Il est là... et ça fait du bien.
(Merci à elle.)
Allez, je refile le plat à la nouvelle Bee Happy, Louloute, Bellzouzou et à Blandine !
Bon ap'
(Oh ! Le nouveau bandeau !)
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Je ne sais pas si je suis là seule - à en croire les avis des copines : oui - mais moi, quand arrivent les beaux jours, j'adore faire sécher mon linge dehors, dans mon jardin.
J'aime l'odeur du linge une fois sec, j'aime ces petites touches de couleurs suspendus, j'aime ces surfaces blanches qui s'envolent.
J'aime regarder un body 12 mois sécher à côté d'un tee-shirt XL.
J'aime regarder les rayons du soleil transpercer le tissu.
J'aime voir les jeux d'ombres, des buissons, d'une main ou d'une silhouette.
J'aime sentir cette vie-là.
Un fil à linge parle, raconte.
Et j'aime lire cette histoire-là. La mienne. La nôtre.
Comme pratiquement 100% des français, j'ai l'intime conviction que je conduis très bien... et que les autres conduisent comme des brelles.
Une brelle justement, en voici une belle de brelle.
Regardez un peu cette vidéo que l'on pourrait appeler "Comment avoir l'accident le plus con du monde"....
Enjoy !
Je sais que je ne dois pas en faire tout un plat... mais aujourd'hui est un jour plus "important" que les autres.
Aujourd'hui j'ai un RDV "spécial".
Un déjeuner.
On va papoter boulot... futur...
Pas de perspectives concrètes, je sais bien.
Mais rien que d'y aller, de le rencontrer encore une fois, me fait plaisir.
Une piqûre de rappel pour lui.
Une piqûre d'air frais pour moi.
Comprenne qui pourra....
Pour ceux qui me lisent régulièrement, vous avez dû vous rendre compte
que je suis en ce moment assez débordée et que même si je continue à
poster tous les jours, ce n'est pas forcément comme j'aimerais le
faire.
Des dossiers à gogo, des enfants qui me rendent gaga (et
aussi parfois gogo)... bref, pas trop le temps de pavoiser derrière mon
écran. Et qui dit moins de temps, dit moins de blogging.
Je surfe moins sur le net, viens moins vous lire et du coup commente moins, ou peu, ou pas...
D'un
autre côté, je vois que mes derniers billets sont également moins
commentés. Apparemment, au vu des stats, vous êtes toujours là, fidèles
au poste, mais côté com'... c'est le désert.
Du coup, je me pose des questions.
- Est-ce que les autres sont autant débordés que moi ?
- Est-ce parce que je n'ai pas le temps de répondre à ceux qui ont pris le temps de laisser un commentaire que ceux-çi s'essoufflent et disparaissent de la circulation ?
- Ou est-ce parce qu'en ce moment, je ne vais pas lire et commenter les autres ?
Evidemment, je ne vous cache pas que la dernière option ne m'irait pas du tout. Car après tout, ca voudrait dire quoi ? Oeil pour oeil ? Dent pour dent ? Et com' pour com ?
Tu ne viens plus me lire donc je ne viens plus te lire !
Tu ne me commentes plus donc je ne te commentes plus !
Gnagna gnagna...
Ca voudrait dire qu'on commente dans son propre intérêt et non pour l'intérêt du sujet.
Et ça, ça me ferait vraiment chier.
Seigneur Marie Joseph et toute la clique plein de grâce et de fric
Toi qui es au ciel et pas à cette foutue réunion commerciale trimestrielle de mes deux
Pardonne-moi pauvre pécheresse rebelle et fière de l'être
Et pardonne-moi mes offenses comme celle de dire que ces réunions me cassent grave les couilles
Et ne pardonnez pas à ceux qui m'ont offensée et qui m'offensent encore en me parlant plus de chiffres que de créas ou stratégies.
Que ta volonté soit faite et la mienne encore plus sur terre comme au ciel (mais surtout sur terre, ça m'arrangerait)
Donne-moi aujourd'hui ton pain quotidien et surtout beaucoup de courage
Ne me soumets pas à la tentation de les traiter de glandus tortus
Et délivre-moi de ces mâles !
