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Une chanson.
Une version originale (1978).
Des reprises.
> Version originale avec les Stones
> Version hip-hop avec Black Eyes Peas
(si vous ne dansez pas sur cette version, c'est que vous êtes une huître)
> Version à la Jamiroquai (...)
Jamiroquai-Miss You (The Rolling Stones)
> Version reggae avec The Dynamics
> Version planante avec The Concretes
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Ca parait incroyable, ca parait complètement dingue, mais je vous l'affirme, je vous l'assure : si vous voulez gagner en beauté, si vous voulez devenir plus séduisant(e), plus sexy, plus attirant(e) : une solution, une astuce simple, ne vous lavez plus.
Finies les douches, finis les bains, aux chiottes les shampoings et les démêlants, finito les crèmes de jour, de nuit, de début d'après-midi, terminés le mascara, fond de teint et rouge à lèvres, à la jaille rasoir, tondeuse et épilateur.
S.T.O.P.
Soyez na-tu-re. Soyez "nude" de chez "nude". Les poils avec.Un vieux tee-shirt, un short, une paire de tennis et c'est TOUT.
Quoi, quoi, je déraille ? Des preuves ?
Mais oui, j'en ai des preuves.
Koh-Lanta.
Oui, Koh-Lanta. Regardez les participants. Regardez leurs tronches au début de "l'aventure" et regardez-les à la fin.
Au début, il sont tout replets, tout proprets, tout lisses, tout "trop" lisses. A la fin, ils sont tout bronzés, tout minces, tout virils, tout "mieux".
Résultat : plus t'es sale, plus tu pues, plus t'as les cheveux emmêlés, plus t'as les ongles noirs... plus t'es sexy.
CQFD
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Aujourd'hui, c'est mercredi, c'est le jour des enfants, c'est la saint-Géraud (qui appelle encore son gamin comme ça ?), c'est le milieu de la semaine, c'est la veille de la Saint-Juste et le lendemain de la Saint-Wilfried, c'est le 286e jour de l'année, c'est le jour de la mort de Guillaume Depardieu (2008) et le jour de l'anniversaire de Gaétan Roussel (1972) et.. et... et.. c'est le jour de la Kestion Passikon n°36.
La Kestion Passikon # 36 :
Puisque "Fumer tue", est-ce de la légitime défense de tuer quelqu'un qui nous propose une cigarette ?
Allez, à vos méninges !
Retrouvez toutes les kestions passikons ici.
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Week-end abominable. STOP. Couchée vendredi 09/10 à 10h30. STOP. Lever dimanche 11/10 à 18h00. STOP. Entre-temps : migraine de dingue. STOP. Le lit, le lit, le lit. STOP. Vomi, vomi, vomi.STOP. Sos Médecins. STOP. Piqûre. STOP. Pas pu assister à l'anniversaire de Petite fée. STOP. Epuisée. STOP. STOP. STOP.
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Journée particulière.
Des "aujourd'hui", des "hier" et des "demain".
Le tout entremêlés de fil rose.
Une Petite Fée.
Magique.
Joyeux anniversaire ma Divine.
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Sur le demande de Another Magazine, Baillie Walsh, réalisateur, vient de mettre en scène Kate Moss dans un court-métrage, "KM3D-1", exclusivement en 3D.
Capturée à 1 000 images par seconde par des caméras Phantom (une vitesse
tellement lente que le mouvement est presque imperceptible), Kate est comme suspendue dans le temps et l'espace.
J'ai des lunettes 3D à la maison et je peux vous assurer que le résultat est tout simplement sublimissime.
KM3D-1 from artschoolvets on Vimeo.
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Annoncée depuis plusieurs mois par la chaîne, "Qui veut épouser mon fils ?" arrive sur TF1 vendredi prochain.
Principe : des mères désespérées essaient de flanquer leur rejeton à la porte. Le problème de ses grands enfants (âgés entre 27 et 40 ans) ? Ils sont incapables de
trouver l'amour par eux-mêmes. Les mamans des cinq candidats vont donc,
émission par émission, aider leur progéniture à trouver l'âme soeur en y
mettant forcément leur grain de sel. A la fin de l'aventure (huit épisodes), les fistons devront choisir : partir
avec leur bien aimé(e), ou bien rester encore un peu dans les jupons de
leur mère.
L'émission se veut avant tout comique parlant à toutes les générations. "On a le coté dating, de l'émotionnel et du sociétal ; mais c'est aussi très drôle" explique Angela Lorente, directrice de la télé-réalité sur TF1, dans le Parisien.
"Drôle".
Je suis heureuse de ne pas avoir la même définition du mot "drôle" que TF1.
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4 000 000 personnes.
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Comme toutes les filles, j'ai déjà pleuré à cause (personnellement j'aurais tendance à dire plutôt "grâce") d'une chanson. Je dis "comme toutes les filles" car je croyais ce comportement très féminin. On le sait, "on" pleure plus facilement que les mecs. Une chanson d'amour, de rupture, de désespoir et hop, une larme, une gorge serrée et tout l'bordel. Voir un mec pleurer à cause d'une chanson, c'est plus rare. Moi, j'en ai jamais vu. Et pourtant, la musique les fait aussi pleurer.
