Ladyblogue, l'éphémère en continu

Un secret : le livre, le film

La télé allumée, je suis tombée sur Patrick Bruel parlant du film « Un secret » de Claude Miller, film qui sort le 3 octobre prochain. La bande-annonce a suivi.

Ca m’a plu. Ce film est l'adaptation cinématographique du roman éponyme de Philippe Grimbert paru chez Grasset & Fasquelle en 2004.

A défaut d’aller voir le film (où serais-je le 3 octobre ?), j’ai eu vraiment envie de lire le livre.

En deux jours, je l’ai littéralement dévoré.

L'histoire :
Le narrateur nous raconte sa vie de petit garçon, ses croyances, ses peurs, sa vie, ses parents. Il s’imaginait une vie «normale » jusqu’au jour où une amie de ses parents lui dévoile un secret lourd et bouleversant.

Je ne peux vous en dire plus sans vous en dire trop…

L'avis de Lady :
L’écriture est simple, rapide… contrastant avec la dureté des propos.

Nous savons finalement peu de choses sur la vie de nos parents avant notre naissance… En ce qui me concerne, je n’en sais strictement rien… Dans la famille, on n’est (ils ne sont… hélas….) pas du genre à raconter... ça ou autre chose. Dommage, car – et ce livre en est l’énième preuve – l’histoire familiale est fondateur d’équilibre.

Prix Goncourt des Lycéens et Grand Prix des lectrices de Elle, je vous recommande très sincèrement ce roman qui, j’en suis certaine, ramènera chacun d’entre vous à sa propre histoire.

La note de Lady :
17/20.

Et si parmi vous, il y en a qui vont voir le film, cela me ferait plaisir d’avoir vos retours !

Bibis Chuuutttt

L’élégance du hérisson

« L’élégance du hérisson » de Muriel Barbery est un roman sous forme de journal intime qui nous plonge, tour à tout, au cœur même de chacun de deux personnages principaux.

L'histoire :
Une concierge, Mme Renée Michel, la cinquantaine, une intellectuelle hors pair qui passe son temps à dissimuler son intelligence. A-t-on déjà vu une concierge érudit ? Elle déteste les riches qu’elle considère comme incapables de considérer les « petites gens » comme des personnes à part entière.
Un habitante de l’immeuble, Paloma, une petite fille de 12 ans issue d’une famille riche, surdouée et d’une maturité qui en ferait rougir plus d’un. Son analyse de la vie, des gens qui l’entourent, de sa propre famille, fait qu’elle décide de programmer son suicide.

L'avis de Lady :
Le roman, doté d’un riche vocabulaire, révèle une écriture précise qui peut, à mon avis, rebuté certains lecteurs. J’ai été souvent gênée par les longueurs inutiles de certaines phrases et par les quelques exposés pseudo-philosophiques, parfois certes intéressants, parfois malheureusement forcés. Muriel Barbery ne chercherait-elle pas à nous en mettre plein la vue au lieu de nous laisser vivre son roman ? Est-ce de l’étalage ou du partage ?
Un peu dommage car globalement le livre est intéressant, les personnages attachants (que j’ai aimé Renée !!) et les descriptions croustillantes.

La note de Lady :
14/20.

Extrait :
« (…) Je m’appelle Renée. J’ai cinquante-quatre ans. Depuis vingt-sept ans, je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un bel hôtel particulier avec cour et jardin intérieurs (…). Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j’ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. (…) Comme je suis rarement aimable, quoique toujours polie, on ne m’aime pas mais on me tolère tout de même car je corresponds si bien à ce que la croyance sociale a aggloméré en paradigme de la concierge d’immeuble que je suis un des multiples rouages qui font tourner la grande illusion universelle selon laquelle la vie a un sens qui peut être aisément déchiffré. Et puisqu’il est écrit quelque part que les concierges sont vieilles, laides et revêches, il est aussi gravé en lettres de feu au fronton du même firmament imbécile que lesdites concierges ont des gros chats velléitaires qui somnolent tout le jour sur des coussins recouverts de taies au crochet. »

Bibis piquants

Une "vraie" galette suédoise

Aujourd’hui, une vidéo incroyable et ce pour 2 raisons :

1/ En plein jeu télé appelé « Nattliv", l’animatrice suédoise Eva Nazemson, quelque peu malade, vomit en plein direct. Déjà, ça calme !

2/ La capacité de la jeune femme, après avoir fait sa galette, à reprendre son émission comme si de rien était est remarquable.

Âmes sensibles, abstenez-vous !

Bibis gros pâté

Une Presentatrice TV Suédoise vomit en direct
envoyé par Nabukodinozor

Traduction : 
Animatrice : Oui, allo …
Téléspectateur : Oui, bonjour …
Animatrice : Bonjour, quel est ton nom ?
Téléspectateur : Nicklas.
Animatrice : Salut Nicklas, quelle réponse veux-tu me donner ?
Téléspectateur : Un plouc.
Animatrice : bouaaaaargh …
Animatrice : … Whooo, ok, j’ai une chose à vous dire, je dois vous dire que j’ai mes règles. Nous sommes en direct et tout peut arriver. J’ai mes règles et j’ai vraiment mal au ventre, les règles douloureuses ça peut vous rendre vraiment malade …

Nolita : la publicité choc

Vous en avez certainement entendu parler, c’est l’image choc de cette semaine : la publicité contre l’anorexie lancée en Italie, en pleine semaine de la mode à Milan.

Réalisée par Oliviero Toscani (le célèbre photographe des pubs controversées pour Benetton), cette publicité pour la marque de vêtement Nolita met en scène une jeune femme anorexique entièrement nue. « Non à l’anorexie » peut-on lire sur l’affiche.
La jeune femme, c’est Isabelle Caro, une comédienne française de 27 ans qui souffre de cette terrible maladie depuis ses 13 ans.

Soutenue par le Ministère italien de la santé, cette publicité a été interdite en France par le BVP (Bureau de vérification de la publicité).

Alors, que faut-il penser de cette pub ? Faut-il être pour ou contre ?

Choquer pour faire évoluer les consciences, oui. Mettre ces photos, ces visuels au « service » de marques commerciales ?… c’est plus discutable, mais (est-ce une raison ?) cela existe depuis des années. On se posait déjà la question lorsque Toscani avait shooté des malades du sida en phase terminale pour Benetton…

Si ces pubs venaient d’associations d’utilité publique, du Ministère de la santé, elles seraient plus « légitimes » non ? Mais que des marques utilisent à ce point le choc collectif, ça parait plus discutable. Car au bout du compte, les marques sont là pour vendre. Marketing oblige. D'ailleurs, qui connaissait Nolita avant mardi dernier ?

Ensuite, est-ce que cette pub va « réveiller » les consciences ?
Que cette pub touche les non-malades, oui, certainement. Mais a t-elle un réel impact sur les personnes souffrant de l’anorexie ? Comment les malades (victime de la maladie qui tente de s'en sortir) et les pro-anas* (qui choisissent ce mode de vie et prônent l'anorexie) les analysent-elles ?

N’est-ce pas rabaisser l’anorexie à un problème esthétique ? L’anorexie n’est pas (que) un problème d’apparence, c’est un problème avant tout psychologique qui a trait à une histoire de vie, à une « anorexie mentale ».

Est-ce que ces images ne vont pas culpabiliser (encore plus) les malades du genre "T'as vu comment t'es moche ?"... 

N’est-ce pas plus un message anti pro-ana qu’un message sur la prévention de l'anorexie ?

Bibis Questions

* Nous en avions discuté ici.

Ciel, j’ai perdu ma minette !

