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Lors de la fashion week de Milan, Vivienne Westwood a dévoilé sa collection homme automne/hiver 210. Je suis tombée dessus et vraiment - mais alors "vraiment" - j'ai eu le coup de coeur.
Un style, comme toujours avec Westwood, déjanté, que certains trouveront sans doute ridicule et qui moi, m'a beaucoup séduite.
Porter du Westwood, c'est imposer, c'est convaincre, c'est séduire, c'est être.
Messieurs, allez-y !
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Je l'ai découvert depuis quelques mois déjà et je suis réellement tombée amoureuse de son travail.
Il est capable d'aborder des sujets très variés (portraits, mode, pubs, projets artistiques déjantés, érotisme...) toujours avec un sens de l'esthétisme au plus juste et un regard sans complexe.
Très très difficile pour moi pour faire une petite sélection. So...
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Les collants, c'est comme les chaussettes, c'est con, c'est moche, mais on est bien obligé d'en mettre. Alors, évidemment, on privilégie les bas ou ça.
Mais si on veut porter du très court, du très très court, comment on fait ?
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Le collectif UrbanPorn
a lancé un projet plus que poilant : une exposition photo participative et évolutive appelée "Culture Touf".
L'idée ? Chacun et chacune d'entre nous est invité(e) à poser
un regard décalé sur ses poils (ou ses non-poils) pubiens et à partager ses créations.
Du vrai Do it Yourself érotique.
Tout le monde peut participer : les hommes (le laid, le beau, le dure, le mou qui a un grand cou, le gros touffu, le p'tit joufflu, le grand ridé, le moins pelé...) comme les femmes (en ticket de métro, en tablier de sapeur, rasée, épilée ou en buisson, version angora ou version lisse...).
Le diaporama de l'exposition est ici.
Vous êtes intéressé(e) ? Envoyez vos photos à Urban Porn à l'adresse suivante: [email protected].
> Pas de limite dans le nombre d'envoi.
> Pas de limite timing, puisque l'exposition, sur le net, est évolutive.
> Résolution minimum : 5 mégapixels (= dimensions 2592 x 1944 pixels min.).
Et si vous envoyez une photo, envoyez-là moi aussi pour publication sur le blog. L'anonymat sera gardé.
Voici quelques photos de participant(e)s...
(Merci à Mister Bear pour l'info.)
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(Nota : Billet mis en ligne le 31 octobre 2008. Je suis tombée sur lui il y a quelques jours... Un grand bond en arrière, quand j'étais dans "mon" ancienne agence, entourée de connasses. J'ai bien ri en le relisant.... So...)
... entre elles.
Et vas-y qu'on dévisage... et vas-y qu'on dé-corps-tique des
pieds à la tête... qu'on observe le boulot, à l'affût de la moindre erreur...
qu'on jalouse, l'air de rien, les nouvelles chaussures, le nouveau pantalon...
qu'on cherche une tournure pour en dire du mal.
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Ca souffle. Les pieds dans la neige. Les yeux aussi. Gros
blouson. Le portable dans la poche. La tempête plein les oreilles. Je regarde
les autres. Comme moi, têtes baissées, cheveux en vrac, les corps se débattant
contre le vent. Blanc. Que du blanc.
En haut d’une colline.
On regarde tous la ville, dans la vallée, là-bas au loin. Un paysage apocalyptique. Une ville très urbaine, complètement cramée. Noir. Que du noir. Pas un mouvement. Tout a l’air figé. Noir et figé.
Dans la ville.
On entre dans un bâtiment. Tout est sens dessus dessous. On ne voit rien. On se donne la main et on avance dans le noir à la file indienne. On se baisse, on enjambe, on se faufile, on saute. On cherche d’autres rescapés. Il doit bien y en avoir. En rester. Oui. On les voit. Une quinzaine. Avec nous, ça doit faire un petit peu moins de vingt-cinq. Leurs vêtements sont déchiquetés. Il y en a qui mesurent 5 cm. Un phénomène étrange les a touché. Ils nous expliquent que nous sommes tous prisonniers. Y’a des méchants dans le secteur.
Dans une pièce, avec un homme en vert.