Pour preuve un sondage mené par PRS for Music (société qui, comme la Sacem, gère des droits d’auteurs en Grande-Bretagne au nom de ses plus de 70 000 auteurs-compositeurs membres) sur 1700 personnes pour connaître les 10 chansons qui font le plus pleurer les hommes.
Résultat du sondage des chansons qui font pleurer les hommes :Et ben... je suis loin de tout ça. Même si j'en aime beaucoup certaines, de là à chialer pour elles, y'a un pas. Je ne sais pas qui ils ont sondés (...) mais verser des larmes en écoutant Robbie Williams, moi, ca serait plus des larmes de douleur/calvaire/consternation qu'autre chose.
Non... mon top 5 (et c'est déjà pas mal) des chansons qui me font chialer ne ressemble pas à ça.
Mais plutôt à ça (dans l'ordre du désordre).
> C'est ça le blues - Michel Jonasz (putain... celle-là...)
> Norma (Casta Diva), Bellini - Callas
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(Guillaume Apollinaire)
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Heu... ca pourrait se calmer un peu oui ?
J'veux bien passer le relais à quelqu'un d'autre...
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La rentrée, c'est un peu comme le mois de janvier, on cherche à avoir de bonnes résolutions, à changer certaines choses qui nous déragent, à bouger son cul. J'avais envie de faire un truc. Quand je faisais du kick-boxing (en tant qu'élève et en tant que prof), ca me faisait un bien de fou. Un défoulement qui était devenu un rendez-vous obligatoire pour mon corps et ma tête. Sans pour autant trouver un truc du même style, j'ai cherché ce qu'on proposait comme activités près de chez moi.
Tricot.
Cours de cuisine.
Yoga.
Photo.
Chant chorale.
Loto.
Scrabble.
Jeu de l'oie.
Rami.
Palet.
Bridge.
Danses bretonnes.
Biniou.
Natation, gym aquatique.
Gouren.
Aïkido.
Art floral.
Coupe Couture.
Scrapbooking.
Dessin d'observation (?).
Pêche à la mouche.
Ca calme.
Je crois que je vais "juste" continuer à être maman, à être la femme d'Amoureux, à être directrice de clientèle et à être blogueuse de 2 blogs.
Car en fait, ca m'occupe déjà bien.
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Et là.
"Un homme de 30 ans, soupçonné d'avoir violé la fillette de
sa compagne âgée de 21 mois, a été écroué à la maison d'arrêt de Chartres.
L'homme a été mis en examen
et placé en détention provisoire pour viol aggravé sur victime de moins de 15
ans, avec la circonstance aggravante d'avoir autorité sur la petite fille.
Le suspect vivait en couple depuis deux mois avec la mère de
la fillette domiciliée à Dreux. C'est elle qui a porté plainte
après avoir surpris son compagnon auprès de l'enfant, en pleine nuit, avec un
comportement intrigant. La fillette a été amenée à l’hôpital où elle a
été opérée."
Et là, j'ai la nausée, cette nausée qui vous attrape et vous inonde la bouche de salive en moins de deux secondes. Je ne vois plus rien, ni la route, ni les voitures, ni les arbres, ni le ciel. Je n'ai devant mes yeux que cette enfant de 21 mois. Ca fait grand comment déjà 21 mois ? Presque 2 ans. Et là, j'imagine. J'imagine la gamine, à la crèche, dans la rue, dans sa chambre, en train de jouer, dormir, manger, courir, sauter. Vivre.
J'essaie de me dire que merde, encore une histoire comme d'autres. Mais impossible de banaliser l'écoeurement. Impossible d'écouter ça et d'embrayer sur l'info suivante, le résultat d'un match, le chiffre du jour ou la météo de demain.
"La fillette a été amenée à l’hôpital où elle a
été opérée".
L'envie de vomir me fait surveiller les endroits où je pourrais m'arrêter deux minutes. J'ai la gorge rayée, le ventre éraflée, les muscles étranglés.
Presque 45 minutes de bagnole à avoir la nausée au bord des lèvres. Incapable de me défaire de ces images, de ce fait divers raconté en 15 secondes à la radio.
15 secondes. 45 minutes. 21 mois. Des années.
Je suis arrivée. Je me gare sur le parking. La cliente m'attend à l'intérieur. J'attrape mes dossiers, éteins la radio et sors de la voiture laissant l'image de cette fillette, enfermée dans la carcasse encore chaude.
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Et rendez-vous vendredi pour les voir mises en situation !
Vielen Danke !
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Fatigués de votre week-end ? Pas envie d'être en automne ? Pas envie d'être lundi ? Une répulsion pour la réunion hebdomadaire ? Pas envie d'être au boulot ? Pas envie de dire "Bonjour, au revoir, et 10 qui font 100, touchez c'est cuir, en vous remerciant, merci beaucoup, au plaisir" ? Pas envie, pas envie, pas envie ??