Hier, je parlais de ce qui change quand on est enceinte et qu’on a un gros ventre. Un truc qui vient à l’esprit de tous (on le voit bien en écoutant les questions qui sont posées aux femmes enceintes), c’est que l’on ne voit plus ses pieds. Fini, terminé : ils sont cachés derrière cette énorme moitié toute ronde.

Mais ce que l’on ne voit plus non plus, qu'on ne dit jamais et qui est bien pire que de ne plus voir ses pieds : c’est de ne plus voir sa minette.

Car les pieds, on dit qu’on les voit plus mais on les voit quand même !
On s’assoit et hop, on les voit. On marche et hop, on les voit. On s’allonge et hop on les voit. On plie les jambes et hop, on les voit.

MAIS LA MINETTE !
On a beau se tortiller dans tous les sens, à part se mettre devant une glace : on ne la voit plus ! Terminé ! Plus de discussion de œil à minette, sans intermédiaire miroir. Plus d’accès visuel à notre féminité centrale.

Qu’est-ce que c’est que ce bordel ?
C’est vrai quoi ! Ca fait bizarre.

Déjà, nous les filles, c’est moins visible que vous les garçons car y’a pas « d’aménagement extérieur » (j’regarde trop les revues de déco moi !), mais, là, c’est impossible.

Et comme on dit toujours que la nature est « bien faite » et qu’il y a toujours une raison à tout dans ce qu’elle fait… je me demande pourquoi. Pourquoi quand on est enceinte on ne voit plus sa minetassss ???
Je cherche, je cherche et sérieux, j’trouve pas.

Vous n’auriez pas une idée vous, hein ?

Bibis pussy

Gros ventre à gros ventre

Quand on a un gros ventre, y’a plein de choses qui changent...

> Notre centre de gravité a bougé, on perd l’équilibre…

> On se cogne dans les murs, dans les meubles, dans les gens… On n’a plus la notion des distances.

> On se brûle parfois le ventre quand on repasse le linge.

> On ne peut plus bien se pencher pour se rincer les dents au robinet de la salle de bain… On s’cogne dans le lavabo. Obligée de se mettre à fond sur la pointe des pieds…

> Quand on prend un bain, on a super froid au ventre… Tout seul hors de l’eau.

> On a carrément du mal à se mettre du vernis sur nos petits doigts de pieds…

> Pour s’allonger, c’est tout un mic-mac. Si on le fait trop rapidement, hop, on bascule d’un coup ! Badaboum !

> On est plus loin de la table et donc de son assiette… Et parfois, ben, hop, on se tâche… (Vive Vanish)

Alors, moi, je suis enceinte donc, normalement, le gros ventre (je dis bien normalement… Priez pour moi sœur Marie Joseph) il va partir. Mais je pense aux personnes en surpoids pondéral, celles qui ont toujours un gros ventre, tous les jours de toute l’année et ce pendant des années et des années. Ces petits détails qui paraissent anodins, voire rigolos écrits comme ça, peuvent se transformer en véritable calvaire pour ceux qui les vivent tout le temps.

Bon… C’est pas la note du siècle, juste une pensée comme ça. Un gros ventre qui pense à un autre gros ventre.

Bibis bing

Foutage de gueule

Les magazines féminins nous prennent vraiment pour des connes. J’en ai eu encore la preuve en lisant le numéro de septembre de Marie-France. En page 20, Ariane Chauvelot, directrice de la rubrique mode, nous présente ses favoris du mois. Voici ce qu’elle nous dit en chapeau : « Cet automne, pour une rentrée élégante et tonique, je joue avec les matières sophistiquées et j’ose les couleurs éclatantes. »

Ok, ça nous dit à nous aussi.

Petit coup d’œil aux fringues, aux accessoires… Perso, j’accroche tout de suite. Du orange, du violet, du rose. J’adore. Alors, je commence à décortiquer chaque objet, je regarde les marques… et les prix.

Et là, je me suis dit : "ma pauvre Lady, c’est qui cette Ariane Chauvelot ? Pour qui elle nous(les lectrices) prend ? Pour des Nadine de Rotschild ?".

Ok, on sait bien que les fringues dans les magazines sont souvent chères. Mais, certaines revues mélangent des trucs hors de prix (côté couture, tendance, haut de gamme) et des trucs accessibles (prêt-à-porter).

Mais là, franchement, elle se fout de nous la p'tite Ariane !

Sur 9 articles présentés, le moins cher, c’est le Wallpaper City Guide (« idéal pour le shopping à New York » a-t-on le culot de nous dire en plus…) à 8,95 euros. Qu’est-ce qu’on en a foutre de ce guide à la con pour visiter New York ! Ca n’a jamais habillé son homme ça !

Ensuite, la moyenne de prix des 8 articles restants, preuve calculatrice à la main, est de 1 321 Euros.

Prix total de la tenue : 10 576,95 Euros (soit 69 380,24 Francs) !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Alors, c’est sûr, à ce prix-là, on peut avoir « une rentrée élégante et tonique » !

Allez, Ariane, regarde un peu dans nos portes monnaie…  Toi, t’es directrice de mode, les marques t’envoient plein de fringues, pleins d’accessoires dans l’espoir que tu daignes en parler dans ton magazine… Mais nous, à part des bons de réduction pour la Redoute ou des échantillons de serviettes hygiéniques, nous, on ne reçoit rien ma p’tite dame.

Alors, la prochaine fois, proposes-nous des trucs qui font rêver MAIS AUSSI des trucs de chez Promod, de chez Naf-Naf ou de chez H&M !

Bibis rageurs

En faisant une recherche sur Ariane Chauvelot sur Internet, je suis tombée sur un PDF qui parle de la mode et des journalistes. En voici un extrait :
« Ainsi, les choix des journalistes sont souvent dictés par des cadeaux, le mot à ne pas prononcer devant elles. Un phénomène habituel dans la mode. Ariane Chauvelot avoue que la rédaction « fait un effort pour citer les annonceurs qui paient le mieux. Mais on essaie d’éviter que cela se voit. » Ainsi, la marque n’est pas mise en valeur, mais on se débrouille pour la citer à de nombreuses reprises dans chaque numéro. »
(Pour télécharger l’intégralité du PDF, c'est ici !)

J’en veux pas !!!!!!!!

Mais qu’est-ce que c’est que ce truc à la con !???
Mais qui peut avoir l’idée d’inventer un objet pareil ??
Kate Moss ? Une guêpe ? Un taré de la caboche ?

Oui ! Non ! c’est Martin Haldimann qui a inventé cette bizarrerie, cette torture visuelle et psychologique.

Mais qui ??? Qui peut bien vouloir acheter une ceinture comme ça ?

Bibis bretelles

Mon dernier cheveu noir

Avoir du temps, c’est génial. Cela me permet d'être une véritable livrosore et j’adore ça ! Je me délecte de chaque page lue, de chaque ambiance décrite, de chaque auteur découvert.

Les livres se suivent et ne se ressemblent pas.

Aujourd’hui, je vais vous parler d’un livre que j’ai dévoré en 1 heure ! Un véritable délice ! 224 pages de délectation.
Un livre qui m’a fait beaucoup sourire et souvent rire.

« Mon dernier cheveu noir (avec quelques conseils aux anciens jeunes) » de Jean-Louis Fournier est tout simplement GENIAL !

L’auteur traite pourtant dans ce livre de thèmes difficiles comme la vieillesse du corps et de l’esprit et la mort qui approche.
C’est sûr, dit comme ça, ça ne présage pas de moments très gais. Détrompez-vous ! Entre les mains de Jean-Louis Fournier (écrivain, humoriste et réalisateur de télévision. C’est lui qui a crée « La noiraude » !!!), ces sujets sont tout simplement truculents !