L'homme ferme soudainement la porte. Une grande porte coulissante
qui se ferme de haut en bas. Ca nous coupe des autres. « Pourquoi tu as
fait ça ? » « Nous avons 11 heures. 11 heures pour
creuser. » « Mais pour creuser quoi ?? » Avec un calme
déconcertant, il m’explique que les méchants nous ont donné un gage. On doit
creuser dans le sol (du béton…) pour niquer les tuyaux de je-ne-sais-quoi et
piéger nos amis. Certains mourront. Il me dit que c'est horrible mais que nous
n’avons pas le choix. Ce sont eux ou nous.
La fameuse grande porte n’est pas fermée à fond. Je peux
voir les pieds des autres, de nos amis, dans la pièce d’à-côté. Je vois aussi
des visages, certains sont allongés, les joues à même le sol, pour voir ce qui
se passe par ici.
Le visage d’Amanda Lear apparaît. Son rouge à lèvres rouge a coulé. Sa tête est déformée.
Après ça, qui peut dire que j’ai des nuits normales ?
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L'histoire
Par le passé, Gipi avait écrit un récit basé sur le souvenir
de son père récemment disparu. Il poursuit cette veine autobiographique avec
'Ma vie mal dessinée'. S'adressant directement à ses lecteurs, Gipi nous fait
tout partager : ses peurs, ses maladies, ses souffrances, ses inhibitions, ses
descentes aux enfers, mais aussi ses amitiés, ses réflexions, ses bonheurs.
Mon avis
C'est sur que si vous avez lu l'histoire au-dessus (le blabla que l'on trouve partout et qui est sensé décrire le livre... mon cul sur la commode...), ça donne pas super super envie de le lire. Et pourtant, pourtant, vous passeriez à côté d'une vraie pépite, d'un véritable brio artistique.
Gipi nous raconte, en jonglant dans tous les sens,différentes parties de sa vie : ses mystérieux problèmes de santé concernant son pénis, ses visites médicales, sa famille, son enfance et ses peurs, son adolescence déjantée, la drogue, ses galères...
Gipi se met à nu avec une dérision éclatante et avec beaucoup d'émotion. Bien qu'on accroche à l'histoire dès LA première page, le début pourraient faire penser à un livre décousu, limite improvisé mais on sent très vite qu'au contraire, Gipi est dans la maitrise totale. Côté graphisme, même sentiment que pour l'écriture, son coup de crayon minimaliste est fluide, précis, au rythme de sa narration, en mouvement, avec des cadrages impeccables.
Un livre fort, fou, insoumis, beau à l'écriture et au graphisme magistraux.
Ma note
18/20.
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Dépouillement.
Sensualité du piano.
Fort.
En boucle.
Vraiment.
oh nothing's gonna change my love for you,
I wanna spend, my life with you,
So we make love on the grass under the moon,
No one can tell, damned if I do
forever journeys on golden avenues,
I drift in your eyes, since I love you
I got that beat in my veins for only rule,
Love is to share, mine is for you...
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Tous les jours, comme 62% des familles françaises, j'achète du pain. Je n'aime la baguette que je trouve trop sèche, pas assez savoureuse (0,75 euros), donc j'achète une flûte Gana, plus chère (1,15 euros) mais mille fois meilleure.
Et puis, aujourd'hui, zou, je vais chercher ma flûte et hop, que me dit ma boulangère ? "1,20 s'il vous plaît !". Ben flûte !
Ni vu ni connu, 0,05 cents d'euros d'augmentation.
Alors on peut se dire, "ouais, 0,05 cents, c'est pas grand chose." Mais si on calcule un peu, on s'aperçoit au bout du compte que 0,05 cents peut donner des sommes considérables...
En comptant une vente de 100 Ganas par jour (moyenne basse), le calcul est rapide. 0,05 x 100 Ganas x 365 jours : on arrive à 1 850 euros par an en plus dans la poche du boulanger. J'aimerais avoir la même augmentation ! (Bill si tu me lis...)
Et sachant que mon cher boulanger avait déjà augmenté sa Gana début 2009 de 0,05 euros (de 1,10 à 1,15 euros), je me dis qu'être boulanger, c'est carrément le bon plan.