Bref, vous avez compris, faut penser à moi aujourd'hui !
- C'est quoi ton métier maman ?"
- Maman elle travaille dans la pu-bli-ci-té. (Et pour simplifier la chose) Tu sais, la publicité c'est ce que tu vois parfois entre les dessins animés..."
Temps d'arrêt.
Princesse me regarde étonnée et répond :
- Ah ? C'est un métier ça ?
- ..."
Semaines de folie.
Du boulot à ne plus savoir où donner de la tête.
Des listes qui ne cessent de s'allonger sur mon cahier à carreaux.
Je cours partout.
Au sens figuré comme au sens propre.
Je cours, je cours. De mon bureau au studio. Je dévale les escaliers. Je les grimpe.
Vite. Vite. Vite. Tout vite. Mais tout bien.
Et puis l'heure arrive. L'heure où le travail s'arrête, l'heure où la soirée commence.
Je rentre.
Et je cours encore.
Le repas. "Qu'est-ce qu'on manger ce soir ?"
Le bain des puces. On mange.
Ca me tue. Je les vois sans les voir.
Vite, pipi, caca, lavage des dents.
On monte lire les histoires. 2. Une grande et une petite.
Câlins.
Dodo.
Et hop. On court toujours. Les corbeilles de linge qui attendent le fer. les papiers qui attendent les chèques. Les jouets qui attendent leurs bacs.
Et moi... et moi, qui attends de me poser.
Alors, pour me donner du courage, en ce moment, il y a lui avec ce titre :
C'est l'matin, j'me dépêche.
(Je suis toujours à la bourre le matin. je ne sais pas pourquoi, j'ai beau me lever à 6h20 (enfin... le réveil sonne à 6h20 et je me lève vers 6h45...) pour partir à 8h30, je suis toujours toujours en retard.)
Amoureux s'occupe d'amener Petite Fée chez Mary Poppins la Vilaine (en attendant la crèche !!!) et moi, je suis chargée d'amener Princesse à la crèche.
P.-S. : oui oui, allez-y les mecs, moquez-vous... (Les filles aussi... mais moins hein ! Solidarité féminine !)
Charlotte aux fruits rouges
- 500 g de fruits rouges (300 g de fraises + 100 g de framboises + 100 g de cassis)
- 25 cl de jus d'orange
- 30 biscuits à la cuiller
- 400 g de fromage blanc
- 80 g de sucre en poudre
- 2 sachets de sucre vanillée
(A faire la veille.)
Trempez rapidement les biscuits à la cuiller dans le jus d'orange et tapissez-en le fond et les parois du moule.
Fouettez dans un bol le fromage blanc avec le sucre et le sucre vanillée.
Déposez 1/3 des fruits rouges lavés dans le moule puis couvrez de la moitié du fromage blanc sucré.
Ajoutez par-dessus une couche de biscuits imbibés de jus d'orange puis 1/3 de fruits rouges puis le reste de fromage blanc. Terminez par une dernière couche de biscuits imbibés.
Couvrez le moule (moi, j'ai mis une assiette dessus pour bien aplatir) et mettez le au fridge toute une nuit.
Démoulez. Décorer avec les fruits restants.
Servez très frais.
Astuce d'une mamie qui m'a tenue la jambe au rayon moule à charlotte :
Pour que votre charlotte se démoule sans aucun problème, découpez deux longues lanières avec le papier gaufré qui se trouve dans les boites de biscuits à la cuiller et faites une croix au fond du moule. J'ai fait, c'était nickel ! (Et du coup, j'ai pas acheté de moule à charlotte, je l'ai fait dans un saladier, c'était parfait et plus pratique pour la décoration : bien plat sur le dessus.)
Dilemme...
Je me pose à mon ordi pour écrire un billet ou je file dans la salle de bains pour me plonger dans un bon bain moussant, un verre de vin et une revue de fille....???
Je réfléchis... je réfléchis...
Allez, go : Plouf !
(Vous m'en voulez pas, hein ?)
Drôle... mais inquiétant...
Je vous laisse seul juge.
Bibis Pop !