Il nous explique avec humour et dérision (ça frôle le Desproges !) que, même si la société essaie de nous le faire croire, la vieillesse n’est pas une maladie honteuse. Comme il le dit : « Il n’y a pas de honte. C’est pas votre faute si vous êtes vieux. »
Certes, la vieillesse nous fait perdre beaucoup de choses : les cheveux, les dents, les muscles, les illusions… mais nous fait gagner aussi.
Oui la vieillesse est difficile. Mais la jeunesse ne l’est-elle pas également ?
La jeunesse n’est pas mieux que la vieillesse ; elle est différente, c’est tout. Aurait-on l’idée de comparer les saisons ? De dire que l’été est mieux que l’hiver. Chacun ses charmes, chacun ses avantages… et ses inconvénients.

Le truc qui cloche, c’est que quand on est jeune, on veut toujours que ce soit demain et quand on est vieux, on veut toujours que ce soit hier. La vie est mal faite.

Les phrases de Jean-Louis Fournier sont toutes délicieuses, désopilantes, hilarantes.
Que vous ayez 20, 30, 50, 60 ou 99 ans, je vous conseille vraiment ce livre. Courrez l’acheter ! Là, tout de suite, maintenant !!

Et pour vous donner l’eau à la bouche, voici quelques morceaux choisis :
- « Vous savez comment on s’aperçoit qu’on est vieux ? Quand, même bronzé, on reste moche. »
- « Moins on a de souffle, plus on a de bougies à souffler, soupire le centenaire.»
- « Avoir une santé de fer, ça n’empêche pas de rouiller. »
- « La reine qui vieillit. C’est d’autant plus dur pour elle qu’elle était belle, avant. Vieillir quand on est moche, c’est moins dur, on s’est habitué. »
- « Oxymore : association de deux mots de sens contraire. Exemple : « douce vieillesse », « vieux beau ». »
- « Mourir idiot, c’est mourir en pire. »

Bibis merci Monsieur Fournier !

Tests ADN : où est le problème ?

C’est la bataille du moment, c’est le point de désaccord de ces derniers jours. Le projet de loi adopté hier concernant les tests ADN pour les candidats à l’immigration fait rage.

Quitte à me mettre la moitié des bloggeurs à dos, personnellement, je vous avoue que je suis entièrement d’accord avec ce projet.

Pourquoi voir le mal partout et crier de suite à l’outrage ?

Accueillir des familles d’immigrés, oui.
Mais pourquoi acceptez, pourquoi fermez les yeux sur ceux qui fraudent ? Il y a des pays (ceux d’Afrique - Sénégal, la Côte d'Ivoire, les deux Congo, le Togo, Madagascar, les Comores - sont les plus souvent cités ; mais ils ne sont pas les seuls) où les faux papiers font légions. C’est alors simple comme bonjour de faire passer nièces ou petits-neveus pour ses propres enfants.

Pourquoi laisser les fraudeurs prendre la place des gens honnêtes qui souhaitent entrer sur le territoire ? Les demandeurs eux-mêmes les réclament ces tests.

La France n'est pas le seul pays à mettre cette pratique en place. 11 autres pays européens suivent déjà ce schéma.

Deux questions toutefois ? Comment ça marche pour les familles recomposées ou les enfants adoptés ?

Bibis sérieux

Hot Dog !

(Mais qu’est-ce qu’elle a mis comme photo ???)

Ah là là ! Les jours se suivent et ne se ressemblent pas ! Hier, on parlait date d’accouchement ; aujourd’hui, nous allons parler sex-toys ! Mais attention, pas de sex-toys classiques : dildos, plugs, vibros, coins-coins, fluos et autres joujoux pour nous ! Non, nous allons parler de poupée gonflable... pour nos amis les toutous !

Oui ! Voici un cadeau extra à offrir à votre compagnon à 4 pattes (je parle toujours des chiens hein...) s’il est légèrement énervé de la biloute et que vous en avez marre qu’il vous colle les jambes (délicieuse l’image, non ?) !

La hotdol est pour lui ! Elle permettra de calmer la libido démesurée de votre Médor adoré... et de ne plus vous taper la honte devant vos amis en le voyant se frotouiller comme un malade sur vos bottes...

Comme toute poupée gonflable qui se respecte, la hotdol a même un (seul ?) petit trou (et qui c’est qui nettoie après ? Beurk !), existe en en deux tailles (version caniche et version doberman) et deux couleurs (white or black).

Alors, il est content le youki ?

Bibis hallucinés

Dernière ligne droite

Nous sommes le 19 septembre.

19 septembre.19 octobre. 

Dans 1 mois.
Dans 1 mois, c’est la dead-line.
Dans 1 mois, c’est sûr, il ou elle sera là !

Pour Princesse, j’avais accouché avec 12 jours d’avance…

Et pour bébé ? Ca sera quand ?

Si j’écoute Pam-la-voyante, ce sera le 28 septembre (mais 2008… oui, depuis qu'elle ne travaille plus à mes côtés, cette fille est folle… Bill, si tu souhaites la faire revenir à la raison, tu sais ce qu'il te reste à faire...).
Si j’écoute mon cœur (et mon bidon !!!), ce sera début octobre… le 5 ou le 6. En même temps, j’dis ça… j’dis rien. C’est basé sur rien du tout. Juste une envie peut-être. Une envie de voir sa trombinette.

Alors… A terme ? Avant terme ? Après terme (!!!!!!!!!!!!!!) ?

En même temps, à terme, le 19 octobre, c’est la saint-René… Alors, si bébé pouvait éviter…
Et puis, à savoir, le 11 octobre, y’a une pleine lune (et une nouvelle lune le 26 septembre Pam !!!). A en croire les sages-femmes, il y aurait beaucoup plus d’accouchement ces jours/soirées-là…

Vous les filles, c’était comment pour vous ? Avant ? Pile poil la date ? Après ?

Héééé, les papas, ça ne vous empêche pas de répondre pour votre chérie !

Et les autres, les non-papas et les non-mamans, vous pouvez aussi me laisser un message hein ! Un p’tit coucou, un pronostic (bon, y’a rien à gagner, hein), un p’tit mot, un p’tit bonjour! ! Ca fait toujours plaisir comme dirait l’autre !

Bibis compte à rebours.

Dans l’ombre Karl Lagerfeld

Après « Les yeux jaunes des crocodiles », j’ai de suite enchaîné sur un livre radicalement différent, « Merci Karl ! » d’Arnaud Maillard.

Entré comme stagiaire à 18 ans à la maison de couture de Karl Lagerfeld, Arnaud Maillard deviendra en 2000, à force de passion et d’acharnement, le directeur de studio de la Lagerfled Gallery. Une ascension fulgurante.

« Merci Karl ! » nous plonge dans l’univers de la mode et en particulier dans celui du styliste, couturier, photographe et éditeur allemand, Karl Lagerfeld.

On y découvre le monde des défilés, la « chaîne » de fabrication des modèles haute-couture, les préparatifs des collections, les petits (grands !) couacs de dernière minute…

On (je !) regrette juste de ne pas en avoir appris plus sur ce monstre de la mode qu’est Karl Lagerfled. Oui, le livre se passe dans son univers, dans sa société, mais le couturier n’est, en fait, pas du tout le sujet principal du livre. Mais, sans doute, n’était-ce pas le but.
Non, le but de ce livre, je pense (….), est de nous offrir le regard, la sensibilité, le parcours d’un homme, Arnaud, qui a su se battre, qui a su survivre dans cette jungle pailletée et exigeante.

Bibis catogan

En librairie à partir du 26 septembre 2007

UPDATE : Erreur : la date de parution est le 19 septembre !

