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Chaque année, 2 fois par an, c'est la même question : quel gâteau je vais faire pour l'anniversaire de ma fille ?
Nous les mamans, on cherche toujours des idées de gâteau original pour nos enfants.
Pour les 5 ans de Princesse, j'avais fait un gâteau en forme de papillon (photo introuvable...) et un autre en forme de coeur. Pour les 3 ans de Petite fée, j'avais fait un gâteau hérisson (vive les Mikados !).
Ce week-end, c'était les 6 ans de Princesse, il fallait que je trouve une nouvelle idée. Et j'ai trouvé !
Un vrai gâteau de petite fille, beau, original et facile à faire !
Explications !
>>> Le gâteau : Reine Sabbah
Ingrédients :
250 g de chocolat
250 g de beurre (moitié beurre salé, moitié beurre doux)
200 g de sucre
6 oeufs
125 g de poudre d'amandes
100 g de farine
Préparation :
Travailler les jaunes d'oeufs avec le sucre. Ajouter les amandes, le beurre pommade et le chocolat fondu.
Ajouter la farine petit à petit puis les blancs montés en neige.
Cuire 30 min environ à 170° (th. 7).
Au bout de 15 min de cuisson, couvrir le gâteau avec une feuille de papier aluminium.
Le gâteau est moelleux au coeur, une véritable tuerie.
>>> Le décor
Réaliser un glaçage
Mélanger 1 blanc d'oeuf avec 2 verres (à wishy) de sucre glace + quelques gouttes (4-5) de colorant alimentaire rouge.
Attention pour que votre glaçage soit top, il faut 1/ bien bien mélanger, 2/ qu'il ne soit pas trop liquide. Pour avoir une idée, votre mélange doit avoir à peu près la consistance d'une pâte à choux et 3/ attendre que votre gâteau soit froid pour étaler votre glaçage. (moi, j'ai fait le gâteau la veille et posé le glaçage le lendemain).
Laisser sécher le glaçage avant de disposer votre déco. (Laisser sécher à l'air libre et non au frigo).
La déco
Munissiez-vous de :
- petits cure-dents (j'ai coupé les extrémités pour ne pas que les enfants se piquent...),
- de fraises Tagaga ou autre (celles de chez Leclerc sont plus couleur "framboise", ce qui, je trouve, fait plus joli pour ce gâteau),
- de bonbons oeufs au plat (que vous aurez découpés en forme de petites marguerites),
- de pâte d'amandes couleur verte (que vous aurez découpée en forme de feuille),
- d'une petite figurine pour mettre au centre du gâteau (ici un Petshop)
et hop, le tour est joué !!
Si vous avez envie, vous pouvez aussi acheter un petit crayon pâtissier rose (de chez Vahiné) et/ou de petits coeurs en sucre blancs et roses pour décorer votre glaçage.
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On ne relance ici pas la polémique Cantat/Trintignant. Ce n'est pas le sujet du jour.
Le sujet du jour est que j'ai toujours énormément aimer Noir Désir (vraiment vraiment vraiment vraiment énormément beaucoup très), toujours énormément aimer la voix, la plume et les interprétations de Bertrand Cantat (vraiment vraiment vraiment vraiment énormément beaucoup très) et que je suis vraiment très heureuse de pouvoir le réécouter sur de nouveaux titres (vraiment vraiment vraiment vraiment énormément beaucoup très).
Avec Eiffel pour "A tout moment de la rue", avec Souleymane Diamanka sur "Danser sous la tempête" et avec Brigitte Fontaine sur "Les Vergers" et enfin, dernière collaboration en date, avec l'excellentissime groupe Shaka Ponk sur "Palabre mi amor", titre écrit par Cantat lui-même.
Petit (re)tour sur toutes les dernières collaborations artistiques de Bertrand Cantat depuis la fin de Noir Désir.
>> Avec Eiffel, "A tout moment"
À tout moment la rue - EIFFEL & Bertrand CANTAT... par CHICKENSCHICOTS
>> Avec Souleymane Diamanka, "Danser sous la tempête"
DANSER SOUS LA TEMPETE (B. CANTAT - S. DIAMANKA) par 7SDZ
>>Avec Brigitte Fontaine, "Les vergers"
Brigitte Fontaine et Bertrand Cantat - Les Vergers par Castor_prod
>> Avec Shaka Ponk, "Palabre mi amor" (texte de B. Cantat)
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Après le boulot, je file au petit Casino. Un petit truc à acheter pour mettre sous l'oreiller + deux trois bricoles. Le "petit Casino", c'est le rendez-vous à la fois des petites courses et des petits vieux.
3 caisses ouvertes sur 15, des caissières qui ressemblent à rien d'humainement existant (...), des choix limités et des prix illimités. C'est la règle des petites supérettes.
Je fais la queue.
J'entends grogner. Derrière moi un couple physiquement aviné en train de pousser un Caddie rempli de papier toilette, d'une boîte d'oeufs, d'un paquet de spaghettis et de 5 bouteilles de whisky. La femme plus mâle qu'un homme : un cube aux cheveux courts et la voix rauque. L'homme allongé, les mains toute sèches, le visage abîmé. Je passe le regard.