No stress ! No ronchonnement ! Je suis là. J'ai pensé à vous. Voici mesdames, voici messieurs de quoi vous remonter le moral, vous redonner du pep's, du shebam, du pow, du blop, du wizzz !
Merci qui ?
Merci Lady !
> Pour vous mesdames
C.R.
Une vidéo.
Un homme.
Une marque.
Une musique.
> Pour vous messieurs
DIY.
Une vidéo.
Une femme.
Un photographe.
Une musique.
DIY by HENRIK ADAMSEN from FACTORY311 on Vimeo.
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Le clip de Zazie "Je vous aime" avec ces escargots touchants et rigolos fait partie des projets auxquels j'aurais aimé collaborés. Il me rappelle un peu "Le petit livre de je t'aime" de Sacha Goldberger.
Ecoutez et surtout, regardez.
Extraits des paroles :
"Moi quand je suis contre toi
Oh j'ai tant de, oui tant de joie
Ca fait le contre poids
J'aime ce que j'aime pas
Tout est simple quand tu m'aimes
Tout est bien c'est bien là le problème
Les gens qui n'aiment rien
C'est qu'on les aime pas"
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On a tous plus ou moins été amené à rencontrer des clients qui sortent de l'ordinaire, qui ont marqué nos esprits. Client qui ne comprend rien malgré nos efforts herculéens, client éternel insatisfait, client indécis, client déprimé... Pas toujours facile de composer avec la personnalité ou l'humeur de certains d'entre eux.
Et puis il y a ceux qui ont des techniques de dragues proche du néant. J'en connais un en particulier, qui, à chaque fois qu'il me voit, place sa petite phrase lourdingue. Mais ces deux derniers jours, il a excellé dans la lourdinguitude....
1/ Lors d'une conversation téléphonique avec lui (conversation très sérieuse sur la validation d'un bat), il m'avoue que sa femme l'appelle "Mon Porcinet"...
2/ Le lendemain, au téléphone, je me coupe avec une agrafe, pousse un "aïe". Il me propose alors de "sucer mon doigt sanguinolent".
Il va falloir que je fasse comprendre à ce monsieur que mon goût pour la cochonnaille est au même niveau que son humour. Extrêmement limité.
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Alors, je sais, je sais... Je sais ce que vous allez me dire - ce que j'entends de tous - "Ca va passer." Oui. Ca va passer.
Mais quand ??
J'ai essayé de discuter avec elle, de lui poser des questions... Rien ne sort. La maitresse m'affirme que 5 min après elle ne pleure plus. (Sauf que lundi dernier, comme j'avais oublié ses doudous, je suis repartie les prendre à la maison et en revenant à l'école, elle criait (pas "pleurait") toujours... alors, "5 min", tu parles...). Apparemment, elle passe de bonnes journées : elle joue, elle mange bien, elle dort bien, ect.
Alors c'est quoi le truc ? Un problème de séparation ? Elle a peur de l'école, nouveau mode de vie ? Avant l'école, Petite Fée a été en crèche... Sur ses 1 an et 1/2 de crèche (avant en nounou), elle a pleuré tous les jours - je dis bien tous les jours - pendant plus d'un an... Les enfants ? Elle a l'air de s'être fait des petites copines... L'école, l'établissement ? Elle connaissait déjà le lieu, sa grande soeur étant scolarisée au même endroit...
J'en sais rien. Je tourne en rond.
Alors, certains me disent "c'est parce qu'elle sent ton stress qu'elle pleure". Putain de bordel de merde ! Arrêtez de me sortir cette phrase à la con de merde à chier ! Evidemment, je stresse ! Evidemment, ca me fait chialer de voir ma fille le visage rougit de larmes, évidement ca me tort les tripes. Comment voulez-vous que ca ne me touche/m'attriste/déboussole pas ?
...
Le billet s'arrête là. Les larmes montent et je ne vois déjà plus l'écran.
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Les premières journées européennes des familles
homoparentales se sont déroulées les 17 et 18 septembre derniers à Paris. Objectif : débattre sur des projets afin de
promouvoir la reconnaissance et les droits des familles homoparentales en
France et en Europe.
De plus en plus de couples homos expriment leur désir
d’enfant. Seulement, aujourd’hui, l’adoption leur est interdite (c'est vraiment
un challenge que de cacher son homosexualité, se faire passer pour un
célibataire pour être accepté...) et la gestation par autrui (mère porteuse)
est une pratique condamnable en France. De ce fait, de plus en plus de couples
recourent à l’illégalité.
Alors pour ou contre ? Doit-on autoriser l'adoption pour les couples homosexuels ?
En tant que citoyenne, je me pose bien entendu des questions. En tant que mère aussi. Si un jour une de mes filles était gay, ne voudrais-je pas qu’elle ait la possibilité de devenir mère et moi devenir grand-mère ? Mais l’enfant dans tout « ça », son équilibre, son éducation ? Comment trouver le bon chemin ?