Et encore, ce calcul n'est QUE sur la Gana ! J'ai pas fait gaffe à la baguette, si elle avait augmenté ou non, mais c'est sûrement pareil. Et 0,05 euros d'augmentation sur la baguette, vu le nombre vendu par jour (entre 200 et 400 selon les boulangeries), c'est carrément le jackpot assuré (entre 3 650 et 7 300 euros annuels tout bénéf).
Avant on disait à son enfant "soit docteur", en fait, maintenant, il vaut mieux dire "soit boulanger, mon fils !".
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La kestion passikon # 33 :
90% des accidents arrivent à 10 kilomètres de chez soi. Ne serait-il pas plus simple de déménager ?
Bah ouais !
Retrouvez toutes les kestions passikons ici.
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Ouais, aujourd'hui, je vais faire ma ronchon. Et vous avez de la chance (ou pas), parce qu'en la matière, je suis au top. Ronchon en ce début d'année ? Oui, justement, ronchon PARCE QUE début d'année. Parce que début d'année voit forcément les "Bonne année" et "Meilleurs voeux".
On va entendre ces mots-là une quinzaine de fois par jour (moyenne basse), du collègue à la maîtresse d'école en passant par le fournisseur, le confrère, la caissière, le pharmacien, le serveur, la cliente, le frangin, le facteur, Vertbaudet, La Redoute et toussa.
Et moi, ca me saoule.
Ca me saoule, car personne ne dit ça avec ses tripes... ou au moins avec son coeur... ou au moins avec sa tête.
"Bonne année" comme un "j'm'en fous"...
Un "Meilleurs voeux" entre cinquante autres "Meilleurs voeux" d'avant et 150 autres "Meilleurs voeux" d'après.
L'ado va souhaiter la bonne année à Mère-Grand en espérant grapiller un bifton de 50 euros, la boulangère va nous tartiner de ses meilleurs voeux chaque jour du mois de janvier en espérant nous vendre plus de galettes, les politiques en espérant nous prendre pour des cons.
Le "Bonne année" rejoint donc la série de mots qui sont "offerts" sans aucune saveur, au même titre que le "comment vas-tu ?", "je te promets..." ou encore "je t'aime".
Je vous l'avais dit, aujourd'hui, je fais ma ronchon.
Aujourd'hui, je ne vous souhaite donc pas une bonne année... car moi, la bonne année, je vous la souhaite tous les jours.
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Ces derniers jours ont été chargés de choses à fêter... Mon 1000e billet, mon anniv, Noël, le Jour de l'An...
Mais il y a eu autre chose.
Importante pour moi.
Le 22 décembre dernier, mon blog, Ladyblogue, fêtait ses 4 années d'existence.
Au début, je ne savais pas dans quel monde je rentrais. Je ne savais pas que j'allais m'y plaire à ce point. J'avais créé Ladyblogue en pensant que cela n'allait pas durer. Et puis si. Me voilà encore là, 4 ans plus tard. Parce que j'aime ça. J'aime écrire, j'aime cet électisme, j'aime ces échanges, j'aime vous lire, j'aime savoir que vous êtes là, juste derrière.
J'ai cherché quoi faire comme petit truc pour fêter "l'évenement". Recherche dans mes archives, apprentissage d'un logiciel de montage vidéo et hop, voici le résultat.
Pour tour dans ces quatres dernières années, dans ma petite vie, dans mon petit moi.
Encore une fois, merci d'être là.
Je vous embrasse.
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Ici, vous n'êtes pas chez Ruquier.
Merci verres moelleux et corsés.Rédigé par Ladyblogue dans : Cité | Lien permanent | Commentaires (7) | TrackBack (0)
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Réveillon de la Saint-Sylvestre...
Certains iront à une soirée costumée, d'autres à une soirée cabaret. Certains iront danser sur "Tu pues du cul" de Frankie Vincent, d'autres sur "Come On And Move Your Body" de DJ Boiler.
Certains recevront des amis, d'autres se sont fait inviter. Certains resteront en couple, à la maison ou au restau, d'autres resteront seuls à regarder le grand cabaret de Patrick Sébastien.