Je fais la queue.
J'entends se fâcher. Une petite fille court vers ma direction. Leur fille. Les cheveux courts, taillés à la hache, dans tous les sens. Le visage qui mériterait bien un bon coup de lotion. Elle sourit, elle remue un peu. Elle doit avoir 6-7 ans. Normal. Je me force à tourner la tête.
Je fais la queue.
J'entends gueuler. "Arrête don'c", "bouge pas", "tu vas voir ce que tu vas voir". Et que je t'attrape par le bras, et que je fais des gestes de la main comme si j'allais frapper... Le ton monte. Mes yeux n'arrivent pas à décoller. Le regard du père va croiser le mien, c'est sûr. Ca va le calmer ? Ca va encore plus l'énerver ? Questions. Je me dis que si les parents vont trop loin, c'est moi qui ouvre ma gueule. Je m'imagine sur mon cheval blanc, devant l'embarras des autres clients, devant l'énervement des saoulots.
Je n'arrive pas à décoller. Mes yeux passent d'un visage à un autre. La mère virile, le père tremblant, la gamine barbouillée.
C'est mon tour.
Bip. Bip. Bip.
"7 euros et 3 centimes".
Ca gueule.
Je paie.
Ca gueule.
Je regarde. Je fixe.
Je ramasse mes courses du tapis roulant.
Le tapis roulant.
Il avance. Next. Au suivant !
Je m'éloigne.
Mes talons résonnent.
Mes yeux voient le ciel.
Et derrière moi, le tapis roulant s'arrête.
Au suivant !
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Les enfants grandissent.
Les enfants grandissent et parfois on trouve ça chouette et parfois ca nous embrume le coeur.
On trouve ça chouette quand ils commencent à faire leur nuit, quand il n'y a plus besoin de sortir avec 3 sacs bourrés de biberons, de lingettes, de couches, de Mitosyl, deboudoirs et autres essentiels.
On trouve ça chouette quand ils commencent à marcher, quand ils commencent à savoir manger tout seul, à s'habiller tout seul, à se laver tout seul, à faire pleins de trucs tout seul. Oui, on trouve ça chouette dans plein de cas.
On est fier de les voir grandir, "pousser", évoluer. Et on est fier de les accompagner dans cette évolution.
Les enfants grandissent.
Les enfants grandissent, et parfois, ca nous embrume le coeur.
Comme quand on les amène pour la première fois à la crèche. On sourit devant eux et des larmes coulent arrivée dans la voiture. Et toute la journée aussi. Première séparation. Pareil pour le premier jour d'école.
On ne se rend pas compte qu'ils sont "assez" grands. On a confiance en eux pourtant. Peut-être pas assez en nous... "Non, attends je vais le faire", "non, attends, tu vas te faire mal", "non, attends, tu es encore trop petite".
Toujours des "Non, attends", comme des "non, attends, ne grandis pas trop vite"...
Princesse est sur le point de perdre sa première dent. C'est pour demain sûrement. Et comme cela ne suffisait pas, ce n'est pas une mais deux, et même trois je crois, qui vont tomber à la suite.
L'étape des dents.
Je ne pensais pas que ca allait me faire ça. C'est con, mais voyez-vous, je chiale en écrivant ce billet. Mon coeur embrumé embrume mes yeux, et les larmes glissent sur mes joues et mon nez. J'ai l'air fin, tiens. Juste parce que ma fille va perdre ses premières dents de lait.
Ma fille grandit. Très souvent je trouve ça chouette, mais, ce soir, j'ai le coeur embrumé.
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L'été dernier, je vous parlais de la sublimissime collection Villa Caprice de la marque de lingerie Maison Close.
J'étais tombée amoureuse de cette ligne, de ces lignes. Ces dessous m'avaient scotchée comme rarement.
Il y a quelques jours, une vente Maison Close sur ventesprivees.com.
Villa Caprice est là.
Tous les modèles.
Du soutien-gorge au body, en passant par la ceinture et tout le reste.
-50%.
Impossible de passer à côté.
Tout pris.
Tout raflé.
Tout est à moi.
Tous les modèles de la collection.
Tour à La Poste, reçu mon paquet aujourd'hui.
Me voilà Capricieuse de bas en haut.
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Violent Lips lance sur le marché des tatouages temporaires pour les lèvres qui permettent d’afficher sur les lèvres des motifs à pois, en damier, léopard ou encore arc-en-ciel…
La méthode est simple : il suffit de découper le tatouage suivant la forme de ses lèvres avant d’humecter sa pellicule protectrice et de le décoller pour dévoiler le motif attendu. (un peu comme les tatouages que l'on trouve sur les chewing-gums).
Ce tatouage labial tient jusqu’à 8 heures maxi et on peut manger et boire sans que ça l'abîme (mouais...). Le tatouage est vendu par pack de trois, pour 15,95 dollars.
J'oscille entre le "sympa pour une soirée" ou le "complètement ringard". Je n'ai pas encore décidé.