J’ai le plaisir d’inviter
aujourd’hui la reine du macaron, la déesse de la collerette, la princesse du
croûtage, oui mesdames et messieurs mesdames, vous l’avez
reconnue : aujourd’hui, c’est Miss
Mercotte qui nous dévoile ses petits riens à elle.
Celle pour qui la gaieté est une
évidence a très gentiment accepté d’être la deuxième, après Laurent Gloaguen
des Embruns, à remplir cette nouvelle rubrique (rubrique qui sera
« physiquement créée dès que Typepad le voudra bien…).
Mercotte… Rien que son nom, son
pseudo, suggère une dégustation. En le prononçant, on imagine déjà le croquant
délicat du macaron et le fondant de la ganache.
Mercotte… C’est aussi une joie
de vivre, un sourire aussi radieux que ses recettes (la preuve en vidéo ici).
Mercotte, c’est une chambérienne
autodidacte qui tente de nous faire croire qu’elle ne savait pas faire cuire un
œuf quand elle s’est mariée… et qui aujourd’hui jongle avec les fruits et
légumes, les couleurs, les saveurs, les textures…
Mercotte, c’est un blog avec des
recettes incroyables et des photos qui feraient saliver une momie.
Mercotte, c’est aussi un livre à
offrir ou à s’offrir.
Mercotte… Mercotte… Mercotte…
Je te laisse la parole le
clavier…
Les petits riens de... Mercotte
Mes petits riens, ce sont mes
petits bonheurs jubilatoires, simples et quotidiens, une succession de
« non évènements » qui font que décidemment la vie est belle.
Juste le plaisir d’un petit
déjeuner à 4h du matin, dans la nuit de la grande maison silencieuse, car même
l’été il fait toujours nuit à cette heure là.
Apprécier pleinement mon vrai café et mes tartines maison, puis dès
potron-minet entendre le piaillement joyeux des oiseaux.
Découvrir les premières primevères
sur les talus qui annoncent le réveil de la nature et l’arrivée attendue du
printemps, puis voir s’étoffer un tunnel de verdure qui masque l’arrivée à la
maison signe que l’été est là !
A la belle saison partir le jour à
peine levé pour une heure de marche le long de la rivière et rire toute seule
en voyant le petit cul blanc des
jeunes lapins qui se sauvent à mon passage et saluer joyeusement quelques sympathiques joggeurs ou cyclistes
eux aussi matinaux.
Entrevoir à l’automne dans la
brume matinale la famille de faisans qui niche en dessous de la maison,
traverser tranquillement la pelouse et se dire qu’ils sont trop beaux.
Découvrir les matins d’hiver que
la nuit peut être rose, parce que la neige a tout recouvert et apprécier encore
plus la chaleur de la cuisine.
Vivre dans SA ville, ne pas
pouvoir faire
Des petits riens qui finissent par faire beaucoup… Sans oublier le pire… à toute heure la joie d’aller plonger une main gourmande dans les sacs de chocolat de la réserve !
(Ok ok, c'est un peu un billet de feignasse, mais il est 'achement drôle... Beaucoup beaucoup de boulot... Des recos à écrire... des maquettes à sortir... Pas le temps pour le blogging... mais je pense fort à vous !)
On dit souvent "ils sont fous chez chinois" !
Et ben là, c'est encore confirmé...
Bibis pousse-pousse
Le matin, une balade en famille dans un parc...
L'après-midi, à la plage avec des copains...
Des instants à garder.
Bibis album
1993
Banlieue est.
Dans le 77.
Train-métro-boulot-dodo.
Bosser rue Pierre Charron. Vivre rue de la Liberté.
Paris et la banlieue.
Une vie de fous, une vie de speed.
Au milieu des gens qui regardent leurs pieds.
Le gris des murs.
La chaleur des couloirs de métro, les couinements des rats.
L'humidité brûlante des barres métalliques.
Les frottements insoutenables des excités à l'affût.
Les regards vides d'épuisement et de désillusion.
Les bras qui serrent les sacs à main. Les jupes que l'on ajuste.
La musique dans les oreilles, la gueule dans Libé, la bouche qui mâchonne.
2008.
Bretagne sud.
Dans le 29.
Voiture-boulot-soirée-dodo-réveil en douceur-petit déjeuner.