Et vous, vous ferez quoi ?
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Eric Marrian, ancien architecte devenu photographe, m'a littéralement fasciné avec ses clichés en noir et blanc autour, notamment, du corps féminin.
Difficile de faire un choix... Voici quelques photos.
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Bon, je vous l'avais dit... c'est fait. Mes divines sont vaccinées.
2e injection dans 3 semaines.
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Oui, je sais, "Ouf-nouf-nouf" est un titre bizarre pour une note (et pour tout autre chose). Certes, j'en conviens. Mais c'est ce qui m'est passé par la tête quand je cherchais à synthétiser le sujet (court) de ce billet.
Car voilà l'info du jour : JE SUIS EN VACANCES !
Alors : Ouf-nouf-nouf !!!!!!!
(Et si il y a des personnes qui arrivent sur mon blog en ayant tapé dans Google ou ailleurs ce mot-clé, je ne comprends plus rien au web...) (Bon, ok, je n'y comprends déjà pas grand chose...) (mais bon, je ne suis pas nulle hein !?) (j'ai les bases quoi ! ) (parce que quand même y'en a qui arrivent ici en ayant tapé "orgasme avec un bois de lit", alors merde !!!) (mais faut que j'arrête d'ouvrir et de fermer des parenthèses car normalement, cette note est terminée...) (enfin peut-être mais après tout je fais ce que je veux, c'est mon blog à moi rien qu'à moi !) (et hop, une dernière, juste pour avoir le plaisir d'en ouvrir et d'en fermer une autre !) (Et toc !) (OUF-NOUF-NOUF !)
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Mais mes anniversaires ont changé de goût.
Avant, c'était l'effervescence des questions : Que va-t-on faire ? Un resto ? Un dîner entre potes ? Un tête-à-tête ? Que vais-je avoir comme cadeaux ? Vais-je avoir des surprises ? Des fleurs ? Que vais-je faire comme gâteau ? Les bougies seront-elles jolies ? Quel voeu ferai-je ? Bref, que des trucs bien.
Et puis ça glisse.
Les années passent et je trouve de moins en moins de plaisir à fêter ce jour qui nous rappelle avec rudesse que le temps s'envole. Avec ou sans nous.
Pas nécessairement la peur de vieillir - même si oui, à choisir, je m'arrêterais bien là - mais plutôt une sorte de regard intérieur, une introspection sur la satisfaction, un questionnement sur le basique.
Bref... pas des instants propices aux scintillements des bâtonnets d'artifice, aux ballons pseudo-colorés, aux rires cache-misère.
Aujourd'hui, j'ai un an de plus.
Un peu plus qu'hier. Un peu moins que demain. Juste un an de plus aujourd'hui.
Ca ne change pas la face du monde.
C'est peut-être ça le truc.
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Les blogs, c'est des billets, des vidéos, des photos, des commentaires, des fritages, des rencontrages et aussi des taguages !
Me voilà donc taguée. Les règles sont simples.
> Remercier le gentil camarade de blog : Merci.
> Copier une image : j'ai eu la flemme...
> Mettre le lien du blog qui régale en évidence : fait.
> Raconter 7 choses inconnues sur soi : voir plus bas.
> Faire l'offrande à 7 amis bloggers : heu... qui veut prend...
> Ajouter leur lien dans ses favoris : heu... là... je fais ce que je veux d'abord.
> Leur annoncer qu'ils doivent à leur tour se dévoiler, et
...partir en courant ! : que nenni !
Donc, pour ceux qui ont eu la flemme de lire tout le préambule, je "dois" vous raconter 7 choses que vous ne connaissez pas sur moi. Ca fait plusieurs jours que je réfléchis et je me suis dit qu'on allait faire l'inverse.
Dites-moi ce que vous voulez savoir sur moi et je répondrai. Ou pas !
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1/ Le nez dans un logiciel de montage vidéo. Vous verrez bientôt pourquoi. Ou pas.
2/ Le nez dans la peinture noire. Décidément, y'a que ça de vrai. En attendant le rouge.
3/ Le nez dans les catalogues de jouets. Pas tout à fait fini... Et la date approche !