Le site : www.violentlips.com
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Des dossiers à la pelle.
Des dead-lines de dingue.
Des plannings de folie.
Des recos plein le dos.
Des recherches de nom (pas que pour l'univers du sexe) encore et encore.
Des propositions de budgets encore et toujours.
Tout ça, c'est bien.
J'aime travailler dans le speed. Ca me va bien. Plus c'est speed, mieux je bosse.
Mais avec des cruches de cruchasse, ca ne le fait pas trop !!!
Une cruche, deux cruches, trois cruches...
Putain de bordel de merde de chié la bite ! (en gras)
C'est tout pour aujourd'hui.
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Aujourd'hui on va voir si vous avez l'esprit réveillé. Jour d'une Kestion Passikon !
La Kestion Passikon # 38 :
Pourquoi quand on dit "sans doute", c'est précisément quand il y a un doute ??
Retrouvez toutes les kestions passikons ici.
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Dans une agence de com dite "généraliste" comme la mienne (enfin plus précisement comme celle dans laquelle je bosse...), on croise tout type de clients : des collectivités, de grands groupes, des moyennes entreprises, des toutes petites boites ; et ce dans tous les secteurs d'activités imaginables : agroalimentaire, nautisme, tourisme, loisirs, finances, ect...
C'est ca qui est bien. A chaque dossier son domaine.
Mais je n'avais encore jamais travaillé dans l'univers du sexe !
Voilà qui va être fait dans les semaines qui viennent.
Nous avons été interrogés par un club libertin, nous avons remporté le budget. Maintenant, faut cogiter à la communication. Et commu-niquer (rôôôôo^) sur ce sujet, ca risque d'être folklo ! Rercherche de de nom, de signature, esprit graphique... Les brainstormings promettent de bons moments !!
Enfin, j'ai déjà appris quelque chose lors du brief client : la définition du côte-à-côtisme (à ne pas confondre avec l'échangisme qui est lui même à ne pas confondre avec le mélangisme !).
Bref, dans un ou 2 mois, je serais incollable sur le sujet.
Yes !
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Quelques heures seulement après les faits, la presse taïwanaise "Apple Daily" diffuse sur son site internet une vidéo en animation en 3D, vidéo qui retrace, de manière très personnelle, les péripéties du patron du FMI dans sa chambre d'hôtel à New York.
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Argh ! Un ENORME "argh" !
Il y a quelques années (déjà...) dans un de mes billets, voici ce que j'écrivais : "Et le pediculus humanus capitis dit le « pou de tête »… ce parasite… ça c’est pour moi le pire du pire du pire. Ça me débecte ! Déjà, je suis une « insectophobe » née alors les voir sur la peau, dans la tête, se cachant comme des faux jetons dans les cheveux pour nous sucer le sang … Pouah, ça me répugne ! J’ai l’image de ma mère s’occupant de la tête de ma sœur en essayant d’écraser entre ses ongles vernis les misérables vermines…".
Et pourtant, ca y est.
Au bout de presque 6 ans de bonheur, voilà que j'ai fait la connaissance des poux. Ou plutot des lentes et d'un pou. Jamais eu avant et voilà que PAF, j'ai vu petite fée se gratouiller, j'ai regardé, "non... rien... ca doit être un problème de cuir chevelu...", détour à la pharmacie, "bonjour madame, tenez regardez", "heu... je ne sais pas... traitez au cas où" (ca sert à quoi de faire x années d'études pour être pharmacienne ?) et le au cas où s'est tranformé en "il faut, ce sont bien des lentes".
Bref, il a bien fallu que je m'y mette : traitement, Pouxit 1 heure sur la tête, épouillage (!), changement de tous les draps, taies d'oreillers, manteau, foulards, pyjamas, peluches dans sacs plastiques, doudous, housse de sieges auto et tout de tintoin.
Seulement voilà, il y a des parents qui ne font rien. Aucun traitement.
Le directeur et les insitutrices de l'école ont beau clamer à tous qu'il faut traiter les poux, certains parents se refusent à suivre ces consignes. "Les poux ? nan !! Mon fils n'a pas des poux, on est propre !!"
Sujet encore tabou.
Bref, ca fait 3 fois qu'on Pouxite, qu'on remue, lave tout (à 60°, sinon ca ne marche pas) et J'EN AI MARRE !
Je tresse les cheveux, je tamponne cheveux, nuque, vêtements d'essence de lavande, bref, JE FAIS TOUT CE QUE JE PEUX MAIS SI Y'A DES CONS QUI LAISSENT CES SALES BESTIOLES DANS LA TETE DE LEURS GAMINS CA NE CHANGERA RIENNNNNNNNNNNNN !!!
ARRGGGHHHH !!!!!!!!
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"Quand ils regardent la voie lactée
Les yeux tournés vers le firmament
Devant le ciel, l’immensité
Les hommes sont toujours des enfants"
La poésie se fait entendre dès les premières notes de piano du titre "Les hommes sont toujours des enfants". Le nouvel album de Michel Jonasz (du même nom que le premier titre) était attendu. Mis à part le CD hommage à la chanson française (que des reprises) en 2007, le dernier album de Jonasz remonte à 6 ans. Trop longtemps à mon goût. Forcément, moi qui l'adore.