Frénégonde ou Séraphin ?

Manou en parlait mercredi dernier : choisir un prénom pour un enfant n’est pas chose facile.
C’est même atrocement difficile.

Comme le dit Jean-Marc De Foville dans son livre « Un prénom pour la vie », « Ce qui n’a pas de nom n’existe pas. Pour amener une chose, un être à l’existence, il faut les nommer, les identifier. Le prénom est l’acte indispensable qui permet à un homme d’entrer dans la communauté de ses semblables, de communiquer avec eux, de s’y repérer et d’y être repérer. »

Pour nous, Amoureux et moi, c’est ok, on s’est mis d’accord pour Bébé. On a trouvé un prénom de fille et un prénom de gars. Ca y est, on est au point. Mais quand même… Ca fait flipper. Je me souviens que pour Princesse, quand il a fallu noter son prénom sur le papier à la maternité, j’ai carrément pleuré après. J’adorais (et j’adore encore plus maintenant !) son prénom, mais ça m’a fait carrément flipper ! Et si c’était nul ? Et si ça ne lui allait pas ? C’est vrai ça… on ne la « connaissait » pas encore vraiment et on venait de lui donner un prénom pour la vie… pour SA vie.

Aujourd’hui encore, dans certaines régions d’Asie, les nouveaux-nés sont nommés « petites souris » jusqu’à 6 mois, âge auquel on leur fixe un prénom. Dans le souci de ne pas nommer ce qui n’existe pas, on attend que l’enfant forge son propre caractère avant de lui donner un prénom qui lui corresponde. On lui énumère alors une série de prénoms et en observant sa réaction, on détermine celui qu’il a choisi !
Certaines traditions arabes quant à elles, exigent d’attendre 7 jours avant de donner un prénom à l’enfant.

Nous, ici, faut s’décider vite.

Mais ca y est, c’est décidé… on les a les deux prénoms. Fille et garçon. On verra lequel « s’animera »… Mystère et boule de gomme. On a décidé tous les deux, et QUE tous les deux. Rien dit aux copains ou à la famille. Nan nan nan ! Y’en a toujours un qui vous sort un truc horrible qui vous dégoûte à tout jamais du prénom en question. Chacun veut donner son avis, même s’il n’en a pas.

Non, motus et bouche cousue ! On ne dit rien jusqu’au jour J.

Bibis Raymond et Germaine

P.-S. : Ben alors... Mon toaster d'hier ne vous a pas plus. Moi qui pensais faire un malheur !...

UPDATE :
Très étonnée, au sondage "Aimez-vous votre prénom ?", vous avez été 35,29% à répondre "Oui, beaucoup", 35,29% "Oui, ça va", 17,64% "Mouais pas trop trop", 5,88% "Non, pas du tout !" et 5,88% "Non, quel horreur".

Mots d’amour briochés

Aujourd’hui, nous sommes dimanche… On prend notre temps. On reste traîner sous la couette, bien au chaud (enfin ceux qui n’ont pas d’enfants en bas âge…). On s’étire comme des gros chats dans leurs paniers.

Et y’a rien de plus agréable, mesdames, de voir nos chéris d’amour nous apporter le petit déjeuner au lit… L’odeur du thé ou du café, celle des confitures colorées, l’éclat du jus d’orange pressé et le fumet incomparable des tartines toastées… Le bonheur…

Et, même si cela peut paraître hyper culcul la pralinette, quand il y a un petit vase avec une jolie rose rouge sur le plateau, nos cœurs de fille s’emballent et fondent littéralement.

Mais, j’entends déjà nos amis les hommes bougonner en disant que pour avoir une jolie rose, faut être sorti avant dehors pour l’acheter (quoi ? y penser la veille, mais vous êtes marteau !?), que quelque fois, ça caille grave, que oui, ils pourraient prendre des croissants en même temps mais que le dimanche, c’est aussi pour eux et que merde si c’est comme ça, y’aura plus de p’tit déj’ au lit !!!!!!!!

Bref, ça finit en eau de boudin.

Mais Super Lady est là et vous a trouvé LA solution !

Un geste mieux que la rose, en tous les cas bien plus original : le message Toaster !!! Un toaster doté d'une surface d'écriture qui permet de retranscrire votre message façon « pyrogravé » sur votre toast. C’est le designer Sasha Tseng qui en a imaginé le  concept et moi, je trouve ça super sympa.

Avec ça messieurs, vous allez faire un malheur !!!

Bibis toasts

MOP FLIP FLOP

Marre de passer la serpillière ? De courber le dos ? D’agiter le manche (Rôôôôôôôôô !) !

Vous rêvez de faire le ménage, de nettoyer votre sol en dansant, en sautillant (tiens, c’est pour vous, les deux (1 et 1) grenouilles !), en patinant ???

La designer (gneuse ?) Marie-Louise Gustafsson a créer pour vous les Mop Flip Flop : des sandales en véritables lanières de coton issues de la serpillière.

Allez hop, on les chausse (enfin, vous les chaussez…) et hop, ça brille !!!

Qui n’en veut ???

Bibis pieds nus

Un rebeu dans le dico

Comme tous les ans, de nouveaux mots entrent dans le dico. Ainsi « niaque », « meuf », « chikungunya », « bloguer » (obligé celui-là !!!), « télédéclaration », « USB » ou encore « teuf » font leur apparition dans le Petit Robert.

Plus de 500 mots nouveaux.

Enrichissement ou affaiblissement de la langue française (???), le débat a lieu tous les ans. Mais il y a certains mots qui attirent plus la polémique que les autres.

C’est le cas de « rebeu ». Le mot est illustré, page 2 135, par une citation de Jean-Claude Izzo (auteur de polars) : « T'es un pauvre petit rebeu qu'un connard de flic fait chier. C'est ça ! ».

Evidemmment, ca en choque plus d’un. Surtout chez les képis.
Pour le syndicat des gardiens de la paix, c’est un véritable « outrage » à la police. Il parle de « discrédit » et de « déshonneur ».
Du côté des associations de lutte contre le racisme, il faut relativiser : « On peut voir ça comme un clin d'œil à une réalité à l'endroit des policiers par rapport au contrôle des identités au faciès ».

En ce qui me concerne, je trouve que le Petit Robert a réellement abusé. Un peu choquée moi aussi, je pense qu’ils auraient pu se dispenser d’une telle illustration. Quelle image donne-t-on de la police à nos enfants ?

Votre avis ?

Bibis Pivot

UPDATE : lire aussi chez Damospace.

Inspirez… Expirez…

Aujourd’hui, je commence mes cours de préparation à l’accouchement. Pour le premier bébé, on a le droit à 7 cours ; pour le deuxième, c’est plus rapide : 4 cours seulement.
Je crois qu’il y a très peu de femmes qui suivent ces cours. Encore moins pour un deuxième enfant.
Moi, pour Princesse, cela m’avait vraiment beaucoup apporté.

Déjà, on y apprend plein de choses.
Petite leçon de chose en passant : le placenta par exemple. Beaucoup de gens (et oui, certainement vous !) pensent que c’est la poche où loge bébé. Et ben non, c’est pas ça (nannn, c’est pas vré !!!??). La « poche », c’est l’amnios, appelé plus couramment la poche des eaux. Le placenta n’est en fait qu’une partie de la poche des eaux. A terme, c'est un disque de 20 cm de diamètre, de 3 cm d'épaisseur et pesant environ 500 g. Et il est placé de façons différentes selon les grossesses. Ainsi, pour certaines femmes, il sera sur un des côtés, pour d’autres sur le dos et encore d’autres sur le devant. Fin de la leçon de chose.