Pour nous éclairer, j’ai demandé à Matthieu*, un ami à moi, en couple avec Damien*, de bien vouloir témoigner. Tous les deux ont désiré avoir un enfant et en ont eu un, grâce à une mère porteuse. Tom* a aujourd’hui 1 an.
Témoignage émouvant d’un homme homosexuel devenu papa.
> Comment est née chez toi, chez
vous, l’envie de devenir parents ?
Je répondrai tout simplement à
cette question par une autre question « A quel moment de sa vie un couple se
dit : c'est bon nous sommes prêts a être parents ? ». Ce que je veux dire,
c'est que nous vivons pour être parents, après, je pense vraiment que notre
orientation sexuelle ne joue en rien sur nos instincts. Nous sommes deux
personnes bien ensemble, nous nous aimons, nous sommes à l'aise financièrement,
nous avons un chez nous bien sympa et puis un enfant est l'aboutissement d'un
couple.
> Vous avez eu recours à une mère
porteuse. Comment l’avez-vous trouvé ? Quelles ont été vos et ses conditions ?
Peux-tu nous donner le montant du « deal » ?
Pour rencontrer notre « fée »,
nous sommes passés via Internet. Nous avons posté une annonce et de là, nous
avons été en contact avec plusieurs femmes prêtes à tenter cette aventure.
Nous avons eu toutes sortes de
propositions, entre celles qui demandaient des sommes exorbitantes (jusqu’à 100
000 euros) et celles qui, après avoir entretenu des conversations
téléphoniques pendant plusieurs mois, disparaissaient dans la nature sans
laisser traces de vie. Et puis parmi elles, nous avons trouvé notre fée.
Nos conditions, nous voulions un
enfant pour nous sans aucun contact avec la mère parce que nous ne voulions pas
d'un enfant un week-end sur deux, notre but au final c’est d'aimer et d'élever
notre enfant.
A ce sujet, bons nombres de
couples homos (hommes et femmes) choisissent le système de coparentalité,
c'est-à-dire que un homme du couple homo homme fait un enfant avec une femme du
couple lesbien et ainsi les deux couples élèvent l'enfant comme un couple séparé,
un week-end sur deux, une semaine sur deux et la moitié des vacances, etc. Tout
ça répond à une charte que les parents ont fait entre eux. Nous nous étions
renseignés, nous avions même rencontré des couples de femmes, mais cela ne
correspondait pas à nos envies. Et puis finalement, je trouve qu'élever un
enfant à deux n'est déjà pas facile alors j'imagine qu’à quatre, ça complique
la situation.
Concernant ses conditions, elle
ne souhaitait pas de contact avec l'enfant, elle demandait un dédommagement
financier, ne pas être embêté à longueur de temps par nos coups de téléphone ou
nos visites (700 km nous séparait, ça ne risquait pas…).
Au sujet du montant du
dédommagement, c'est elle qui l’a fixé. Nous avons accepté ; par rapport à nos
revenus, c'était très raisonnable.
> Pourquoi ne pas avoir tenté
l’adoption ?
L'adoption est interdite en
France pour des couples homosexuels. Nous aurions pu tenter une adoption en tant
que père célibataire mais alors là, il faut vraiment montrer patte blanche avec
un salaire à la hauteur. Et puis dans notre cas, les services sociaux n'auraient
pas eu longtemps à chercher avant de se rendre compte que nous sommes un couple
d'hommes.
> Comment votre projet a-t-il été
accueilli par votre entourage ?
Par nos familles respectives,
tout s'est super bien passé. Je ne crois pas avoir entendu de réflexion
négative, ni chez nos amis, ni dans nos familles respectives, ni dans notre entourage
professionnel. Par contre, les personnes qui ne sont pas proches (famille et
amis) s'ils se posent des questions, on les laisse se les poser. Aux personnes
les plus curieuses qui ont l’indélicatesse de nous questionner, on leur répond
que nous nous sommes disputés un jour, que mon ami est sorti boire un verre et
puis est sorti avec la mère du petit et de leur union est arrive notre petit
bonheur… et moi, je suis le cocu content dans l'histoire (rires). J e pense que
c'est tout ce qu'ils ont besoin de savoir.
> Comment s’est déroulée l’arrivée
de l’enfant ?
L'arrivée de Tom à la maison
s'est faite comme dans n'importe quel couple qui a un enfant pour la première
fois. Nous avons longuement préparé sa chambre, choisi ses vêtements, lesquels
il aura à la sortie de la maternité etc.
Une peur tout de même : qu'au dernier moment, notre fée se transforme en
sorcière en changeant d'avis. Ca a été notre hantise, notre angoisse, dès le
début.
Suite à une fin de grossesse
difficile, la naissance a été provoquée et faite par césarienne. Du fait de la
distance qui nous séparait, Damien est allé avant moi pour être présent le jour
J. A cause de problèmes professionnels, je n'ai pu me rendre pour la naissance
donc je les ai rejoints 2 jours après. La sensation au moment du contact avec
mon petit bout d'ange est indescriptible. Puis le séjour à la maternité s'est
passé avec quelques aléas et le jour de la sortie avec notre fée, nous sommes repartis
pour la maison avec Tom.