Encore une fois, ici chaque titre raconte une histoire, nous embarque dans le coeur d'une âme sensible. Même si je n'accorche pas à un ou deux titres (par exemple, j'ai du mal avec le titre à connotation tzigane...), la quasi totalité de l'album m'a séduite.
"Woman in blue" (chanson écrite il y a 12 ans), "Jesse Owens" (chanson sur l'athèle noir américain quadruple médaillé d'or lors des Jeux olympiques d'été de 1936 à Berlin, devant Hitler...), "Hé Black" (où Jonasz imagine des retrouvailles avec un compagnon de route), "Les souvenirs" (sublimement simple ou simplement sublime..), "Avant" (avec une référence aux Beatles)... tous les titres méritent d'être écoutés.
Ecoutez ici...
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Aujourd'hui, gros gros gros carton rouge cramoisi.
La dernière campagne de pub de la marque de produits de rasage Veet est tout simplement désastreuse.
Le spot baptisé « Mon minou tout doux », met en scène une petite chatte chantant : "quand mon minou est tout doux, il aime être caressé partout…quand mon minou est tout doux, il vaut le coup..." et blablabla.
Navrant.
On pense même à une blague.
Le site est tout aussi désolant.
On vous propose d'épiler votre minou et passer "le test du matou", le tout dans une ambiance absolument débile. Si vous n'avez pas réussi le test et n'avez pas choisi le bon produit d’épilation, vous serez rejeté par un chat, suggérant que votre chatte n’est pas “assez douce”.
Veet a voulu faire le buzz, mais faire du bon buzz n'est pas donné à tout le monde.
Affligeant.
Et vive la pince à épiler.
EDIT :
Le "Minou tout doux" de Veet n'aura pas résisté à l'indignation des internautes. Face à leurs réactions virulentes, la marque aux produits épilatoires a décidé de fermer le site. Contactée par l'Express, l'entreprise a expliqué avoir "préféré ne laisser aucune place à l'ambiguïté (sur laquelle la marque jouait pourtant, ndlr)" pour une publicité destinée "à être un test". L'indignation des internautes sur les différents réseaux sociaux est une "mauvaises interprétations qui sont à l'opposé des valeurs de Veet". Depuis hier, la marque a donc préféré fermer le site.
Veet a donc cédé sous le poids des internautes. Ce qui rend la marque et sa campagne encore plus décevantes. Veet aurait pu voir les couilles de défendre son axe, taper encore plus "fort" ou chercher des idées pour répondre aux critiques. Au lieu de ça, Veet baisse la tête et se tape la honte. Nul.
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"Life in a day", ca vous dit quelque chose ? Si la réponse est non, petite piqure de rappel : en juillet dernier YouTube avait invité le monde entier à envoyer des petites séquences vidéo captant la journée du 24 juillet 2010. But de cette opération : retracer une journée dans le monde à travers les différents pays et cultures.
Plus de 80 000 vidéos venues de 197 pays qui ont été soumises au projet. Une équipe de 20 personnes a été mobilisée pour sélectionner 100 heures de rushs parmi les 4 600 heures d'images reçues.
Ce sont les réalisateurs Ridley Scott et Kevin McDonald qui ont supervisé le montage pour former ce premier documentaire communautaire.
"Life in a day" sera diffusé dans les salles le 24 juillet prochain aux USA et viendra par la suite en France.
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Je poste souvent des photos de Honer Akrawi. J'aime beaucoup son travail. Il a une façon magnifique de faire parler les femmes, de révéler leur féminité.
Cette série avec le mannequin Mona Johannesson le prouve une nouvelle fois.
Sublime.
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Alain Bashung et Noir Désir en duo, sur un texte signé Serge Gainsbourg.
Savant mélange.
"Émotions censurées
J’en ai plein le container
Je m’accroche aux cendriers
M’arrange pas les maxillaires
Section rythmique, section de combat
Effets secondaires
C’est quelles séquelles
C’est tout ce qui me reste de caractère
Tête brûlée
J’ai plus qu’à m’ouvrir le canadair
N’essayez pas de m’éteindre
Je m’incendie Volontaire
A l’analyse il ressortirait
Que je suis pas d’équerre
Vol de nuit sur l’Antarctique
J’attends la prochaine guerre
Jamais d’escale
Jamais de contact
Avec l’ordinaire
Perdu la boussole le compas
Erreur Volontaire
Frôler des pylônes
Des canyons
Frôler l’éphémère
Si tu touches
Si tu te crashes
Tu rentres dans le légendaire
Réalité
Réalités
Punition exemplaire
Si c’est pour jouer les fugitifs
Moi je suis Volontaire
Volontaire"
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3 nuits. 3 films. 3 styles. 3 films à voir.
"A bout portant"
Policier. Scénario très bien foutu, un rythme de fou, des acteurs impeccables.