Les cours nous apprennent aussi à respirer. Et là, bien sûr, on ne peut s’empêcher de pouffer de rire en imaginant toutes ces femmes au ballon rond faisant le petit chien. Oui, ça a l’air con. Oui,  on a l’air connes. Oui oui oui. Mais croyez-moi, quand on est sur la table d’accouchement et que la sage-femme vous ORDONNE ne plus pousser car sinon, ça risque de tout déchirer (hmmm… les joies de la féminité !) et ben on est bien contente de le faire ce satané clébard ! Car faire le chien est l’unique méthode pour ne plus pousser (ne me demandez pas pourquoi, j’en sais rien !).

Les cours donnent aussi les bons conseils à celles qui souhaitent allaiter (ou donner le bib’). Ainsi, on ne se fait pas avoir, une fois à l’hosto, par les discours des hommes et femmes anti-allaitement, ceux pour qui allaiter relève du Moyen Âge ou de l’affaire des vaches.

Les cours nous aident plus que l’on ne pense.

Et je regrette qu’on ne le dise pas assez.

Bibis wouaf-wouaf !

Nota bene : cette note est dédiée à une femme hors du commun, sage-femme et femme sage. C’est à ces cours que je l’ai rencontrée. J’aimerais lui dire ici à quel point je l’aime et je l’admire.

UPDATE : ici, une vidéo interressante...

Rejoignez Toxic-Corp

« Vous êtes jeunes et en bonne santé, rejoignez Toxic-Corp. Chaque année 270 000 jeunes courageux et motivés sont prêts à absorber plus de 50 substances cancérigènes pour nous aider à soutenir nos bénéfices. Comme eux, saisissez cette chance et venez remplacer un de nos fidèles fumeur décédé. »

C’est la première fois, de mémoire de Lady (ce qui ne veut strictement rien dire...), qu’une publicité anti-tabac utilise l’humour... au second degré.

Les études le prouvent : les messages axés sur la peur, les « attentionnn, vous allez mourir », les « fumer, c’est pas bien »… ne fonctionnent pas, surtout envers les jeunes.

Axe de cette nouvelle campagne : faire réaliser qu’en fumant, nous nous faisons manipuler, que nous ne sommes que de simples pions pris au piège par les industries du tabac. Car autant les jeunes n’en n’ont rien à foutre de voir sur leur paquet d'clopes « Fumer tue », autant, ils détestent se faire manipuler. Selon l'Inpes, le « film fait appel au sens critique, à l'instinct de défiance et à l'agilité des jeunes pour décoder le second degré ».

Résultat du spot : on entre dans l’univers de l’entreprise Toxic-Corp au milieu de cadavres recouverts de draps blancs évacués à la chaîne sur un tapis roulant. Ils ne sont plus bons à rien. On embauche donc des p’tits nouveaux « jeunes et en bonne santé » pour les remplacer.

La fin du spot renvoie vers le site Internet de l'entreprise virtuelle Toxic-Corp où l'’internaute peut aller visiter son usine (fabriquer des cigarettes en utilisant des produits toxiques tel du plomb), son service marketing et même aller fouiller dans le bureau du PDG pour consulter des documents réels traduits à la suite de procès de la fin des années 1990, histoire de prendre conscience de la manipulation des grandes multinationales du tabac.

Cette campagne d’information aurait été commandée par le Ministère de la santé et l’INPES. Ce film réalisé par Stefan Prehn a bien du mal à être diffusé sur les chaînes (en ce qui me concerne, je ne l’ai vu qu’une fois à la TV). Le lobby du tabac pèse lourd…

En ce qui me concerne, je ne trouve pas cette campagne très pertinente. Même si elle a le mérite d'essayer "autre chose", il me semble que le ton est bien trop léger. Un grand OUI à l'humour noir, mais alors à fond ; pas en surface. Et là, le spot flotte. Encore frileux les p'tits frenchies...

Et vous, votre avis ?

Bibis sains

Toxic-corp_hauteDef
envoyé par Lke

Selon une étude Louis Harris-Inpes d'avril 2005, 38 % des 15-24 ans sont fumeurs (contre 30 % des 12-75 ans). Cette proportion augmentant avec l'âge, de 31 % entre 15 et 19 ans, on passe à 45 % entre 20 et 24 ans. Seulement 54 % des fumeurs de 15-24 ans souhaitent s'arrêter (60 % des 12-75 ans).

Les yeux jaunes des crocodiles

« Ce roman se passe à paris. Et pourtant on y croise des crocodiles.
Ce roman parle des hommes.
Et des femmes. Celles que nous sommes, celles que nous voudrions être, celles que nous ne serons jamais, celles que nous deviendrons peut-être.
Ce roman est l'histoire d'un mensonge. Mais aussi une histoire d'amours, d'amitiés, de trahisons, d'argent, de rêves.
Ce roman est plein de rires et de larmes.
Ce roman, c'est la vie. »

C’est grâce à ce petit texte au dos du livre que je me suis décidée à acheter « Les yeux jaunes des crocodiles ». Je n’en avais jamais entendu parler. Ni du livre, ni de l’auteur, Katherine Pancol (journaliste à Paris Match et Cosmopolitan).

On découvre l’histoire d’une famille, toutes générations confondues. De la reine mère, Henriette, surnommée le Cure-dents (sympatoche, non ?), à ses deux filles quadragénaires, Iris la belle, dynamique et riche et Joséphine la moche, molle et pauvre (enfin… statut normal !).
On gravite autour de ces trois figures féminines que tout oppose… que tout réunit.
On suit aussi les aventures de Chef et de sa choupette Josiane, à la gouaille redoutable (ces deux-là, je les adore !) et des enfants et maris des deux frangines.
Que de personnages hauts en couleurs, assez stéréotypés et pourtant… pourtant…

« Ce roman, c’est la vie ».
Oui, c’est ça. On connaît toutes et tous des Iris et des Joséphine, des Marcel et des Cure-dent. On en connaît tous.
Mais sait-on vraiment ce qu’ils ont à l’intérieur, dans l’ventre, dans l’cœur ?
Ce livre nous montre l’envers des préjugés.

Autour d’une intrigue centrale, avec beaucoup d’humour et d’émotions, on entre dans la tête de chacun des personnages. On les apprend. Ils se révèlent. La bécasse nous apparaît moins cruche, la mollasse moins molle, la belle moins attirante.

Les 661 pages qui se lisent d’une traite.

Je vous le conseille.

Bibis grandes dents

Photos ratées ? Non ! Chefs d’œuvre !

Imaginez le nombre de photos numériques qui sont jetées à la poubelle dans le monde ! Des millions ! Des milliards !

Floues, surexposées, mal cadrées, mal éclairées, un doigt d’vant…..  

Et puis, y’a celles où on hésite… Oui, j’la jette… Oh non, elle est pas si ratée que ça… C’est con, elle était pas mal pourtant… Oh nan, elle est vraiment trop naze…

Vos images sont ratées… mais peut-être ne le sont-elles uniquement pour vous. Alors que diable ! Ne les jetez plus ! Postez-les sur le site Deleted Images, site qui « ramène à la vie » toutes les photographies dont vous souhaitiez vous débarrasser.

Et ce qui m’a frappé dans ce site, c’est que j’ai trouvé plein de photos très intéressantes . Bon, ok, y’a des photos vraiment « ratées », mais pas tant que ça en fait. J’ai trouvé qu’il y avait beaucoup beaucoup de photos très graphiques, remplies de messages, d’empreintes et de poésie.

Les photos ratées parleraient-elles plus que les photos dites « bonnes » ?
Dégageraient-elles des émotions cachées ?
Seraient-elles le reflet de nos âmes pudiques ?