La Bretagne et ses régions.
Une vie d'humains, une vie tranquille.
Au milieu des gens qui regardent le ciel.
Le vert des arbres.
La fraîcheur des rues pavées, le cri des mouettes.
Le chant des vagues cajolant le sable.
Les regards fougueux et vivants.
Des voitures restées ouvertes. Des jupes que l'on raccourcit.
La musique dans les oreilles, les yeux dans Ouest-France, la bouche qui sifflote.
1993-2208.
15 ans.
15 ans.
Putain, 15 ans déjà.
Et si c'était à refaire ?
Tout pareil. Sans hésiter une seule seconde.
Bibis BZH
Bon, ça y est, je fais partie des milliers de personnes qui jouent comme des débilosses avec leur Wii !
Tout comme Cleanettte, Amoureux et moi avons "craqué" pour cette console de jeux complètement frapadingue.
On l'a eu samedi dernier, et tout émoustillés, on a déjà pas mal d'heures de jeu derrière nous.
En plus des jeux Wii Sports (CD vendus avec la console), nous avons eu le CD Wii Play.
Pour l'instant, sachez que J'A-DO-RE la Wii !
Mes jeux préférés ?
Le tennis : Je trouve ça excellent ! Par contre, faut vraiment faire gaffe à ne jouer pas trop près de quelqu'un... Moi qui me moquait de cette consigne avant de jouer, j'ai compris son importance importante importifiante quand, d'un revers, j'ai fracassé en deux la tête d'Amoureux (désolée mon Amour, mais j'en ri encore...)
La boxe : Ce jeu me replonge il y a quelques années lorsque je faisais du kick-boxing. J'adore ! Je me déchaîne comme une attardée, je me secoue comme un Orangina et, pour l'instant, je mets tous mes adversaires au tapis ! Appelez-moi Rocky ! Et pour preuve... cette vidéo !
Bibis déjà la Wiiitis ! (sans déconner, j'ai mal partout !)
P.S. : Si vous aussi vous avez la Wii, pouvez-vous me conseiller des jeux sympas ??
CD Wii Sports (5 jeux) :
Tennis, base-ball, boxe, golf et bowling.
CD Wii Play (9 jeux) :
Champ de tir, trouvez le Mii, ping-pong, jeu de poses, hockey, billard, pêche, chargez !, Chars.
Ca fait longtemps que je voulais faire cette recette. Je l'avais piquée dans un bouquin de MA Soeur ("Best Of Chocolat" de Trish Deseine aux éditions Marabout), je la regardais de temps en temps, mais je n'avais jamais "sauté" le pas.
Et puis, un jour pas comme un autre (samedi dernier), ça m'a chatouillé, et hop, tralala tsoin-tsoin, voici le Gâteau aux Petit Lu d'Emmanuelle.
C'est une véritable tuerie de la mort, ca déchire grave sa race ! Chocolat, meringue, Petit Lu, beurre (et beurre et beurre...)... un régal !
D'une simplicité enfantine, c'est un gâteau SANS CUISSON à préparer la veille et à garder au frigo pour qu'il soit bien frais, bien "dur".
Gâteau aux Petit Lu d'Emmanuelle
> 3/4 d'un paquet de Petit Lu
> 40 g de meringue
> 2 oeufs légèrement battus
> 150 g de sucre (moi, je n'ai mis que 100 g)
> 50 g de cacao
> 100 g de chocolat noir
> 300 g (!!) de beurre (moi, j'ai mis moitié doux, moitié salé)
1/ Cassez en petits morceaux les Petit Lu et la meringue. Attention, ne pas réduire en poudre, il faut des morceaux inégaux de 1 cm environ.
2/ Faites fondre chocolat + beurre au bain-marie. Laisser refroidir.
3/ Mélanger oeufs + sucre + cacao. Ajouter le mélange chocolat et beurre. Ajouter Petit Lu et meringue
3/ Tapissez un moule à cake de film alimentaire et versez-y la préparation. "Tassez" un peu.
4/ Mettre au frigo minimum 6 heures et toute la nuit si possible.
Perso, je l'ai servi avec de la chantilly...