Les premières nuits, nous sommes
restés dormir avec lui dans sa chambre. Au moindre bruit, on décollait du lit !
En y repensant, on en rit ! Les questions que l’on se pose, tous les parents
autour de nous se les sont posées aussi, donc finalement, que l'on soit
homme-homme, homme-femme ou femme-femme, on a les mêmes angoisses.
> Vis-à-vis de Tom, quelles sont
tes craintes aujourd’hui ?
Nos craintes pour Tom ? Quel
parent n'a aucune crainte pour son enfant ?
Au-delà de la santé, de son équilibre et de tout le reste, j'ajoute son
insertion scolaire, le regard des autres enfants, des questions que les autres
pourraient lui poser. Après au sein de notre famille, il saura comment il est
venu au monde, il saura qui est la femme qui l'a porté, il pourra même, si il
le souhaite, la rencontrer. Il est vrai que nous avons fait notre enfant
égoïstement mais aujourd'hui, maintenant qu'il est avec nous, je me pose mille
et une questions mais toujours sur la même chose : le regard des autres. Le regard
des autres m'effraie pour lui… les gens sont cruels
> Comment vis-tu le fait que tu ne
sois pas « génétiquement » affilié à Tom ? (NB : Damien est la papa génétique de
l’enfant)
Pour ma part, je le vis plutôt
bien. Il n'y a aucune différence entre Damien et moi. Bien avant que le projet
soit au stade de recherche de la mère porteuse, il était clair que Damien
serait le père de l'enfant. Nous en avions longuement discuté avant et pour
moi, c'était comme ça. Et puis de toutes manières, il fallait bien que l'un
d'entre nous se « dévoue » (rires).
Après les gens bien pensants viennent déverser leur venin en disant "Tu
aurais du être le père parce que si jamais vous vous séparez, il pourra
t'empêcher de voir l'enfant, tu n'as aucun droit sur lui." A ça, je réponds
que c'est « le risque du jeu », et puis on n’en est pas là, et l'enfant a son
mot à dire aussi. Si il veut me voir, son père serait vraiment un idiot de l'en
empêcher. Mais je connais mon homme, même si ça se passe mal, il est très
intelligent et jamais il ne fera une chose pareille.
> Vous avez eu un petit garçon.
Pour toi, cela aurait-il changé quelque chose que l’enfant soit une fille ?
Moi je voulais une fille et Damien un garçon,
mais je suis content que ce soit un petit mec finalement. Au moins on sait
comment ça fonctionne ! (rires) Mais je suis certain qu'on s'en serait sortis
avec une fille, dans ma belle famille, elles sont assez nombreuses pour donner
des conseils !
> Pensez-vous recommencer pour
avoir un 2e enfant ?
Nous aimerions bien avoir un 2e
enfant, si c’est une fille cette fois-ci (rires) ! Plus sérieusement, il va falloir nous laisser
le temps de renflouer les caisses. Ça me plait beaucoup de pouponner, je
n'aurai pas voulu passer à coté de ça, et je ne vois pas mon fils sans frère ou
sœur. Même si il a de nombreux cousins
et cousines. Dans ma belle famille, les cousins sont grands et dans ma famille,
mes frères ne sont pas encore prêts a être parents donc le pauvre Tom se
retrouve seul au milieu de ses grandes personnes donc oui j'aimerai lui
apporter la joie d'être à deux, mais pas pour tout de suite.
> Quels conseils donnerais-tu à un
couple pensant à faire la même démarche ?
Les conseils que je peux donner
aux autres personnes, c'est de ne pas perdre espoir, tout peut arriver, nous
nous estimons très chanceux mais notre couple a eu des hauts et des bas car il
y avait là l'intrusion d'une personne
étrangère dans notre relation. Il faut être très soudé, et savoir faire des
concessions, énormément de concessions… Nous n'avons pas eu une année très
facile, je peux le dire, mais le jeu en vaut la chandelle. Ca aussi, je peux le
dire. Et même si Tom n'est pas de moi, je ne m'aurais jamais cru capable d'aimer
autant quelqu'un d'autre que mon homme.
(*) Les prénoms ont été modifiés pour préserver l'anonymat des personnes.
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Ca faisait bien longtemps que je n'avais pas posté une p'tite recette. Pourtant, j'essaie régulièrement de nouveaux trucs qui se révèlent délicieux. Mais Ladyblogue n'étant pas un blog de cuisine (nan...), je ne m'attarde pas dessus. Mais j'ai testé hier la recette de tarte Tatin de Pierre Hermé, et là, je ne pouvais pas ne pas vous donner la recette.
A la base, j'adore la tarte Tatin. J'avais l'habitude d'en faire. Mais là, celle-là, celle de Pierre Hermé est juste à mourir par terre. Une tarte Tatin hallucinante qu'on ne croirait jamais pouvoir/savoir faire ! Une tuerie. Un truc de malade.