Serait-ce pour cela, au fond, que nous les jetons ?

Pourquoi tenons-nous tant à vouloir corriger les choses comme le flou ou encore la surexposition ?

Bibis flous

Lifeline : jouissance auditive

Après vous avoir parlé du dernier album de Vanessa Paradis, je vous parle aujourd’hui du dernier opus du grand Ben Harper : LifeLine.

Après 9 mois de tournée, Ben Harper et son groupe, the Innocent Criminals, ont enregistré cet album au Studio Gang à Paris et ce en 7 jours pile (!!). Enregistré à l’ancienne (tout le monde joue en même temps, du vrai live en boîte, sans une touche d’ordinateur), l’album a été enregistré d’un seul trait. Il en ressort une grande spontanéité et une fraîcheur digne des disques des années 50-60-70.

Le résultat est impressionnant.
11 titres : 11 bijoux.
On redécouvre la soul, la bonne, la vraie.

> Vous qui aimez Ben Harper, courez vite acheter ce CD : vous allez adoré !
> Vous qui n’aimez pas particulièrement Ben Harper, acheter ce CD et vous découvrirez une rare beauté.

Ben Harper et son groupe nous offrent une vraie perle.
Merci à eux.

Bibis in the colors

P.-Scoop : On dit que son prochain album sera 100% reggae avec au moins 3 des membres des Wailers, et avec Lee Scratch Perry à la production … J’en frémis d’avance !

Ben Harper - In the Colors
envoyé par granata

Tigrou, Petit Gourou ou Rocky Balboa ?

In-cré-di-beule ! C’est in-cré-di-beule !
Mais qu’est-ce que j’ai dans le bidon ?

Tigrou ?
P’tit Gourou ??
Rocky Balboa ???

C’est dingue à quel point bébé remue.
Je me souviens que Princesse bougeait pas mal, mais là, c’est à chaque fois une surprise, un étonnement. Que je sois assise, debout ou allongée, bébé n’arrête pas de gigoter. Une vraie boîte de nuit ce bidon !

Il pousse dans tous les sens. J’arrive à attraper ses mini-mains, ses mini-pieds et même sa mini-tête (enfin « mini »… le jour J, quand elle doit « passer » de l’aut’côté, on se dit qu’elle est grosse comme une pastèque ! Amis de la poésie, bonjour) !

Dinguo !

Alors, évidemment, le papa (et les autres mâles qui m’entourent) ne peuvent s’empêcher de dire « Ah ben, ça sera un garçon alors ! ». Comme si, une petite fée était incapable d’un tel chambardement !

Un Tigrou ou une Tigrette ? Un Petit Gourou ou une Petite Goura ? Un Rocky ou une Adrienne ? On verra bien. En tous les cas, si Bébé remue autant dehors que dedans, va falloir que je l’attache !

Bibis sauteurs

Lady teste le Silk épil Xelle de Braun

Il y a quelques semaines, j’ai été contacté pour tester le nouvel épilateur de Braun : le Silk épil Xelle 5285. Bien sûr, quand quelqu’un vous propose de tester un produit, c’est pour que vous en parliez ensuite sur votre blog… pour faire passer l’info, faire de la pub.
Pourquoi pas.
Je suis plutôt partante. Cela me fait connaître de nouveaux produits, de nouveaux concepts et j’aime ça. Mon métier le prouve d’ailleurs.
Mais je ne suis pas pour le publi-reportage. Le « je ne vais dire que du bien même si c’est nul »…
Non. Je veux bien tester les produits, mais je revendique mon droit à la critique négative. Dire ce que je pense ou ne rien dire du tout.

Alors, allons-y !

Si vous suivez ce blog régulièrement, vous savez maintenant à quel point je peux avoir horreur des poils. Je les hais, je les déteste, je les vomit, je les exècre, je les abomine.
Donc, essayer un nouvel épilateur a été d’office la bienvenue.
J’en ai déjà un (le Satinelle super sensitive de Philips) mais il commence à dater (environ 3 ans) et les technologies avancent vite.

Allez, petit tour de la chose… Que nous promet Silk épil Xelle, à nous les femmes et à vous les hommes (ben oui, y’en a de plus en plus qui s’épilent le torse, les aisselles ou/et les coucougnettes), et est-ce que ces promesses sont tenues ?

> Silk épil Xelle retire plus de poils en un seul passage que n'importe quel autre épilateur.
Après l’avoir testé, je pense sincèrement que c’est VRAI.
La tête d'épilation étant dotée de 40 pincettes, ça carbure ! Le système appelé « SoftLift » est ingénieux : il soulève les poils qui sont ainsi prêts à être attrapés (les saligots !).

> Silk épil Xelle retire les poils plus en douceur que les autres épilateurs
VRAI ! Alors là, je dis oui à 2 000 %. Il y a un système de rouleaux massants qui atténue la sensation « d’arrachement ». Déjà, sur les jambes, j’ai de suite senti la différence ! Pour les aisselles ou le maillot, c’est dinguo ! D’habitude, les filles, on respire un grand coup et on serre les dents avant d’y aller, là, très sincèrement : on ne sent rien. Je vous jure que c’est vrai. J’en étais super étonnée ! Ca c’est un super point !

> Silk épil Xelle est équipé d’une lumière (SmartLight) qui éclaire les poils les plus fins, pour ainsi retirer même les poils isolés – pour n'en laisser passer aucun.
Là, franchement, je trouve qu’elle ne sert pas à grand-chose cette lumière. Autant sur la pince à épiler La-Tweez, je trouve que c’est super chouette, autant là, sur l’épilateur électrique, je la trouve un peu gadget. Déjà, quand on s’épile les jambes, on n’a pas le nez vraiment dessus (à moins d’être contorsionnistes… ce qui n’est pas mon cas… et encore moins en ce moment avec mon gros bidon-bébé). On est même franchement dans des positions pas très pratiques : pour bien passer partout, on est obligée ! Bref, ok, l’épilateur a une lumière, mais je trouve que cela n’apporte rien de plus au produit et à son utilisation.

> Silk épil Xelle s’adapte aux courbes de votre corps
VRAI ! Et là, je dis Bravo ! Car oui, ça, c’est un réel Plus, un réel avantage. L’épilateur glisse nickel ! Sur la partie genou par exemple, partie toujours super chiante à faire, et bien là, on passe l’épilateur et hop, c’est nickel ! Idem pour les aisselles ou le maillot.

> Silk épil Xelle contient une tête rasoir qui permet de raser ou pré-couper les poils du bikini et des aisselles.
« Raser »… Pourquoi raser si on a un épilateur électrique ?
« Pré-couper »… ok pour le bikini… et encore… Mais pour les aisselles, je n’ai qu’un mot : « Beurk ». Qui dit « pré-couper » dit « long » et ça, pour moi, c’est inenvisageable. (Ca intéressera peut-être la vendeuse de tissu que j’ai croisée hier qui avait sous les bras de vrais potagers poilus… Bah !)

> Silk épil Xelle contient un Kit « Easy Start » pour se lancer en douceur
Composé d’un gant rafraîchissant et d’une tête pour débutantes (???!!!) est conçu pour aider à rendre les premières épilations plus confortables. Là, pour moi, c’est du gadget à 2 000%

Conclusion : Les promesses les plus importantes pour un épilateur - avoir moins mal et épiler bien partout - sont tenues. Ensuite, la lumière et autres gadgets (tête de rasoir, kit « Easy Start"…) sont à mon avis inutiles. Mais à la limite, on s’en fout car ce n’est pas cela qu’on attend d’un épilateur. Nous on veut retirer nos poils vite, bien et sans avoir mal. Et sur ces 3 points là, le Silk épil Xelle est vraiment efficace.
Côté prix, il coûte environ 77 Euros. Un peu chéro à première vue, mais cela ne vaut-il pas le coup d’investir là-dedans et d’avoir des jambes nickels sans dire ouille ni aïe !?