Bibis Tuerie
Allez, aujourd'hui, je lance un jeu-concours :
Faites moi rire et gagnez une robe !
Principe :
La personne qui, par son commentaire (sur ce billet), me fera le plus rire gagnera le concours.
A gagner :
Une robe de la Compagnie des Petits. Taille 3 mois.
Vu que la majorité des lecteurs de ce blog sont des filles, dans le lot, y'en aura bien qui seront intéressées ! Des mamans, des futures mamans, des copines de mamans ou de futures mamans, des soeurs de mamans ou de futures mamans, des mamans de mamans ou de futures mamans ! Bref, y'a le choix ! Et vous chers mââââââles, imaginez la tête de votre ducinée (maman ou future maman) si vous arrivez avec ce joli cadeau ! ;-)
Date limite :
Vous avez jusqu'au dimanche 25 mai 2008 minuit pour déblatérer vos pires anneries !
Bibis zygomatiques
P.S. : faites passer le message !
Pour mettre la pub sur votre blog/site (voir colonne de droite), voici le code :
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Recommandé par des <a href="http://influenceurs.net/news/faites-moi-rire-et-gagnez-une-robe" title="Affichez votre soutien (code html à insérer sur votre site)">Influenceurs</a>
</div>
(Attention, billet à haute teneur intellectuelle. J'aurais prévenu...)
J'en ai marre ! (Hier, coup de gueule ! Aujourd'hui, re-coup de gueule !)
J'en ai marre qu'on me prenne pour une débilosse attardée quand je dis à mes amis que parfois je me réveille avec un p***** de mal d'oreille tout ça parce que j'ai dormi sur elle et qu'elle était "pliée" !
J'en ai marre que tous me regardent avec des yeux ronds comme des oeufs durs (bah !) !
Alors, j'me suis dit : "J'vais en faire un billet ; j'suis sûre que plein de monde sait de quoi je parle !" !!!
Alors pitiééééé !
Dites-moi que je ne suis pas la seule à connaître ce phénomène oreillesque ! Dites-moi que, à vous aussi, ça arrive !!!!
Bibis cartilagineux
Aujourd'hui, c'est coup de gueule !
Je le dis, je le crie, je le hurle, je le braille, je le beugle, je le gronde, je le clame, je l'aboie, je le vocifère, je le grogne : J'EN AI MARRE DES TELECOMMANDES DE MERDE ! (ah, ca fait du bien...)
Car à la maison, on les collectionne les télécommandes !
Télécommande pour la télé, télécommande pour le DVD, télécommande pour la chaîne hi-fi, et même (et là, j'arrête celles et ceux qui pensaient avoir trouver solution à mon problème) 2 télécommandes universelles !!!!
Selon une enquête réalisée par le cabinet Lightspeed Research pour la marque Logitech, 47% des foyers français est équipé d'au moins 5 télécommandes et 88% en possèdent 3 ou plus.
Mon foyer est en plein dans ce sondage. Nous, on en a 5 ! 5 télécommandes ! Et quelle est l'unique personne qui sait se servir de tout ça : et ben pas moi !
Y'a rien à faire, j'y pige queue dalle, j'y pige couille comme ils disent ici ! (Oh la vache, entre la queue et la couille, j'vais faire péter l'audience avec ce billet moi !).
Les télécommandes et de surcroît pseudo-universelles, c'est la zone. Et vous savez le comble du comble du comble ? Dans plus d’un foyer français sur quatre (26 %), une seule personne est
en mesure de piloter tous ces appareils à usage familial ! Et c'est qui
à votre avis ? Ben c'est le mâle, c'est l'homme.
Mesdames, je suis certaine que vous me comprendrez. C'est un problème de fille, ça, les télécommandes. Les gars eux, ils adorent. Pour eux, c'est un joujou. Y'a plein de tou-touches et tout et tout. Ils sont contents comme des cons des gamins. Ca les amuse. "Oh super chérie, regarde, j'ai acheté une télécommande !" Et ça sautille dans tous les sens, hyper contents, nous vantant les mérites de ses satanées télécommandes universelles de chiottes. Soit-disants que ça commande tout. Pas étonnant, y'a 125 boutons en plus ! Avec ça, c'est sûr, elles peuvent assurer les gueuses. Surtout que nous, on s'en fout des mille fonctions, on appuie toujours sur les mêmes boutons : son +, son -, chaîne +, chaîne -, éteindre ("Ah non, mets pas en veille, ça gaspille des watts...")...