Ingrédients :
> pour la pâte :
- 200 g de farine
- 75 g de beurre mou
- 1 oeuf
- 30 g de sucre
- 1 pincée de sel
(Nota : avec une pâte sablée achetée dans le commerce, c'est aussi très bon...)
> pour la garniture :
- 1,5 kg de pommes (+ ou - 7 pommes)
- 150 g de sucre en poudre
- 80 g de beurre demi-sel
Préchauffer le four à 180°.
Préparation :
Préparer d'abord la pâte :
Avec les doigts, mélanger la farine, le sucre, le sel.
Ajouter le beurre en petits morceaux. Ajouter l'oeuf, et pétrir jusqu'à ce que
la pâte se décolle des parois. Former une boule, filmer et garder au
moins 30 min au frigo.
Pendant ce temps, préparer la garniture : éplucher les
pommes et les couper en 4.
Dans une casserole, caraméliser le sucre à sec. Lorsqu'il a
une belle couleur ambrée, ajouter le beurre et laisser le fondre. Verser le
caramel dans le moule, puis déposer les pommes au fond du moule, côté bombé
vers le fond. (Astuce : pour que les pommes aillent bien contre les bords du
moule, couper les quarts de pomme d’un côté, et les mettre bien contre le
bord). Recouvrir d'une 2e couche de pommes. Boucher les trous avec des quartiers
coupés en morceaux. Mettre au four 30 minutes à 180°.
Etaler votre pâte. Faire un cercle de pâte plus grand que le diamètre de votre moule (2cm de plus environ). Piquer la pâte avec une fourchette, puis la déposer sur les pommes. Replier les bords vers l'intérieur.
Remettre au four pour environ 20 minutes, jusqu'à ce que la pâte soit bien dorée.
Démouler dès la sortie du four. Déguster tiède avec un petit
pot de crème fraîche.
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Je viens de terminer "Le livre de Joe" de Jonathan Tropper. Je pourrais vous écrire des tonnes de choses sur ce bouquin tellement l'histoire m'a emballée, l'écriture littéralement séduite et les personnages vraiment touchée. Je pourrais vous raconter l'histoire, vous donner mon avis sur telle et telle chose, vous déballer tous les argument pour vous donner envie de le lire.
Je pourrais tout cela.
Mais je ne le ferais pas.
"Le livre de Joe" est le genre de roman qui n'a besoin ni d'explication ni de justification.
Faites moi confiance et promis, vous passerez un moment délicieux plein d'émotions et d'humour et regretterez que le livre ne fasse que 411 pages.
Extrait :
« Tu te souviens des vieux dessins animés du Coyote, dit-il,
quand le coyote se précipitait d’une falaise et qu’il continuait à courir
jusqu’au moment où il baissait les yeux et réalisait qu’il cavalait dans le
vide?
- Ouais
- Eh bien, je me suis toujours demandé ce qui lui serait
arrivé s’il n’avait pas regardé en bas. Est-ce que l’air serait resté solide
sous ses pieds jusqu’à ce qu’il ait atteint l’autre bord du précipice? Je pense
que oui, et je pense qu’on est tous comme ça. On s’élance pour traverser le
canyon, le regard fixé droit devant soi vers les choses vraiment importantes,
mais quelque chose, la peur ou un sentiment d’insécurité, nous fait regarder en
bas. Alors, on s’aperçoit qu’on marche sur du vide, on panique, on fait
demi-tour et on pédale à toute vitesse pour retrouver la terre ferme. Mais si
on ne baissait pas les yeux, on arriverait sans problème de l’autre côté. Là où
les choses sont vraiment importantes. »
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Allez-y. Allez-y franco.
Racontez-moi ce que vous voulez. Comme ça, vite fait, sur le vif.
La musique que vous êtes en train d'écouter en ce moment même, le film que vous avez vu hier soir, le livre que vous avez envie de conseiller, le rêve que vous avez fait cette nuit, l'info du jour qui vous a énervé/amusé/étonné, la blague que vous avez en tête.
Racontez votre dernier fou-rire, vos dernières larmes. Déclamez votre amour. Hurlez vos fureurs. Partagez vos folies.
Chuchotez, criez, braillez, gueulez, murmurez...
C'est vous qui choisissez.
Je vous lis, juste là. Juste derrière l'écran. Je vous attends.
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Le maire de ma chère ville, monsieur Bernard Poignant (B.P. : aucun lien avec le monde bancaire ou pétrolier, mais beaucoup avec le P.S.) a écrit aux directions des principales chaînes de télévisions nationales (TF1, France Télévision, M6 et Canal+) de bien vouloir retenir un point de référence météo pour le Sud-Finistère. Actuellement, le seul point retenu est celui de Guipavas (Brest, nord du département, 50 km de Quimper) et celui-çi n'exprime pas, selon lui la globalité de la réalité météo de la région.
Bref, pour faire court et direct, selon monsieur le maire, c'est parce qu'il fait moins beau à Guipavas qu'à Quimper que tout le monde pense qu'il fait moche en Bretagne. Donc railleries, donc moqueries, donc moins de touristes.