Bibis tout lisses !

3919.... Allo ? Oui. Je...

(Aujourd’hui, un sujet qui me tient particulièrement à cœur. Vu hier chez La grenouille, le sujet mérite malheureusement qu’on en parle encore… et encore…)

En début d’année, Violences conjugales Infos a simplifié son numéro de téléphone en le passant à 4 chiffres : le 3919.
Depuis, le service a enregistré 7446 appels, soit une moyenne de 80 appels par jour. Mais ce sont en réalité 200 appels qui parviennent quotidiennement au 3919 sans pouvoir être tous traités.

Les chiffres officiels pour l’année 2006 sont insoutenables : 168 personnes, dont 137 femmes, sont décédées cette année-là en France sous les coups de leur compagnon ou compagne, soit une femme tous les 4 jours.

Face à la gravité de ce fléau, Les Films du Poisson ont lancé, en collaboration avec des réalisateurs confirmés, une poignante campagne de 10 courts-métrages à visée préventive et pédagogique, d'une durée maximale de 3 minutes.

Je vous invite à les découvrir… tous.

1/ Laurence Ferreira Barbosa nous conduit dans une salle d'autopsie. Sur la paillasse repose le corps d'une femme battue à mort par l'homme avec qui elle vivait...

Laurence Ferreira Babosa - Violences Conjugales
envoyé par filmsdupoisson

2/ Zabou Breitman brise les préjugés et révèle, à travers des données chiffrées, l'effroyable réalité des violences conjugales.

Zabou Breitman - Violences Conjugales
envoyé par filmsdupoisson

3/ Coline Serreau dévoile, à travers un échange entre deux jeunes personnes, l'inacceptable, ici, en France.

Coline Serreau - Violences Conjugales
envoyé par filmsdupoisson

4/ Patrice Leconte met en avant la solitude et la honte des femmes battues.

Patrice Leconte - Violences Conjugales
envoyé par filmsdupoisson

5/ Paolo Trotta dénonce cette violence cachée par une femme sur dix en France.

Paolo Trotta - Violences Conjugales
envoyé par filmsdupoisson

6/ Brigitte Rouan compare, dans une même situation, le comportement d'un homme et celui d'un grand singe.

Brigitte Rouan - Violences Conjugales
envoyé par filmsdupoisson

7/ Lorraine Levy donne une définition "choc" des violences conjugales en faisant un parallèle avec la torture.

Lorraine Levy - Violences Conjugales
envoyé par filmsdupoisson

8/ Emmanuelle Millet montre, dans le ventre d'une mère, un bébé victime tout autant qu'elle des coups portés par le conjoint.

Emmanuelle Millet - Violences Conjugales
envoyé par filmsdupoisson

9/ Bruno Podalydès fait raconter à un enfant une scène de violences entre ses parents et son ressenti face à une situation qui le dépasse.

Bruno Podalydes - Violences Conjugales
envoyé par filmsdupoisson

10/ Paul et Michel Boujenah mettent en scène une femme qui dans son rêve, dans son rêve seulement..., évite avec virtuosité chaque coup de son mari violent qui finit à terre...

Boujenah - Violences Conjugales
envoyé par filmsdupoisson

La violence conjugale n’est pas qu’une affaire de chiffres, mais ce sont les chiffres qui en parlent le mieux.
> En France métropolitaine, en moyenne, une femme meurt tous les quatre jours des suites de violences au sein du couple. La moitié subissait déjà des violences.
> Un homme meurt tous les seize jours. Dans la moitié des cas, la femme auteur de l’acte subissait des violences de sa part.
> 13% de toutes les morts violentes recensées et dans lesquelles l’auteur a été identifié ont eu lieu dans le cadre du couple dont 1% de cas d’euthanasie.
> Un décès sur dix résulte de coups portés sans intention de donner la mort. La violence conjugale préexistait dans deux sur trois de ces cas.
> 31% des crimes conjugaux sont liés à la séparation (commission par des ex ou séparation en cours)
> Les actes homicides commis par des "ex" sont un phénomène essentiellement masculin, souvent rural, et toujours avec la volonté de donner la mort : 95% des anciens partenaires auteurs d’homicide sont des hommes. Alors que la proportion d’ « ex » parmi l’ensemble des auteurs atteint 10%, en milieu rural, ce sont 30% des homicides qui concernent d’anciens partenaires et il s’agit à 100% de meurtres dont 55% étaient prémédités.
> Dans 25% des cas, auteurs comme victimes étaient sans profession et dans 62% des couples concernés, au moins l’un des deux membres était sans profession. Le fait que les deux membres d’un couple exercent une profession apparaît comme un élément en partie protecteur.

Bibis parlons-en...

Oh la (rhu) barbe !

Pour Katy, le mercredi, c’est permis (enfin, on est perdu, car maintenant le mercredi, avec elle, ça peut être le lundi !?!), et bien aujourd’hui, je vais la copiter !

Oui, aujourd’hui, c’est mercredi et c’est permis chez moi aussi ! Mais permis de quoi ?
De dire des bêtises ? Oui.
De faire n’importe quoi ? Oui aussi.

Mais aujourd’hui, j’ai décidé que c’était permis d’avouer ces petites choses dont on a un peu honte, dont d’habitude on tente de cacher. Aujourd’hui, on s’en fout si j’ai l’air bête, si je rivalise avec Eve Angeli ou Steevy.

Oui, aujourd’hui j’me lâche, j’vais vous dire un truc ! Un truc qui m’a fait honte ce week-end ! Et j’arrive d’autant plus à me lâcher que je ne suis pas toute seule à avoir eu la même réaction.

(Petit aparté : comme je ne suis pas salope, comme je suis une super super bonne copine, je ne vous dirais pas de qui il s’agit… Car en plus, elle m’a suppliée de ne pas parler d’elle me menaçant de ne plus écrire de commentaires sur mon blog… La rigolote… Je ne vous dirais pas que son petit nom commence par un J et finit par un O. Non, je ne vous le dirais pas. Encore une fois, je suis une copine exemplaire ! Non mais pour qui me prenez-vous ?)

Alors, j’y arrive… Ce week-end, mon voisin, un petit papy bien gentil, m’a donné de la rhubarbe de son jardin. Jusqu’ici, je n’ai pas l’air d’une huître. C’est quand il m’a montré ses plants de rhubarbe que ça s’est gâté… Oui, je ne savais pas comment ça poussait la rhubarbe. Dans la terre (ça, c’est la proposition de ma copine anonyme !) ou pas. Comment s’était fait ? Oui, j’avais bien vu des branches chez CarreOuf ou chez mon p’tit primeur… mais je ne savais pas que la fameuse branche était en fait la tige d’une immense feuille.

J’vous avais dit que c’était la honte…

Sincèrement, vous le saviez, vous ?

Bibis des villes

P.S. 1 : Avec ça, j'ai fait une tarte à la rhubarbe meringuée, une recette piquée chez Anne : un vrai délice !
P.S. 2 : Vous avez vu comment il fait beau en Bretagne ?!

La Divinidylle de Vanessa Paradis

Il est sorti.
Je suis en train de l’écouter. Là… pendant que je vous écris.
Je le découvre.

Je regarde.
La pochette tout d’abord. Signé simplement de ses initiales, Johnny Deep, peintre amateur, a réalisé le portrait de Vanessa. Son regard est dur, limite inquiétant.