Alors, je le redis, je le recrie, je le rehurle, je le rebraille, je le rebeugle, je le regronde, je le reclame, je le réaboie, je le vreocifère, je le regrogne : J'EN AI MARRE DES TELECOMMANDES DE MERDE !
Bibis universels pour de vrai !
Si ca vous dit de décorer votre blog, sachez qu'une bannière Ladyblogue existe (voir dans colonne de droite) !
Allez quoi !
Bibis clignements de cils (à la Panpan dans Bambi...)
Le code à insérer :
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Princesse et Amoureux lisent l'histoire du soir dans un Pomme d'Api. C'est sur les surnoms que les parents donnent à leurs enfants. "Mon coeur", "Mon canard", "Mon poussin", "Ma cocotte", "Ma puce", ect...
Amoureux demande à Princesse :
- "Et papa et maman, comment ils t'appellent ?"
Après quelques secondes d'hésitation, Princesse répond :
-"A table !"
Bibis MDR
"Putain ! J'ai gagné, je suis riche !"
Oui, c'est une phrase que j'aimerais hurler ! Chaque jour j'y pense, et chaque jour j'espère. Et on fait quoi quand on espère devenir riche rapidement ? Et ben, on joue au loto. Et JE joue au loto. Car comme le dit leur sacrée bonne accroche (que j'aurais aimé la trouver celle-là !...) : "100% des gagnants ont tenté leur chance".
Oui, je joue. Et comme j'aime l'espoir, je ne vais pas faire vérifier mes tickets tout de suite après le tirage. J'attends. J'attends un peu. J'attends même pas mal. 15 jours, 1 mois... ou plus. Je garde précieusement mon ticket dans mon porte-feuille bordélique.
Pendant ce temps-là, le doute est présent. Et si j'avais gagné ? Si j'entrais dans le club très fermé des 15 489 gagnants aux 6 bons numéros...? Le doute est là, l'espoir avec.
Alors, je me fais des films. J'imagine.
Je m'imagine dans un palace à l'île Maurice, je m'imagine acheter plein de maisons (que dis-je des "propriétés") et "m'amuser" à les décorer, je m'imagine donner de l'argent pour des associations, pour la recherche, je m'imaginer en train de dépenser mon fric avenue Montaigne ou place Vendôme, acheter mon mobilier de jardin chez Tectona, ma cuisine chez Pedini, mes meubles chez Bonaldo.
Je rêve.
Je me vois aussi fashion victime que Victoria Beckham et aussi glamour que Gisèle Bundchen (ben quoi, y'a des trucs bien dans la chirurgie !), je m'imagine en bonne place dans le classement Forbes.
Bref, je délire. Je délire, mais putain que c'est bien !
Et puis, on va acheter son Elle dans le bar-tabac du coin. Au moment de payer, on voit la machine à miracles qui nous nargue. "Allez, petite, donne-le moi ton billet...".
On faiblit. On le donne. Au cas où... Idiote, va !
La machine l'avale en deux secondes et vomit sa sentence.
Belle salope.
Et la prochaine cagnotte, c'est quand ?
Bibis bling-bling
Entre ça, ça et ce dont on va parler aujourd'hui, vous allez commencer par vous demander si Ladyblogue ne devient pas un blog culinaire. Non non, pas de panique, je ne rivaliserai pas avec Miss Papilles ou Miss Mercotte, mais la "bonne bouffe" faisant partie des petits riens de la vie qui nous remplient de bonheur (et pas que...) qu'il est impossible de ne pas parler cuisine de temps en temps.
Et c'est le cas aujourd'hui.
Aujourd'hui, je vais vous parler de mon premier "Atelier Macaron" ! Je ne suis pas à l'origine de ce projet. C'est mon amie Jo et sa soeur Fred qui m'ont invitée à un après-midi spécial macaron pistache.