1/ Déjà, même si oui, sur l'année, il fait "meilleur" à Quimper qu'à Brest (la pluie est plus chaude ici...), je ne vois pas pourquoi sur la demande d'un maire le fond de carte devrait changer. Dire oui à lui, ca serait dire oui aux prochains. Pourquoi les élus du golfe du Morbihan, de Bréhat ou de l'île de Batz ne réclameraient-ils pas à leur tour leur présence sur la carte ?
2/ Si les touristes se rendent compte que oui, effectivement, il fait beau en Bretagne ; que non, il ne pleut pas plus à Quimper qu'à Paris (quoi ? oui c'est vrai... en tout le cas, ici, on s'en rend moins compte ! ;-), si les touristes prennent conscience de ça, de ce que nous, les bretons, essayons de faire croire depuis des années, mais ca va être le chantier !!! Les touristes vont débarquer et tout nous flinguer ! Ravager nos bords de mer pour planter leurs apparts secondaires en béton et transformer nos villes en musée et nos campagnes en parcs d’attractions géants... Alors, Bernard, chuuuuuuuuutttt, ne dis rien...
3/ Et puis, franchement, y'a autre chose à foutre, nan ?
Enfin... y'en a au moins un qui est d'accord avec Bernard, c'est Eric : Eric de Quimper.
Et vraiment écoutez-le, c'est à mourir de rire.
Lettre adressée aux directeurs des chaînes (source : blog de B.P.) :
"Monsieur le Président,
Je me permets de m'adresser à vous au sujet de l'information concernant
la météorologie que votre antenne diffuse plusieurs fois dans la
journée. Ainsi, pour la région Bretagne et le département du Finistère,
c'est la station météo de Guipavas (Brest) qui est citée en référence.
La météorologie est une science qui cherche à prévoir. Elle ne peut pas
promettre. Mais il y a des situations géographiques des départements qui
ne se ressemblent pas.
A titre d'exemple, le Finistère est le seul département français bordé
par deux mers : la Manche au Nord, l'Océan Atlantique au Sud. C'est donc
le seul département qui devrait exiger une double information.
Sachant que vous en disposez, je vous suggère qu'à l'avenir, au moins
pour ce département, vous puissiez indiquer à vos téléspectateurs deux
chiffres ; l'un pour le Nord, l'autre pour le Sud.
Je suis certain que vous comprendrez que le Finistère, étant un
département de bout de péninsule, il ne peut être traité comme les
autres.
Restant à votre disposition,
B. P. "
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Ceux où l'on sait dès les premiers instants que ca va le faire grave (yo !). Des mariages où l'on voit bien les mariés, comique de répétition oblige. Des mariages où l'on côtoie le show-business avec des Zazie Dion, des Guillaume Canet, des Tom Novembre, des Jude Law, des Moncul Surlacommode. Des mariages où l'on rencontre des retourneurs de pancartes (mais j'ai rien vu, rien entendu...) (fous toi bien bien de ma gueule !) et des voleurs-tueurs de poules en "ette" (?). Des mariages où la fameuse pièce montée est kouign-ammanée de haut en bas et de bas en haut. Des mariages où le ciel est bleu, où les artis sont chauds comme la breizh (et 2e place mon Capitaine !), où les petits monts se mêlent aux grands, de la table animale aux écluses à 2 euros. Des mariages où l'on rencontre des parisiennes pas si risiennes que ça, même plutôt pas mal du tout, même si elles n'aiment ni beurre ni lait ni sel ni crème. Des mariages où des nantais nous réconcilieraient presque avec le décret de Vichy tellement qu'ils sont adorables et poilants (même chauve).
Des mariages comme ça, il en existe peu. Et putain, ils font du bien. Ils nous envoient à la gueule des instants excessifs - tout ce que j'aime, des instants qu'on voudrait plus longs, plus fréquents.
Dites les deux amours ? Vous vous remariez quand ?
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Chiottissime ! Une expo qui affiche, en grand format, et à ciel
ouvert, une cinquantaine de photos de toilettes des
quatre coins du monde, de Paris à Beyrouth, du Pakistan à Berlin, 31
pays au total. Apparemment, à lire les critiques sur le net, l'expo vaut le détour. Des
photos, pour certaines prises par de grands noms
(Eve Arnold, Willy Ronis, Guy Le Querrec, Robert Doisneau...) qui offrent un panorama éclectique, insolite, souvent drôle, parfois
plus sombre, des toilettes des cinq continents.
On doit l'initiative au SIAAP (Service interdépartemental pour l'assainissement de l'agglomération parisienne, gérant le circuit des eaux usées) qui sort donc ses plus belles toilettes pour célébrer ses 40 ans.
Une expo à ne pas manquer pour le plaisir des yeux mais également pour une prise de conscience. Chiottissime ! nous rappelle notamment que l’absence d’équipement d’assainissement de l’eau dans de nombreuses régions de la planète provoque de nombreuses maladies (comme la diarrhée) et tue 5 000 enfants par jour dans le monde. Tandis que chez nous, fournir du papier toilette à chacun entraine l'abattage de 270 000 arbres par jour...