4/ Le nez dans mon autre blog, Alter Ego. Je me sens de plus en plus attirée. J'y suis bien.
5/ Le nez dans les cheveux de mes Divines. Revenir à la source, prendre des forces.
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Quand on imagine une pub pour Carrefour Discount, on imagine un truc con-con avec gros plan sur des carottes, des bonnes patates et une bonne tête de ménagère.
Carrefour Discount a voulu joué, Carrefour Discount s'est lancé et Carrefour Discount a gagné car moi, ce genre d'humour : j'a-do-re !
Pour une première dans le genre décalé, c'est bien trash !
ENJOY !
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Il y a des chansons qui restent, qui marquent, qui rappellent, qui soulèvent, qui entraînent, qui illuminent.
Celle-çi, pour moi, fait tout ça à la fois.
Plusieurs versions.
Version Barbara
Version Patricia Kass
Découvrez la playlist L'aigle noir avec Killers
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Pour Charlotte, à gauche, votez 1.
Pour Yvonne, au milieu, votez 2.
Pour Monica, à droite, votez 3.
(Photos : Rasmus Mogensen)
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L’objectif du sommet sur le changement climatique qui se tient depuis hier à Copenhague et ce jusqu'au 15 décembre en présence de 70 chefs d’État
et de gouvernement, est de trouver les moyens de faire baisser les
émissions de gaz à effet de serre. La survie de planète dépend de deux petits degrés à éviter coûte que coûte. Famines, migrations, sécheresses et inondations… : l’avenir que nous
promet le réchauffement est catastrophique.
Greenpeace, comme nous tous, attend beaucoup (enfin... attendons-nous vraiment quelque chose ?) de ce sommet. Avec l'aide de l'agence britannique ARC Communication, elle a lancé une campagne d'affichage mettant en scène les principaux chefs d'état invités.
Nous sommes en 2020, ils ont 11 ans de plus et nous disent : « I’M SORRY. We could have stopped catastrophic climate change… We didn’t ».
Espérons.
Pour voir toutes les déclinaisons, c'est juste là.
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Je suis encore sous le choc.
Je viens de visionner cette publicité et vraiment, je l'ai trouvée incroyablement percutante.
Réalisée par l'agence Saatchi & Saatchi pour l’association Innocence en Danger, cette pub encourage l'entourage des victimes à parler à la place des enfants.
Regardez.
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Mercredi dernier, le 2 décembre à 21h00, -M- donnait sur la station de radio France Inter un concert privé. C'était THE évènement musical de la semaine, le truc à ne pas rater.
Je vous en avais parlé à plusieurs reprises dans mon carnet de bord (colonne sur à droite), j'attendais cette date avec impatience.
Et puis le boulot, et puis les enfants, leur repas à préparer, les histoires à lire avant le dodo... bref, il était déjà 21h30 passé quand je me suis souvenue du concert.
Pétard de chiottes de sa mère de sa race, j'avais loupé le début !!!!!!
Quoi qu'il en soit, j'ai réussi à enregistrer le reste, soit plus d'une heure de concert de Mathieu Chédid.
Et vous savez quoi ?
Si vous avez loupé THE événement ou si vous voulez réécouter ce fabuleux moment, SuperLady a pensé à vous !
Attention : le lien n'est valable que pendant 7 jours !
Merci qui ?
(Et si quelqu'un a les 30 premières minutes : je prends !!!!!)
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Etant cadet d'une famille aristocratique, l'abbé Gabriel-Charles de Lattaignant dût épouser la
cause ecclésiastique, mais s'octroya bien des écarts en s'encanaillant
dans les cabarets et en s'adonnant à la galanterie.
Ce poète et chansonnier (auteur notamment d’une partie des paroles de « J’ai
du bon tabac »… Wouu la référence !) a composé dans un style élégant un poème tout en nuances coquines, mutines et linguistiques intitulé "Le Mot et la Chose".
Six
couplets de huit vers qui ne comprennent pas d'autres rimes alternées que les
substantifs « mot » (28 fois) et « chose » (29 fois).
Performance.
********
Le Mot et la Chose
Madame, quel est votre mot,
Et sur le mot et sur la chose ?