"Elle s'appelait Sarah"
Drame. Un film qui m'a boulversé.Rafle du Vel d'Hiv, secrets de famille. Des jeux d'acteurs incroyables. Des larmes. Même le lendemain. Même aujourd'hui.
"Le nom des gens"
Comédie.Un film original, très drôle, léger et profond à la fois. Un film libre.
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"Aucun express".
Chanson de Bashung reprise par Noir Désir.
Titre issu de l'album "Tels Alain Bashung" disponible le 26 avril 2011.
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Je quitte l'agence. Je chevauche ma Polo. Sur la route, de l'autre côté de la voie, un couple se promène, 65-75 ans, peut-être plus. Par terre, un passage avec des petits cailloux blancs. La femme dérape, glisse, tombe à genoux. Le mouvement est si rapide qu'il lui fait perdre l'équilibre ; c'est son buste tout entier qui tombe à terre, le visage cogne au sol. Je regarde dans mon rétro, je vois la femme allongée. Bouge-t-elle ? Je cherche un endroit pour faire demi-tour. Je rejoins le lieu de l'accident et me gare sèchement. Le couple est là, la femme s'est relevée. Le visage en sang, le front et nez rouges et bleus, elle les tamponne doucement avec un mouchoir en tissu rayé. Je demande si ça va, si je peux les aider, passer un coup de fil - je doute qu'ils aient un portable - ou les amener chez eux avec ma voiture. La femme est gênée. "Non non, on est à 2 min...". J'insiste, son visage tuméfié me fout les jetons. Si ca se trouve, elle s'est cassée le nez... J'aimerais m'approcher d'elle et soutenir son corps sous le choc. Mais je n'ose pas. Elle prend de la distance, comme déjà en route pour chez elle. Je vérifie du regard si elle marche droit. Son mari tente de la persuader d'accepter mon aide. Je le sens inquiet pour son épouse. Moi aussi. Mais elle refuse. Je ne sais pas si c'est de la gêne, de la fierté ou de la méfiance. J'insiste une dernière fois, encore une fois, au cas où. "Non, non.. c'est gentil...".
Je me dirige vers ma voiture, le ventre noué de laisser cette femme aux cheveux blancs partir le mouchoir en sang collé au visage.
Son mari s'apprête à la suivre, s'arrête, me regarde, silencieux. "... Je tiens à vous remercier de votre geste... je suis vraiment touché... Merci..." Lui aussi est sous le choc. Il a les larmes aux yeux. Je réponds qu'il n'y a pas de quoi, que c'est tout à fait normal.
Je monte dans ma bagnole.
J'ai les mains qui tremblent. La vue du sang sans doute... et aussi l'émotion de ce papy.
Ce soir, je pense à eux.
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Avant, il fallait se lever de son canapé pour aller changer de chaîne. Et puis comme nous sommes de gros fainéants, on a inventé la télécommande. De notre canap', il nous suffit aujourd'hui d'appuyer à distance sur le petit boitier magique, et hop, changement de programme.
Et si je vous disais que le mois prochain, il existera quelque chose de plus simple et plus rapide ? L'e-mode : la télécommande qui vous permet de choisir vos programmes via la pensée !
Oui, oui, cette télécommande révolutionnaire permettra de choisir le programme tv désiré via la pensée.
Parmi les chaines disponibles, l’e-mote détermine qu’elles sont les chaines qui répondent à vos envies et transmet l’information au téléviseur.
Grâce à un capteur temporal, e-mote analyse votre activité neuronale. Enregistrées et décodées en une micro-seconde, les informations sont immédiatement diffusées à votre écran par infra-rouge, pour activer le programme le plus pertinent par rapport à votre envie.
Design épuré à la Apple, lignes minimalistes, l’e-mote sonne comme une révolution .
Info ou intox ? L’e-mote serait disponible à partir de mai prochain !
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Brochures, affiches, prospectus, annonce-presse... on commence tous à en voir partout, la vague des codes 2D est arriver en France.
Mais code 2D, késako ?
Un code 2D est tout simplement un code barre à deux dimensions qui prend la forme d'un petit picto composé de petits carrés de tailles variables. Il a l'avantage, contrairement à nos codes barres habituels (ceux que l'ont voit sur nos paquets de biscottes ou nos bouquins), de pouvoir stocker beaucoup, beaucoup plus d'informations, tout en étant petit et rapide à décoder.
La plupart du temps, on voit des codes 2D noir et blanc (un peu moche à insérer dans une créa), mais sachez que l'on peut faire des trucs très graphiques avec (on a le droit à 30% de "déformation" créative...).
Mais ca sert à quoi ?
Pointez l'appareil photo de votre smartphone sur sur le code 2D et aussitôt votre appareil vous dirige sur des infos multimédias (une page Web, une vidéo...), des coordonnées personnelles (nom, prénom, adresse, tél, Msn
), des informations sur un produit/une entreprise...
En gros, c'est ça un code 2D.
A chaque code correspond un contenu. En prenant le code en photo, vous accédez directement à l’information proposée, sans avoir à saisir une url ou faire une recherche sur votre mobile.
Des exemples ?