Tout était prêt. Fred avait acheté à Paris le nécessaire (pâte pistache et colorant alimentaire vert pistache) chez le fameux G. Detou, Jo s'était occupée de la plaque de cuisson et de la seringue à pâtisserie et moi, de l'indispensable thermomètre de cuisson !
Et zou, on pèse, on mélange, on dose, on tamise, on remélange, on repèse, on remplit la seringue, on fait de petits tas, on cuit, on épie la collerette, on attend le "croûtage", on ganache, on chauffe à 85C°, on assemble et zou... quelques minutes heures plus tard, ça a donné une tuerie du feu de dieu !!
Je ne vous raconte pas à quel point on était fière !!!
Nos premiers macarons sont magnifiquement beaux et sont divinement divins.
Regardez et... applaudissez (ben quoi ? c'est vrai qu'ils sont beaux, non ?)
Bibis pistachouillés torse bombé !
Dimanche dernier je vous avais parlé du crumble pomme poire chocolat. Un truc de dingue qui vous rend marteau tellement qu'il est incroyablement fantastiquement dinguollement délicious.
Bref... vous l'aurez compris par le titre et la photo de cette note, en ce moment, je suis crumblemaniac.
Alors, hop, j'en ai essayé un autre, un sorti tout droit de ma tête, un crumble pomme framboise mûre amandes !
Crumble pomme, framboise, mûre et amandes
- 2 pommes
- 1 barquette de mûres
- 1 barquette de framboise
- 100 g d'amandes éffilées
La pâte
- 80 g de beurre (moi je prends du beurre salé... délicieux...)
- 120 g de farine
- 80 g de sucre roux
- 60 g d'amandes en poudre
- 6 pincées de cannelle
Goûter, c'est l'adopter !
Encore une fois, si vous vous lancez, envoyez-moi une photo de votre réalisation et je la mettrai ici.
Bibis gourmands
L’autre jour, je suis allée m’acheter
une paire de Converses. J’hésitais entre une paire rouge et une paire blanche.
J’ai enfilé une de chaque. Et… et ben j’ai trouvé ça chouette d’avoir un pied
rouge et un pied blanc. Du coup, j’ai pris les deux. (Au grand étonnement de la
vendeuse qui ne me croyait pas quand je lui ai dit que si, j’allais (aussi) les
porter comme ça, version « mixte » !).
Un petit rien que je trouve
sympa.
Alors imaginez à quel point j’ai
pu être séduite par les chaussettes de LittleMissMatched ! En effet, partant
du principe que beaucoup de personnes perdent leurs chaussettes, cette société américaine
(qui monte, qui monte) propose des paires de chaussettes complètement dépareillées !
Des pois d’un côté, des rayures de l’autre, des fleurs roses à droite,
des cœurs bleus à gauche ! Et pour être sûr qu'aucune paire n'est
possible, la compagnie produit ses chaussettes en nombre ...impair !
Au tout début, ces chaussettes
ne s’adressaient qu’aux 8-12 ans… Le succès étant (800 000 euros de C.A. la
première année et 4 millions d'euros la deuxième !), LittleMissMatched
propose maintenant une ligne pour adulte. Aujourd’hui, elle a conçu 130 motifs
différents et signé 650 accords de distribution. Entre 8 et 12 euros les 3 "single socks", y'a pas de quoi se priver.
J’adore, j’adore, j’adore !
Bibis vive les pieds (dédicacés à ma Sabinette...)
Dr Jekyll et Mister Hyde, ca vous dit forcément quelque chose.
Et bien moi, en ce moment, je vis un peu ça...
Mary Poppins et Sorcière de Salem...
Aujourd'hui (encore), je vais vous demander de l'aide...
J'ai une question concernant mon contrat avec "mon" assistante maternelle.
> Peut-elle m'imposer ses jours de congés ?
Je sais que non si elle n'a que 1 employeur et oui si elle en a plusieurs, ce qui est le cas. (Ben oui, sinon, elle pourrait difficilement poser des jours, c'est compréhensible).
Mais ces jours devaient-ils être exposer dans le contrat initial ?
Doit-elle "annoncer" ses congés en respectant un délai de prévenance ?
Bref, ai-je un "moyen" de lui refuser ?