On vous a dit souvent le mot,
On vous a fait souvent la chose.
Ainsi, de la chose et du mot
Vous pouvez dire quelque chose
Et je gagerais que le mot
Vous plaît beaucoup moins que la chose !
Pour moi, voici quel est mon mot
Et sur le mot, et sur la chose :
J'avouerai que j'aime le mot,
J'avouerai que j'aime la chose
Mais, c'est la chose avec le mot
Mais, c'est le mot avec la chose ;
Autrement, la chose et le mot
A mes yeux, seraient peu de chose.
Je crois même, en faveur du mot
Pouvoir ajouter quelque chose
Une chose qui donne au mot
Tout l'avantage sur la chose
C'est qu'on peut dire encore le mot
Alors qu'on ne fait plus la chose.
Et pour peu que vaille le mot,
Mon Dieu, c'est toujours quelque chose !
De là, je conclus que le mot
Doit être mis avant la chose
Qu'il ne faut ajouter au mot
Qu'autant que l'on peut quelque chose
Et pour quelque jour où le mot
Viendra seul, hélas, sans la chose
Il faut se réserver le mot
Pour se consoler de la chose !
Pour vous, je crois qu'avec le mot
Vous voyez toujours autre chose
Vous dites si gaiement le mot,
Vous méritez si bien la chose,
Que pour vous, la chose et le mot
Doivent être la même chose.
Et vous n'avez pas dit le mot
Qu'on est déjà prêt à la chose.
Mais quand je dis que le mot
Doit être mis avant la chose,
Vous devez me croire à ce mot,
Bien peu connaisseur en la chose !
Eh bien, voici mon dernier mot
Et sur le mot et sur la chose
Madame, passez-moi le mot
Et je vous passerai la chose !
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Bon, ça y est, j'ai reçu mon papier pour aller me faire vacciner contre la grippe A. Moi et mes enfants, puisque mes deux filles sont sur ma Carte Vitale. (Le père, on s'en tape !)
Evidemment, vu la température générale, je me suis posée des questions. Comme tout le monde. Faut-il y aller ? Faut-il avoir confiance ? Qu'est-ce que je risque ? Et mes filles ? Et tout le tintouin.
J'ai mis ici un sondage sur le sujet et plus de 50% d'entre vous ont répondu que jamais Ô grand jamais ils n'iraient se faire vacciner.
Et puis quand même. Le nombre de cas augmente. A ce jour, 3 millions de personnes atteintes ont été recensées en France dont... 86 décès.
La pandémie augmente de jour en jour.
Visite chez mon pédiatre aujourd'hui (non, pas pour Petite Fée, pour Princesse... et oui...) et bien sûr, je lui ai demandé son avis. Je le connais depuis la naissance de Princesse, plus de quatre ans, et ses avis et conseils ont été toujours très pertinents. J'ai confiance en lui. Il a paru étonné par ma question. Pour lui, la vaccination est une évidence. Evidemment, il faut y aller. Les médias attisent le feu. Il ne faut pas avoir peur.
C'est décidé, samedi, j'y vais.
Je vais me faire vacciner et faire vacciner mes filles.
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Le mois de décembre, dans tous les esprits, c'est le mois de Noël, des fêtes de fin d'année.
Mais le mois de décembre, ce n'est pas que ça.
C'est aussi le mois des seaux d'eau, de la Javel, des serviettes qui tentent d'essuyer.
C'est le mois des lessives à répétitions, des gants Mapa, des virus.
C'est le mois du Doliprane, du Vogalen et du Débribat.
Petite Fée est malade. Et les virus, c'est bien connu, ça se partage.
Allez, je retourne me coucher.
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Pour fêter
son deuxième anniversaire, SecondSexe.com lance un grand jeu concours et vous
fait gagner un cadeau de rêve : la réalisation de votre plus grand fantasme !
Laissez vos
pensées vagabonder, trempez votre plume et donnez vie à votre fantasme que vous
nous décrirez sous forme d’une nouvelle. Apparemment banal ou totalement
inavouable, ce n’est pas votre fantasme qui sera jugé mais la sensualité avec
laquelle il sera décrit.