> A bien à vendre/à acheter ? L'affiche porte un code 2D ? Vous scannez et vous êtes en ligne avec le site internet de l'agence immobilière, sur la page décrivant le bien immobilier que vous venez de voir.
> Vous venez d'acheter un meuble Ikéa et vous galérez à comprendre la p***** de notice de montage ? Demain, vous scannerez le code 2D et vous tomberez sur une vidéo qui vous montrera clairement comment monter votre meuble.
> Vous êtes dans le métro, vous voyez l'affiche d'un spectacle qui a l'air sympa. Hop, vous scannez le code 2D et vous tombez sur un extrait du spectacle.
> On a tous des tonnes de cartes de visite dans nos bureaux... "Qui c'ést lui déjà ? J'me souviens plus..." Demain, nos cartes de visite 2D proposeront des vidéos de présentation de nos trombines, un lien vers notre page facebook, twitter, notre compte Linkdin, notre blog, notre boite, ect...
En fait, quand on commence à penser code 2D, on a 10 000 idées d'applications à la seconde...
Mais comment ça marche ?
Pour pouvoir utiliser les codes 2D, vous devez être équipé d’un smartphone muni d’un appareil photo et d’une connexion internet. Un logiciel est nécessaire pour lire les codes 2D sur votre téléphone. Beaucoup sont téléchargeables gratuitement sur le net.
2 vidéos pour mieux comprendre...
- Vidéo 1 > Explication du code 2D
- Vidéo 2 > vidéo qui vous montrera différentes applications côté marketing.
Salon e-Marketing | Nouvelles applications du... par mickaelguillois
Questions
> Vous qui ne connaissiez pas les codes 2D : qu'en pensez-vous ?
> Vous qui connaissiez les codes D : qu'en pensez-vous ? Avez-vous déjà essayé ? Dans quels domaines ? L'avez-vous déjà utiliser dans votre boulot ? Pour quels style de clients ? Quelles problématiques ?
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Ma réflexion du jour vient d'un billet que j'ai lu hier. Emery a publié un texte qu'il avait reçu, texte qui lui a été envoyé anonymement au titre provocateur : "Pourquoi il ne faut pas coucher avec une grosse ?".
Le texte vaut ce qu'il vaut, là n'est pas le sujet (je pense même qu'il aurait pu être bon s'il avait été traité avec finesse et intelligence, ce qui est loin, très loin, d'être le cas). Nan, la question que je me suis posée (et que j'ai d'ailleurs posé à Emery) est : pourquoi avoir publié ce texte ?
Emery est certes un homme qui adore pousser l'autre au plus profond de ses retranchements, mais c'est aussi un homme sensé, sensible et intelligent. Je m'interroge donc.
...
La seconde question que je me suis posée est : peut-on publier sur son blog le texte de quelqu'un d'autre dont le sujet prête à polémique sans y ajouter quelque part sa propre opinion ?
Quand on publie un texte qui n'est pas de soi, texte qui entraîne controverses, querelles, débats, discussions, défenses et tout le tralala..., peut-on s'arrêter juste à la publication ?
Quand on a un blog dit "généraliste" où l'on parle de tous les sujets (politique, faits de société, racisme, violence, pédophilie, ect...), on met en avant des opinions avec lesquelles on est d'accord, d'autres avec lesquelles on n'est pas d'accord, d'autres encore sur lesquelles on n'a pas d'avis. Jusqu'ici, je suis. Ok.
Il faut donner une fenêtre d'expression à tous, tous bords confondus, oui, notre propre blog peut être cette fenêtre-là ; mais ne devons-nous pas aller plus loin dans ces cas-là ?
Dire oui.
Dire non.
Ou dire je ne sais pas.
Questions.
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Je roule.
La radio toujours.
Ca monte et ca descend, les fréquences ont du mal.
Gresillements.
Je change.
...
Radio Nova.
Putain, j'avais oublié Radio Nova...
J'écoutais ça quand j'étais à Paris. Et puis arrivée ici, j'ai été obligée de changer, on ne captait pas.
Le penn-ar-bed.
Le bout du monde.
Nova.
Quelle radio peut vous passer à la suite Noir Désir (Marlène, version live), NTM (Plus jamais ça), Yma Sumac (Gopher : vidéo ci-dessous), Bran Van 3000 (Drinking in L.A.) ?
Putain (bis) !! Nova !!! Raboule à Quimper !
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"Tune for two"
Un court-métrage signé Alfa Primo.
J'ai beaucoup beaucoup aimé.
J'espère que vous aimerez aussi.
(Et toi ?)
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J'aime cette photo.
(Photo : S. Sannier)
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"Je vais à Disneyland" d'Antoine Blandin figure en compétition nationale au Festival de Clermont-Ferrand 2011.
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Je rentre à la maison.
Une journée de merdes.
Clients aux demandes inutiles et aux goûts improbables. Perte d'un beau budget. Des heures de cogitation, des maquettes, une recommandation, du temps, beaucoup de temps, à venir bosser le week-end... le tout pour se retrouver avec une ex-future-cliente qui n'a même pas les couilles de nous annoncer la mauvaise nouvelle elle-même. Connasse.