Exposition "Chiottissime !", boulevard de la Bastille, Paris 12e, jusqu'au 20 octobre 2010. Entrée libre et gratuite.
Si vous habitez loin de Paris, vous pouvez toujours aller faire un tour sur le site : http://www.toiletzone.net, le site qui (soit-disant) donne envie d'y aller. En plus de vous donner des conseils décos pour vos petits coins (attention les yeux), vous pourrez voyager de chiottes en chiottes grâce à la rubrique "Tour du monde".
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Après le single "Avant l'amour", voici en exclusivité le dernier titre de Zazie "Être et avoir" (single issu du mini-album "On sort").
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"Poverty tells many stories"
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(Plusieurs réponses possibles)
1/ Je suis contre, je suis contre et puis c'est tout, c'est tout !
2/ Je suis pour, je suis pour et puis voilà voilà.
3/ Allo patron ? Je suis en plein dans les bouchons... je ne serais pas à l'agence avant minimum 2h30... (et vous ne mentirez pas.)
4/ Allo patron ? Je suis en plein dans les bouchons... je ne serais pas à l'agence avant minimum 2h30... (et vous mentirez... vous vous êtes juste levé(e) 2h30 en retard.)
5/ Allo patron ? Je ne pourrais pas venir bosser aujourd'hui, il y a grève d'école... je dois garder mes enfants... Je suis obligé(e) de poser un jour de congés...
6/ Scoot(er) toujours !
7/ Ladyblogue... je t'aime.
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La Kestion Passikon # 35 :
Pourquoi les vaches ont l'intérieur des narines roses ?
Ben ouais... (franchement; où nos gamins vont-ils chercher ces questions ?)
Retrouvez toutes les kestions passikons ici.
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Elle est plus que jolie, elle a un corps de panthère, elle a un tempérament de feu, elle "soul" grave et elle a une voix incroyable.
D'une culture camerounaise et française, Sandra Nkaké mêle avec perfection jazz, soul et R&B. Bill le Boss me l'a fait découvrir, à mon tour de partager.
Bon dimanche.
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Certain Renard Gascon, d'autres disent Normand,
Mourant presque de faim, vit au haut d'une treille
Des Raisins mûrs apparemment,
Et couverts d'une peau vermeille.
Le galand en eût fait volontiers un repas ;
Mais comme il n'y pouvait atteindre :
"Ils sont trop verts, dit-il, et bons pour des goujats.
"
Fit-il pas mieux que de se plaindre ?
("Le renard et les raisins", Jean de La Fontaine)
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Logiquement Mesdames, si vous suivez un tantinet l'actualité, vous devez être au courant. Mais pour toutes celles qui, hier, étaient trop absorbées (ou liquéfiées) par la rentrée de leurs petits marmots, je vous rappelle quand même la bonne (ou pas) nouvelle : hier, Zara a ouvert une boutique en ligne : www.zara.com.
Via son e-shop, l'enseigne de prêt-à-porter espagnole promet les mêmes prix qu'en boutique (tout le monde s'ébahit sur ce point... c'est quand même la moindre des choses...) et propose à l'acheteur/teuse de se faire livrer soit à son domicile, soit dans le Zara de son choix (services de base, quoi.)
Evidemment je suis allée faire un tour sur le site.
Très déçue.
Déjà, le site merde à fond. Plusieurs pages/rubriques, inaccessibles, s'affichent en erreur. On aurait pu penser qu'une marque comme Zara peaufine un peu plus sa plateforme technique...
Autre déception : pas de "bons plans", pas de rubrique "fin de série" ou même d'exclusivités web. J'imagine que c'est voulu, que ca fait partie de la stratégie commerciale de l'entreprise (ou alors, les petits gars, faut changer d'équipe marketing...), mais je trouve ça con.
Enfin, rien à voir avec le site en lui-même, mais quand même, dernière déception : la collection automne-hiver 2010 est tout simplement hideuse (je parle de la mode femme).
Robes aux imprimés rétro-vintage-mémère importables-improbables, pantalons en suédine imprimés à fleurs drapés en bas (ils font un concours les stylistes chez Zara ? La tenue de conne...), et je vous en passe...
Le tout porté par des mannequins au diamètre des cuisses identique à ceux de mon petit doigt (les salopes !).
Enfin, avec 4,5 millions de fans sur facebook, la boutique Zara.com a surement de beaux jours devant elle. Mais sans moi. (Pour l'instant.)
Quelques-unes de mes visions d'horreur...
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Les vacances sont terminées et déjà, je ne peux m'empêcher de penser aux prochaines.
Les vacances sont terminées.
Toujours trop courtes. Toujours trop "pas assez".
Toujours.
On regarde dans l' rétro et on se dit des "et puis quoi ?", des "et après ?" et des "tout ça pour ça ?".
Les vacances sont terminées.
Et je repense à une phrase de Pierre Daninos : "Le farniente est une merveilleuse occupation. Dommage qu'il faille y renoncer pendant les vacances, l'essentiel étant alors de faire quelque chose."
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