SecondSexe réunira début janvier un jury prestigieux, composé d’artistes, d’écrivains et de personnalités pour sélectionner la nouvelle la plus exaltante, et offrir à son auteure la réalisation de son fantasme.
Passer une nuit extravagante dans un palace, s’exposer sur la scène d’un cabaret prestigieux pour offrir un strip-tease mémorable, partager un moment de haute sensualité au hammam, s’offrir un massage à deux, faire l’amour sur une plage déserte ou devant l’objectif d’une caméra, exprimer sa gourmandise dans tous les sens du terme...
Débridez votre imagination et votre créativité et réalisez peut-être le fantasme de votre vie.
> Date limite : le 31/12/09 à minuit.
> Limite à ne pas dépasser : 3 pages Word maximum (sans compter le nombre de signes).
> Envois de vos textes à l'adresse suivante : [email protected]
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Créée en 1958 par Claude Pasquier, Aubade s’est fait connaître du grand
public grâce à ses fameuses leçons de séduction.
La marque lançait la première sur les abribus il y a maintenant 17 ans et dévoilait sa 100e leçon en septembre dernier.
Comme tous les ans, Aubade sort son tant attendu calendrier.
Ca fait quelques temps qu'Aubade me déçoit avec ses collections mais d'habitude, j'aime beaucoup les photos prises pour ce support. Ce n'est pas le cas pour moi cette année.
A part février (photo du bandeau) et mars, le reste a un goût amer de déjà vu, tant au niveau du produit que de la photo. Bon, c'est certain, la taille, la poitrine, les fesses restent canons, évidemment, mais des jolis corps, on peut en voir partout et pour n'importe quelle autre marque.
Mais Aubade, elle, avait un son propre regard, sa "patte", son oeil, sa "marque de fabrique"... et je trouve qu'elle l'a un peu perdue. Dommage.
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Le 19 juin 1991, au cours d'un dîner-débat du RPR, Jacques
Chirac prononce un discours sur l'immigration. Une bonne partie d'entre vous doit très certainement le connaître. Mais au cas où... voici un extrait :
« Notre problème, ce n'est pas les étrangers, c'est qu'il y a overdose. C'est peut-être vrai qu'il n'y a pas plus d'étrangers qu'avant la guerre, mais ce n'est pas les mêmes et ça fait une différence. Il est certain que d'avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais travaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d'avoir des musulmans et des Noirs […] Comment voulez-vous que le travailleur français qui habite à la Goutte-d'or où je me promenais avec Alain Juppé il y a trois ou quatre jours, qui travaille avec sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15 000 francs, et qui voit sur le palier à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses, et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50 000 francs de prestations sociales, sans naturellement travailler ! Si vous ajoutez à cela le bruit et l'odeur, eh bien le travailleur français sur le palier devient fou. Et il faut le comprendre, si vous y étiez, vous auriez la même réaction. Et ce n'est pas être raciste que de dire cela. Nous n'avons plus les moyens d'honorer le regroupement familial, et il faut enfin ouvrir le grand débat qui s'impose dans notre pays, qui est un vrai débat moral, pour savoir s'il est naturel que les étrangers puissent bénéficier, au même titre que les Français, d'une solidarité nationale à laquelle ils ne participent pas puisqu'ils ne paient pas d'impôt ! [...] »
Je vous laisse avec Zebda qui, suite à ce discours, a écrit l'excellente chanson "Le bruit et l'odeur".
A la fin du morceau, on entend une partie du discours de Chirac.
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Je souhaite aujourd'hui partager avec vous un court-métrage qui mêle beauté et simplicité.
Du réalisateur néerlandais Bram Schow, il a été créé dans le cadre du projet "Histoires des droits de l'homme".
Je ne vous dis rien pour ne rien dévoiler, mais vraiment, regardez-le jusqu'au bout, il en vaut vraiment la peine.
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Le monde de la publicité est un monde de brutes, tout le monde le sait.
L’illustrateur et artiste américain Jeff Scott Campbell peut-être plus que les autres. La preuve avec son excellent petit guide intitulé "8 ways to kill an idea".
MISERE DE MISERE... TOUT EST VRAI.
Son blog, ici.
Enjoy !
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