Une journée de merdes.
Je m'engoufre dans ma voiture et file.
Radio.
101.6, radio classique.
Schumann.
Quatuor lent avec piano.
J'arrive dans le quartier. Calme.
C'est là que je le vois, dans la montée, juste avant le virage.
Il marche face à moi, de l'autre côté. Il est en plein soleil
J'ai l'impression qu'il flotte.
Il ne parait pas vrai : les bras le long d'un corps fluide et trop couvert.
Pull épais, en laine synthétique bleu marine, surmonté d'un gilet sans manche vert bouteille bouloché et gonflé.
Le pantalon a l'air tout aussi épais.
Il n'y a que son visage qui parait léger. Une petit tête toute vieille, un visage ridé, un crâne sans cheveux, où tellement parsemés qu'ils se font invisibles.
J'ai l'impression qu'il marche à 10 cm du sol.
Schumann l'élève.
Schumann le transporte.
Et je me sens transportée avec la compositeur et ce vieil homme.
Je roule, je le dépasse et déjà je me demande si tout cela est bien réel.
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Chaque année dans le monde, 1,2 milliard de cochons sont tués pour la consommation humaine dans le monde. La majorité d’entre eux auront vécu une vie misérable, confinés dans des élevages intensifs leur ôtant toute possibilité d’assouvir leurs comportements naturels.
J'ai beau comprendre la démarche et même l'apprécier, un cochon grillé, ça reste quand même super de la balle...
Site de Miru Kim : http://mirukim.com
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Agence.
Anniversaire.
10 ans.
Grosse fiesta en préparation.
On attend entre 200 et 300 personnes.
DJ.
Boules à facettes.
Bars lumineux.
Chapeaux et boas.
Champagne et piste à gogo !
Ce soir, c'est la festia.
(jusqu au petit jour on ira faire la fiesta la fiesta..
on va dansé et levé nos verre la fiesta la fiesta
ce soir on est les rois de la terre la fiesta la fiesta
on finira la tete a l envers la fiesta la fiesta)
Allez, j'vais enfiler mon habit de lumière !
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Publicités pour bagnoles à la TV ou à la radio.
Direction assistée.
Boite automatique 7 rapports.
Bloc turbocompressé.
Climatisation multizone.
Et tout le blabla.
Et ca finit toujours pas un truc du style :
"Pour 28 950 euros seulement".
Et on entend ça tous les jours, plusieurs fois par jour.
28 950 euros SEULEMENT.
"Seulement" ils ont le culot de rajouter !
Mais qu'ils disent 28 950 euros et c'est tout mais "seulement"... ajouter "seulement", c'est quand même se foutre de notre gueule, nan ?
"28 950 euros seulement."
Ben voyons...
Quand la majorité d'entre nous pourra dire ça putain, "28 950 euros seulement", c'est que... c'est que... ben c'est que rien... je crois qu'on ne pourra jamais le dire.
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Je suis tombée par hasard sur leur nom. "Quand la diva s'en va". Nom de groupe intriguant, j'aimais bien. Et puis, j'ai écouté leur premier single "Ca me blesse". J'avais bien aimé. Le rythme, les voix, le clip, l'énergie qui s'en dégageait. j'avais fait tourner la vidéo sur ma page Facebook. Et puis, coïncidence, j'ai reçu un message de Balkan, un des membres du groupe, qui faisait sa petite promo.
On a échangé quelques mails, j'ai trouvé le bonhomme sympa, sans prise de tête. Et puis un groupe qui reverse la totalité de leurs premières royalties à une assos pour gamins, vous en connaissez beaucoup vous ?
Je lui ai proposé une interview pour mon blog. Il a accepté. Ca a mis un peu de temps à se mettre en place, mais ca s'est fait.
Rencontre avec Blakan, chanteur bassiste du groupe "Quand la diva s'en va".
Un groupe à suivre de près.
Et évidemment... faites tourner.
Pourriez-vous nous parler de la formation du groupe ?
Quand la diva s’en va, c’est 4 gars, contrairement à ce qu’on pourrait penser en voyant le nom du groupe : Balkan, Dom, Nico et Lucas. Je suis Balkan, le chanteur bassiste du groupe, Dom est à la batterie, Nico aux claviers et Lucas à la guitare.
Quand et comment vous êtes-vous rencontrés ?
L’histoire part de ma rencontre avec Dom il y a quelques années. Après avoir joué dans différents groupes de reprises, faut bien commencer par quelque part !, on a eu envie d’avoir notre propre projet. On a donc commencé à composer et à écrire au sein d’un groupe, avec une chanteuse et un guitariste... Le début d’une longue aventure avec différentes chanteuses...
Puis, nous avons rencontrés Lucas et Nico sur notre route... ainsi que plusieurs autres chanteuses.
J’ai lu que le nom du groupe était né d’une mauvaise expérience avec une chanteuse avec qui vous étiez ? Ras-le-bol des nanas ?
