nouveau surprise, sourire à la dégustation...
A côté du restaurant se trouve l'hotel "La maison des Glazicks". Il parait que les chambres sont très jolies. Si j'y vais un jour, je vous dirais !
Merci à Olivier Bellin, à sa brigade et son personnel pour ce moment sublime.
@ladyblogue
L'Auberge des Glazicks (restaurant) // La maison des Glazicks (hôtel)
7 rue de la Plage
29550 Plomodiern
Tél. 02 98 81 52 32
Crédits photos :
Photo d'Olivier Bellin : O.Marie / goutsdouest.fr
Autres photos : @ladyblogue
EDIT (28/11/2012)
Suite à ce repas, suite à ce billet, j'ai eu la chance de rencontrer Olivier Bellin. J'en ai fait un sujet pour un de mes billets d'humeur pour Ouest-France. A LIRE ICI.
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Tout a été écrit là-dessus bien sûr. Mes mots n'apporteront rien de nouveau. Mais je ne pouvais passer outre. Ce film, "La rafle", vu hier soir. Comme cet autre film, "Elle s'appelait Sarah", dont je vous parlais ici, succinctement. Succinctement justement parce que l'émotion était trop grande et que mes mots ne pouvaient être à sa hauteur.
Dépassée. J'étais dépassée.
Comme hier soir, ou à chaque fois que je regarde, que je lis, que j'écoute quelque chose sur cette partie de l'histoire. Submergée par des émotions que je ne contrôle plus. Des larmes que je ne peux étouffer.
Le film s'arrête. Je file dans la salle de bains, je me cache. Je veux me cacher. Je ne pleure pas, je chiale. Je ne pleure pas, je sanglote. Je ne pleure pas, je gémis. Je me mouche, j'essuie mes yeux, j'essaie de respirer.
Calme-toi...
Mais je sens que c'est là. La gorge bloquée, prête à se propager tel un déluge. Je monte. Je me mouche encore et encore. J'éteins la lumière. Le noir me va si bien. Impossible de retenir le barrage. Tout lâche. Les larmes encore, les images qui me reviennent, tous ces enfants qui ont tous le visage des deux miens, tous ces gens qui ont tous ma respiration et mon sang. Je suis bouleversée. Je suis bouleversée. Je suis bouleversée. Et je me dis que demain ça ira mieux. Que moi, demain, ça ira mieux. Et cette pensée me bouleverse encore plus. Mon émotion que je sais éphémère - tout du moins à cette intensité - me rend coupable.
Je prends un cachet, tente de calmer mon souffle et m'endors la tête sur un oreiller inondé de désolation.
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On a dépassé la barre des 1 000.
Vous êtes plus de 1000 à me suivre sur Twitter.
Juste un mot, un seul : MERCI.
(Et pour ceux qui ne me suivent pas encore, c'est juste là.)
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Leur groupe s'appelle OGMA.
Je les ai découvert en juin dernier, alors que j'organisais un tremplin musical dans la région.
J'ai immédiatement accroché sur la voix du chanteur et sur leur musique.
Si vous aimez Noir Désir, il y a des chances que vous aimez OGMA.
Et si vous aimez, faites tourner.
(Pour info, ils sont souvent en concert à l'Original Café à Quimperlé.)
Bon dimanche.
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Vendredi dernier, je reçois un mail de Gaël Guéguen, journaliste à France Bleu Breizh Izel, radio bretonne.
Gaël présente plusieurs émissions sur la station dont Panier de Crabes (que je vous recommande, tous les dimanches de 10h à11h), est chorniqueur de "Faux billet' et depuis peu a lancé "Gaël magazine", magazine qui se veut un peu plus tourné vers les femmes, toussa... D'où le "Gaël magazine, le magazine pour gars et pour elle..." (Oui, Gaël aime les jeux de mots.)
Gaël est tombé par hasard sur mon blog, a aimé ma façon d'écrire (merci) et s'est notamment arrêté sur mon billet "Les désirs cloisonnés". Il a découvert que j'étais bretonne (oui), que j'étais finistérienne (reoui) et que j'étais quimpéroise (ouais). Du coup, il m'a proposé d'intervenir dans "Gaël magazine" pour en parler.
Lundi matin 11h45.
Ca commence.
Par téléphone.
Je vous laisse écouter, on continue après.
11h50. Ca s'arrête.
Première impression : une putain de frustration. Aborder un sujet comme ça en aussi peu de temps, c'est incroyablement court. Trop court. Parfois ce qui est court est bon, la traditionnelle porte cochère, mais quand c'est vraiment trop court, la porte, on a à peine le temps de la trouver. A peine le temps de poser le sujet qu'on nous dit déjà à tchao au revoir. Le téléphone fait bip bip, y'a plus personne et on se retrouve la langue coupée, les mots dans le gosier qui tournent comme des lions en cage.
Quand c'est vraiment une chronique à soi, on a le temps, on le gère, on distille les mots, on les travaille, on dompte les secondes, on sait où l'on est à tel instant. C'est pas pareil.
Deuxième impression : impossible de rester sur une insuffisance.
Donc Gaël, si tu me lis, France Bleu Breizh Izel, si tu me lis, je recommence demain avec grand plaisir, mais comme je suis culottée (là oui), il me faudra plus de temps.
#ouais
P.S. : Ma voix robotique n'est pas due à un excès de moukraines à la glaviouse. Je préfère préciser.
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