J’ouvre.
Livret. Papier mat. L’intérieur noir contraste avec la couverture colorée. Je sens. J’aime l’odeur du papier et de l’encre.

J’écoute.
11 titres. 5 signés ou co-signés par –M-. Il a aussi écrit et co-écrit 2 textes, produit et arrangé l’album, et fait la guitare sur 10 morceaux. Une belle empreinte.
Mais il n’y a pas que –M-. On trouve aussi Thomas Fersen, Brigitte Fontaine et Alain Chamfort.

Premier titre : « Divine Idylle ». On connait déjà. Passe en boucle sur toutes les radios depuis le début de l’été. J’aime beaucoup. (Je vous en avais un peu parlé ici).
Les titres suivants sont… comment dire ?... étonnants. Première écoute : j’ai du mal à retrouver l’univers de Vanessa Paradis. C’est sûr, 7 ans se sont écoulés depuis son dernier album, « Bliss » ; elle a eu le temps d’évoluer, de se diriger vers d’autres goûts, d’autres émotions.

Je suis déroutée.
J’aime Paradis, j’aime –M-. Et je suis déroutée.

A première vue, il manque d’elle dans ce disque. Mais à première vue seulement. Car , comme beaucoup d'album, la première écoute cache  l'essentiel. Il en faut plus. Il faut apprivoiser l'écoute. Savoir deshabiller les  textes et les musiques.
C'est alors qu'une divine idylle commence...

Bibidylle

UPDATE : Je pense que dans le livret, en plus du portrait réalisé par son chéri Johnny, nous avons en dernière page un dessin signé de Lili-Rose... Après le JD, le L-R !

Deux titres sortent du lot : « Les revenants » et « Junior Suite ». Balades où Vanessa pose sa voix fine. Les voici !

Junior Suite

Les revenants

Hommes à abattre

Depuis que je suis arrêtée, j’écoute pas mal la radio. J’ai découvert Europe 1 (au moins, là, on ne nous saoûle pas avec des musiques en boucle !). J’aime beaucoup. J’aime les émissions de Maud Fontenoy (9h-11h), le grand direct de Jean-Marc Morandini (11h–14h) et les émissions très intéressantes de Pascale Lafite-Certa (14h-16h).

Ensuite (16h30-18h) arrive l’émission "On va s'gêner" de Laurent Ruquier et ses blagues à la con. Parmi les chroniqueurs intervenants de l’émission, j’ai découvert deux hommes d’une stupidité hors du commun : Steevy (sa bêtise n’est pas nouvelle… mais à ce point…) et Pierre Bénichou (directeur délégué du Nouvel Observateur et ex-chroniqueur de Vivement Dimanche sur France 2).

Je commence par Bénichou.
Cet homme doit avoir un égo gros comme l’univers. Il ne peut parler sans hurler d’une grosse voix agaçante et provocante, il ne peut parler sans agresser. Il parle sans tolérance, sans humour (qui peut trouver cet homme drôle ?) et chacune de ses phrases est tout simplement catastrophique.

Et Pikatchou (Steevy) !!!!!!
Rappelez-vous, nous l’avions découvert lors du premier Loft Story, en 2001. Ce garçon ne peut pas sortir deux phrases successives intelligentes ou dignes d'un quelconque intérêt. Bien sûr, comme vous, je savais que ce n’était pas un prix Nobel (nous non plus d’ailleurs), mais être aussi stupide relève de la performance, voire même du cas médical. Oui, être crétin à ce point, c’est incroyable !

Vous voulez des preuves de sa crétinitude ? En voici, en voilà !

Quelques unes des citations de Steevy
- L'Eglise, elle est pas actuelle avec notre époque.
- Il manque plus que le marteau et la fourche.
- Le ministre Clémenceau, il a un rapport avec le porte-avions?
- Oui, je suis catholique, je suis gay, je suis de droite (triple coming-out)
- Pour dire à Serge Moati qu'il avait plusieurs cordes à son arc, Steevy lui a dit qu'il était multicorde.
- Les habitants de l’Inde ne sont pas des Indiens, mais des Indous.
- Je n'ai pas la lumière infuse.
- Il faut vendre la Joconde pour boucher le trou de la sécu.
- La poule aux yeux d'or.
- Gérard Miller est un ancien maotiste.
- L'ena est une castre qui contrôle tout

Une vidéo de Steevy
Regardez un peu cette vidéo, extraite de l’émission « On a tout essayé » sur France 2. Steevy explique qu’il a été s’inscrire aux Assedics pour les deux mois où il ne bosse pas : juillet et août… Ruquier le remet un peu à sa place. Vous en pensez quoi vous, franchement ?

Steevy aux Assedic
envoyé par Lucas07

 
Bibis On aura tout essayé !

Cima Ladder : THE échelle qui tue !

Une échelle, c’est moche… normalement ! Ben oui, c’est vrai ! En règle générale, pour ne pas dire dans 99,999999% des cas, une échelle c’est super laid ! Comme on s’en sert habituellement pour bricoler, elle est traditionnellement pleine de croûtes de peinture, rouillée et couverte de poussière.

Et puis, y’a les échelles de bibliothèque. Là, ça s’arrange mais elles restent tout de même assez basiques, assez classiques.

Et puis, entre nous c’est le temps qui s’enfuit qui s’en fout, normalement, on se fout d’en avoir une échelle, non ?

Et puis, un jour, vous tombez sur THE échelle : la Cima Ladder ! Créée par les designers Sergio Mahler et George Papadogiannis, c’est THE ECHELLE QUI TUE SA RACE ! The échelle qui fait rêver, the échelle qu’on veut avoir ! On cherche où on pourrait la mettre, on serait prêt(e) à installer une bibliothèque rien que pour avoir l’excuse d’en acheter une comme ça !

C’est pas tous les jours qu’on trouve une échelle magnifique ! Alors, je ne pouvais pas passer à côté, je me devais de vous en parler.

Fabriquée en fibre de carbone teinté dans la masse, elle est solide, légère et très compacte. Elle évoque la nature ; on y monte comme dans un arbre.

Ah le design ! Faire d’un objet que l’on cache un objet que l’on a envie de mettre sous les projecteurs !

Combien elle coûte ? Pas trouvé de prix : il est sur demande… ça veut tout dire... !

Bibis hauteur

Allez zou ! Au boulot !

Ca y est ! Nous sommes au mois de septembre ! Relevez vos manches, sortez vos cartables et calculettes, écrivez vos lettres et vos C.V., investissez dans un prolongateur de bronzage !

Ding, ding, dong ! La cloche sonne : c’est la rentrée !

Moi, j’ai toujours aimé les jours de rentrée. Ils sont toujours remplis de surprises, de curiosités, d’inattendus. On retrouve les copains et copines (ok, quand il s’agit des collègues, c’est moins excitant...), on découvre de nouveaux profs, de nouveaux projets, on se fixe de nouveaux projets, de nouveaux objectifs et moi, j’adore !

Bon, c’est année, une rentrée un peu particulière pour moi car, moi, je vais (bientôt ?) faire ma rentrée... à la maternité !

Ce qui ne m’empêche pas d’avoir des projets professionnels : chercher (et trouver !!) un nouveau job, partir de chez les Fous.
Pour l’instant, pas trop évident d’envoyer C.V. et tout le bastringue... « Heu... bonjour, j’suis enceinte de 8 mois et je cherche du travail.... ». On verra donc vers la fin de l’année (quand je serais crevée des nuits blanches, des tétées à n’importe quelle heure, des lavages de body-cacas, des pleurs à 1 500 décibels...).

Et pour vous, quels sont vos objectifs de la rentrée, vos projets ?

Bibis 6^e b