Elle m'a annoncé il y a 15 jours (mi avril) qu'elle voulait prendre 1 semaine début juin. Impossible pour moi et pour Amoureux de prendre des jours de congés pendant cette période. Personne pour garder Petite Fée. Bref, je suis dans la mouise.
Je vous passe les différentes tensions qui s'installent entre elle et nous. Et puis, non, je vous dis un peu...
Elle ne nous dit rien en face, rien quand on va chercher Petite Fée, non : elle écrit ses "misères" sur une feuille qu'elle met dans le sac de la puce. On découvre ses trucs le soir à la maison !
Elle pinouille sur 10 minutes en plus quelques soirs... alors que toutes les fois où elle m'a demandé de venir plus tôt (pour cause de RDV chez le coiffeur, chez le kiné, à la gym, mère de copine morte, ect...), j'ai toujours toujours dit oui.
Les jours où elle a été malade, je ne lui ai pas décompté.
Ect...
Bref, je trouve que je suis une "employeur" assez cool, même très cool à mon sens.
Et là, elle joue au con.
Tant pis pour elle.
Tant pis pour nous.
Mais, à présent, faut plus me chatouiller. Faut pas m'chercher.
Bibis vivement une place en crèche...
En mai, fais ce qu'il te plaît.
Et bien moi, j'ai envie de vous tirer la langue !
Rôô, pas la peine de me faire les yeux noirs, hein !
Je vous tire la langue avec un grand sourire et des yeux pétillants.
Je vous tire la langue avec un visage espiègle et les mains tendues.
Je vous tire la langue comme une gamine.
Bibis tout roses
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Dans mon boulot, travailler sur la création de logo fait partie des trucs que je préfère. En collaboration avec l'équipe créative, j'aime y réfléchir, trouver les axes, les pistes qui feront la différence.
Créer un logo prend du temps, demande de la réflexion, une excellente compréhension du client, de l'idée et, quelque part, de l'émotion. Un logo, ça ne se trouve pas "comme ça", comme le pensent pas mal de clients (ggrrhharr !) en 10 minutes (quoi que).
Et ce n'est pas l'agence britannique FDHLondon qui me contredira. Après maintes et maintes briefs, après de nombreuses maquettes, après divers aménagements, les créatifs ont enfin réussi à vendre (pour la modique somme de 18 000 euros !) un nouveau logo pour l'Office of Gouvernement Commerce (OGC).
Sobre, clair, élégant, ce logo a été dispatché partout : papier en-tête, docs administratifs, objets publicitaires, Internet...
Internet justement... Les internautes ne l'ont pas loupé... Une petite rotation à 90° et hop... le logo prend une toute autre signification...
Bibis tous les sens
Si comme moi vous avez vu le
Cinquième Élément (film culte) vous avez toutes (je m'adresse dans ce billet principalement aux filles), j'en suis sûre, adoré la scène
où Leeloo s'auto-maquille. A l'époque (ben oui, le film a quand même
déjà 11 ans… glup's !), on pensait que tout ça était du domaine de la science-fiction.
Boîte qui maquille toute seule, une autre qui vernit les ongles en quelques
secondes… bref, on en rêverait toutes !
Et ben, on l'a rêvé,
ColorOn l'a fait… La société nous propose une formule révolutionnaire de patchs de fard à paupières. On se prend toutes la tête pour se maquiller les yeux nickel chrome, on se prend le chou avec la paupière mobile et l'autre, avec le coin externe de l'oeil et l'autre, avec le creux de l'arcade et l'autre. On hésite toujours à marier les couleurs de peur de ressembler à un camion volé... bref, se maquiller les yeux demande de l'habileté, du savoir-faire, de la technique !
Grâce à ColorOn, plus de prise de tête. Nos yeux sont maquillés en un tour de main ! Chouette !
Il existe 19
« modèles » différents. Du rose pouffinette au noir rock’n’roll en
passant par le brun ou le design panthère ! Pour en savoir plus sur la pose, regardez la vidéo par ici.
Ces patchs magiques sont
présentés en pack de 5 et coûtent 18
dollars soit 12,5 euros.
Moi, je dis qu'un seul mot : yes !
Bibis yeux de biche