Mauvaise oui et non. On ne voyait pas les choses de la même manière tout simplement. Donc non, pas du tout ras-le-bol des nanas, au contraire, mais c’est vrai qu’on a eu plusieurs chanteuses avant que je me mette à chantonner… et la diva était notre dernière chanteuse donc... qui a bien fait d’arriver… et qui a bien fait de partir finalement ! C’est en partie à elle qu’on doit finalement tout ça. Donc, sans rancunes si elle nous lit ! (Non, non, je vous dirais pas qui c’était !)
Comment se passe le travail de composition au sein du groupe ?
Au fil des années, nous avons trouvé notre façon de fonctionner. Je compose les chansons du groupe, et Dom se penche sur l’écriture des textes. Nous trouvons souvent les sujets ensemble, parfois c’est lui qui vient avec un texte, parfois c’est moi qui lui donne une idée de départ, et il se charge de mettre l’idée en forme avec sa plume magique ! Quoi qu’il en soit, j’ai besoin de textes pour mettre la musique dessus, donc le travail avec Dom est très complémentaire car sans textes, je n’arrive pas à composer une chanson. C’est vraiment le point de départ. Puis on met tout ça en commun lors des répèts, chacun rajoute sa « patte »… Et nous voilà avec une chanson pour la diva !
Comment êtes-vous parvenus à signer avec votre label ?
Nous avons rencontrés Mike qui est le big boss du label Echo Prod chez qui nous avons signés. Mike, qui est par ailleurs l’un des chanteurs de Sinsémilia, nous a été présenté par Laurent Guénau*, qui a réalisé notre album, qui avait aussi réalisé « Tout le bonheur du monde » pour Sinsémilia, ainsi que les albums qui ont suivis. Le feeling est très bien passé entre Mike et nous, ainsi que son équipe. Nous avons donc commencé à bosser avec Echo Prod, label de Mike donc, et cerise sur le gâteau, le label AZ/Universal a repris le flambeau depuis peu, toujours en collaboration avec Echo. Nous sommes vraiment très contents de ce qui arrive autour de la diva en ce moment.
Quelles sont vos influences musicales : sont-elles communes ou chacun apporte ses particularités ?
Nous écoutons des choses vraiment très différentes, c’est aussi ça qui fait la richesse de la diva sur scène je trouve, le mélange. Ca va de Sting, Stevie Wonder, Michael Jackson pour moi, à Jimi Hendrix, ça, c’est Lucas le guitariste, Oscar Peterson, Deep Purple pour Nico le clavier en passant par Jamiroquaï pour Dom.. Donc oui, chacun apporte ses particularités en concert.
Est-ce que le studio a apporté des modifications sur votre façon de travailler, sur vos compositions ?
Pas vraiment. Et puis c’est notre premier album hein…, je te dirai ça au bout du troisième !
Le studio, ça été que du bonheur. A 100%. Assez cliché de dire ça, mais c’est vraiment ça… Comme un enfant qui a un nouveau jouet… On a apprécié, dévoré, du début à la fin. C’est compliqué de faire un album aujourd’hui… D’ailleurs ce premier, nous l’avons auto-produit.
Alors on a savouré chaque seconde du studio. Un vrai bonheur aussi d’être aux cotés de Laurent Guéneau, qui a réalisé notre album. Le travail avec lui s’est fait très naturellement. Il a une manière très « élégante » de travailler.. Il fait partie de la famille maintenant ! Et nous avons vraiment hâte de retourner en studio avec lui pour la suite de l’aventure. Laurent Guénau a travaillé avec des gens comme Khaled, Zazie, Sinsémilia, Grand corps malade etc.
Vous avez décidé de reverser la totalité des bénéfices « Ca me blesse » à l’association « Clowns sans Frontières » qui aide les enfants des rues… Quelques mots sur cette démarche ?
J’ai l’intime conviction que nous avons tous un rôle à jouer pour rendre ce monde meilleur, aussi minime soit-il. Même si notre action est une goutte d’eau, c’est toujours ça. J’ai entendu parler de cette association par un très très bon ami qui travaille à Unicef. Puis nous les avons rencontrés, et nous leur avons parlés de notre envie de reverser la totalité de nos royautés sur le téléchargement de la chanson à leur association, pour leur projet « enfants des rues ». Ca s’est fait très naturellement, un peu comme l’écriture de « Ca me blesse », qui est « sorti » tout seul, de nos tripes, en un jet. L’association fait un travail merveilleux auprès des populations en difficulté, dans camps de réfugiés, bidonvilles, pays en guerre, etc., en organisant des spectacles pour des enfants… Bref, une très belle cause, que je vous invite à découvrir et soutenir, en allant faire un saut sur leur site. http://www.clowns-sans-frontieres-france.org/
Votre premier album s’appelle « Best-of »… Dans 15 ans, comment appellerez-vous votre premier « vrai » best-of !?
L’album ne s’appellera plus Best of !....Un scoooop ! eh eh même si ça nous faisait bien marrer.. On va l’appeler « Quand La Diva S’en Va » finalement… comme le groupe… Il y a déjà une belle et vraie histoire derrière ce nom… On fera un « best of » au deuxième !
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